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Cathophobie

Voyage du Pape : les crasses de Zapatero

Lu sur Benoît-et-moi :

Z "Le président du gouvernement José Luis Rodríguez Zapatero a pris l’avion pour visiter les soldats espagnols en Afghanistan justement au moment où le Pape arrivait en Espagne. Sauf éléments dont nous n’aurions pas connaissance, ces militaires n’ont pas vu M. Zapatero sur ce théâtre d’opération depuis 2005, et notamment depuis après des affrontements très violents ayant entraîné de lourdes pertes de nationaux. Ils n’étaient donc peut-être pas à une journée près pour l’accueillir!

Par ailleurs les catholiques qui, tous les jours, depuis plus de 50 ans peuvent assister à la messe à la Basilique de la Vallée de « Los Caídos » (« Les Tombés », en français on dirait je pense des «Morts au champ d’honneur »), se sont vus interdire l’entrée de cet édifice religieux situé non loin de Madrid, alors même que le Souverain Pontife arrivait en Espagne. Cette Basilique qui a été édifiée, bien évidement à l’Époque de l’État Espagnol, l’a été en hommage à tous les morts de la Guerre Civile Espagnole et une congrégation religieuse y a été installée pour prier pour toutes les victimes de cette guerre fratricide."

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22 commentaires

  1. La grande différence entre les nationaux et les républicains et que justement les républicains adoptent une politique de vengeance, alors que les nationaux ont construit ce monument magnifique de “los caïdos” pour pouvoir rendre hommage aux deux côtés.
    Ce qui est fort avec Zapatero,c’est qu’en seulement six ans, il a réussi à transformer l’un des pays les plus catholique en un pays les plus avancés sur les questions de dépravation morale.
    En gros, je pense que Zapatero a bien fait de fuir, car au moins il montre son vrai côté: un anti-cléricalisme tout droit sorti de la guerre civile espagnole.
    Vive l’Espagne catholique!

  2. Il prépare ainsi la voie aux islamistes qui se jurent de restaurer leur domination sur l’Andalousie.Que Don Carlos se réveille…!

  3. A quoi peut-on s’attendre de mieux de la part d’un socialiste ?

  4. @rom dyli
    Le 9 février 1939 fut adoptée (en Espagne, par les nationaliste qui venaient de remporter la guerre civile) une loi sur les responsabilités politiques dont la particularité était d’être rétroactive et d’englober dans les crimes politiques toutes les actions menées contre l’ordre constitutionnel depuis le mois d’octobre 1934. Cette loi sera remaniée en 1942 et restera en vigueur jusqu’en 1966.
    Entre 150 000 et 200 000 personnes ont été condamnées à mort et exécutées, entre avril 1939 et juin 1944, sans compter les milliers d’assassinats sommaires liés à l’épuration aveugle et aux règlements de compte personnels.
    Donc permettez moi de douter du fait que les nationalistes n’aient pas eux aussi adopté une politique de vengeance !

  5. Zapatero le petit est bien le digne héritier de son grand père, le capitaine républicain du même nom, ardent massacreur de prisonniers pendant la guerre.

  6. N’oublions pas que le Zapatero a été élu suite aux attentas de Madrid, mais surtout grâce à la bêtise de son prédecesseur qui avait, hâtivement, attribué ces actes terroristes à l’ETA.

  7. Zapatero est “un petit d’Espagne” !

  8. [A JP]
    Le grand père de Zapatero n’a pas eu le temps de beaucoup massacrer: prisonnier des Nationalistes, il a été fusillé pour son appartenance à la franc maçonnerie dans le mois qui a suivi le soulevement. Arriba Falange de las JONS!

  9. Pire que cette absence de ZAPATERO : la manière dont à BARCELONE les forces de sécurité, en établissant des barrages filtrants excessivement filtrants et en annonçant des difficultés qui n’ont pas eu lieu, ont soit empêché, soit dissuadé beaucoup de catholiques de rejoindre les lieux de cérémonie et de rassemblement.
    ZAPATERO a une côte tellement basse qu’il est certain qu’il va perdre les prochaines élections générales.

  10. « Los Caídos » est fermé depuis plus longtemps que cela, malheureusement, mais bien à l’initiative de Zapatero. Et ce sous le prétexte fallacieux de restaurations qui n’ont jamais eu lieu…

  11. D’après la vidéo retransmise sur SB, Zapatero ne nous a pas trop manqué.
    C’est comme l’entrarteur de l’évêque, il fait son coup et s’enfuit.

  12. Le but de cette information n’est
    pas de se lancer “le nombre de morts” à la tête et de refaire l’histoire car un chiffre en amènera un autre. Il n’est pas inutile néanmoins de relire les nombreux textes officiels sur les martyrs de l’église catholique espagnols des années 30, de atrocités perpétuées sur des religieux qui ont parfois commencé bien avant le 18 juillet 36. De même dès 1931 de nombreux édifices religieux furent détruits et saccagés. Un livre très intéressant sur le sujet est paru récemment en Espagne “Destrucción del patrimonio religioso en la II Republica” 1931-1936 de José Ramón Hernández Figueiredoes, à la lumière de rapports inédits conservés dans les archives du Vatican.
    Et sans vouloir occulter les horreurs d’une guerre civile et les responsabilités, “C’est pas moi, c’est l’autre” ne va pas faire avancer la discussion qui concerne ici le non accès à une église pour assister à une messe.
    Ce qui est aussi important de se rappeler, c’est que des moines bénédictins sont dans ce monastère pour prier pour le salut des morts des deux bords depuis des décennies et cela avec l’approbation de Rome. Par ailleurs pourquoi avoir attendu le 6 novembre 2010 jour d’arrivée du Pape et non pas avoir fermé la basilique au public dès la fin de 1975.
    Il y a des choses bien plus importantes actuellement en Espagne que d’empêcher l’accès à une basilique à des fidèles, surtout le jour de la venue du Pape dans le pays.

  13. Et comme prévu, le JT de Fr2 a consacré le même temps aux 200 homos qu’aux 20 ou 200 000 cathos présents

  14. Scène de la vie au pays basque espagnol dans les années 1960.
    Deux hommes parlent ensemble en basque, passe des guardia civils. L’un d’eux dégaine et tire à bout portant, assassine froidement un des deux basques et donne pour toute sentence : < (parle en chrétien !) La torture maintenue jusqu'à nos jours dans les commissariats, la corruption et la brutalité quasi sud-américaine de la police, etc.. Donc non, les franquistes ne sont pas des gentils bisounours. Ce fut une dictature violente et étouffante. L'accumulation quotidienne de tels actes ne pouvait qu'amener l'existence de ETA, et les excès dans l'autre sens après la fin du franquisme (libération des moeurs, anti-catholicisme, drogue, etc).

  15. C’était même une horreur de voir ces désaxés sexuel se rouler des pelles pendant l’heure de repas au JT …Franco n’était peut-etre pas un saint , mais avec lui , au moins , c’était propre et ordonné , pas comme avec ces parasites de socialistes !

  16. Désolé Mr Kantz.Vous devriez lire le livre de Pio Moa qui rehabilite grandement l’oeuvre de Franco et dénonce les mensonges communistes et de toute la gauche concernant la guerre D’Espagne :BadaJoz , Guernica…Pour ceux qui ne connaissent pas Pio Moa il faut savoir qu’il a été communiste et fondateur du groupe terroriste :GRAPO .C’est au vu de ses découvertes qu’il a dénoncé les mensonges.Les crimes des Républicains étaient gratuits,Ceux des nationalistes furent souvent des vengeances regrettables certainement.Mais ils avaient eu tellement de victimes dans leurs familles.Dans ces cas les communistes n’ont jamais fait dans la dentelle.

  17. Et c’est au “Campo de los Caïdos” qu’ a été inhumé Francisco Franco. Cela peut expliquer certaines choses.

  18. Le Valle de Los Caidos est fermé depuis bien longtemps mais il était encore possible d’y rentrer chaque jour pour la messe des moines bénédictins à 11h.
    J’y suis encore allé début octobre.
    Franco et Primo de Rivera (fondateur des phalanges) sont effectivement enterrés de part et d’autre de l’autel dans la basilique.
    Selon un moine de l’abbaye il y a plus d’ossements de rouges que de franquistes donc ce monument pourrait être un monument de réconciliation… Zapatero a déjà enlevé la gigantesque pieta, que fera-t-il du reste?…

  19. >titou82
    Il ne me semble pas judicieux et charitable de tenir de tel propos sur un site publique et identifié catholique
    avec vos propos, je trouve que le raccourcis pour
    condamnation des actes sexuels homosexuels
    vers
    condamnation des homosexuels puis catho homophobe
    est facilité

  20. A “Oktavius”:
    Je ne sais pas d’où vous sortez cette histoire à dormir debout! J’ai moi meme habité en plein centre de San Sebastian de la fin des années 60 à 1983.
    Meurtre en pleine rue? oui le père (banquier) d’un de mes camarades de classe assassiné sous ses yeux.
    Torture? Oui des deux côtés mais ne revez pas, nos commissariats parisiens ne valaient pas mieux.
    Corruption? Non, ce n’est vraiment pas le style de Guardia Civil ni des “Grises” (équivalent de nos CRS)et encore moins des militaires.
    Tous les dimanches soir, les jeunes plus ou moins etarras mais harrangués par les communistes sortaient de la parte vieja pour mettre le feu au centre ville.
    Quand à votre perception de la dictature violente et étouffante je vous assure que vous vous trompez. L’ETA n’est que le fruit d’une volonté de pénétration du marxisme international qui a exploité une fierté locale pour dresser ces espagnols les uns contre les autres et destabiliser un pays. Sans Franco (lisez le livre de Miguel des Castillo (républicain) sorti il y a 2 ou 3 ans)l’Espagne aurait aujourd’hui le tiers du PNB de la Roumanie.

  21. On ne peut pas nier que la vallée de los caidos est un mémorial franquiste hautement symbolique et que l’Eglise espagnole s’était rangée à fond du côté de Franco durant la guerre civile.
    Elle y avait certes été poussée sur l’instant, par la massacre par les républicains, de plusieurs centaines de prêtres…

  22. Tout à fait d’accord Benoist et merci d’avoir mis ce témoignage, qui correspond à une réalité espagnole que j’ai aussi, même si je n’ai résidé au pays basque que pour des petites vacances. Par contre mes souvenirs d’enfant et d’adolescente résidant dans d’autres régions d’Espagne dans les années 60-70 ne correspondent absolument pas à ce qui est dit aujourd’hui dans le cadre idéologique du parti actuellement au pouvoir.
    “le temps de Franco” de Michel del Castillo est effectivement un excellent livre pour les Français qui veulent honnêtement comprendre et qui n’ont eu qu’un son de cloche, toujours le même.
    http://www.amazon.fr/Temps-Franco-Michel-del-Castillo/dp/2213637180
    Je crois qu’il ne faut pas hésiter à lui dire sur son blog http://www.micheldelcastillo.com/ car je crains que son libre n’ait pas été apprécié à sa juste valeur en France.
    Je crois que le livre “Ce qu’on ne vous a jamais dit sur la guerre d’Espagne” de
    Christophe Dolbeau (Collection Xénophon)
    éd http://www.atelier-folfer.com/edition/edition4.html
    est aussi une très bonne approche moins littéraire et plus technique mais je ne l’ai pas lu.
    Après on peut bien sûr se plonger dans des ouvrages d’historiens espagnols, malheureusement pas traduits je crois en français.
    Il y aussi des excellents blogs comme historia en libertad
    http://historiaenlibertad.blogspot.com/search?updated-max=2010-03-17T23%3A06%3A00%2B01%3A00&max-results=20
    Ce qui est désolant c’est qu’on a l’impression que jamais, jamais certains n’admettront (contrairement à ce qui se passe aujourd’hui en Russie). Sans doute parce que cela concourt à servir encore certains intérêts qui ne sont pas forcément ceux de l’Espagne et des peuples d’Espagne pour lesquels le Saint Père prie.
    Alors qu’en période de crise on a tant besoin d’être solidaire. Vraiment je ne comprends pas.

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