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Médias : Désinformation

Violence et désinformation

Daoudal revient sur l’agression d’une professeur à Etampes. Il dénonce le mensonge opéré par les médias, qui ont affirmé que le lycée n’est pas situé dans une de ces banlieues qui se sont enflammées, que ce n’est pas un établissement "à risques", que le proviseur et les professeurs interrogés par les journalistes affirment que leur lycée est calme, qu’il n’y a aucun problème avec les élèves, dont le niveau est d’ailleurs supérieur à la moyenne nationale. Quant à l’agresseur, c’est un garçon calme qui n’avait jamais fait parler de lui. On ne sait pas du tout ce qui lui a pris.

Changement de disque : les médias savaient, ne serait-ce que par l’AFP, que le garçon avait des "problèmes de discipline", qu’il a agi avec préméditation, pour se venger. On sait que le garçon est entré en classe avec sa veste et son bonnet, et qu’il refusait de les enlever, afin de provoquer l’incident. Ce qui prouve que ce lycée est bien "à risques", car il s’agit du problème le plus courant des établissements "à risques", où les professeurs doivent négocier pour que les élèves acceptent de retirer leur manteau, leur bonnet, leur casquette…

Le lendemain, la réaction du mari de la victime, puis de la victime, puis d’autres professeurs, a fait voler en éclats la désinformation et le mensonge. La jeune femme était régulièrement menacée. Elle rentrait chez elle en pleurs. Quant au garçon, qui s’appelle Kevani Wansale, il avait été exclu de l’établissement pour trois jours pour "comportement injurieux". Connu pour son absentéisme, il est décrit par les enquêteurs comme un élève qui "ne supporte pas les contraintes et conteste les consignes de l’école".

On se retrouve donc dans le cas de figure le plus banal des banlieues ethniques. Où la violence et l’omerta règnent en maîtres.

Michel Janva

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2 commentaires

  1. Le jeune homme a également été présenté comme un “élève”, un “adolescent”, un “jeune”, alors que c’est un adulte de 18 ans…
    (bien que l’on puisse discuter de la majorité à 18 ans, mais c’est un autre sujet)

  2. En effet, aucun journal n’a donné son nom ni même son prénom, alors que le délinquant, pardon le criminel, est majeur.
    Bizarre non? comme dans le cas de la voiture de pompiers volée à Thionville par des “jeunes”, qui ont bléssé des enfants et tué un fillette; ou cette ambulance volée avant-hier par des “jeunes” et qui a tué une jeune femme.
    Evidemment, si les journalistes devaient dirent la réalité des faits, ils donneraient raison à Le Pen, alors ils se taisent ou omettent ce qui les gênent…
    mais les Français ne sont plus dupes et commencent à se rendre compte des “bienfaits” de l’immigration…

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