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Pays : Etats-Unis

USA : il n’y a pas que la présidentielle

En même temps que les élections présidentielles, se déroulent des référendums dans certains Etats américains. Les électeurs de Floride se prononcent sur l’inscription dans la Constitution de la définition du mariage (l’union entre un homme et une femme) mais aussi sur l’interdiction constitutionnelle de toute union civile ou partenariat enregistré qui donnerait les mêmes droits que le mariage. Un sondage indique que le “oui” recueillerait 55% et le “non” 35%. Mais pour que cet amendement soit adopté, il doit recueillir 60%. Son sort dépend donc des 10% d’indécis.

De même, les électeurs d’Arizona se prononcent pour (ou contre) inscrire dans la constitution que le mariage est l’union entre un homme et une femme, à l’instar de la proposition 8 en Californie. En 2006, un amendement constitutionnel, qui prévoyait d’interdire non seulement le “mariage” homo, mais aussi tout autre statut pour les couples homos, avait été rejeté de justesse dans cet État. Un sondage publié le 30 septembre donnait le “oui” en tête avec 49%, contre 42% pour le “non” (9% d’indécis).

Enfin, les électeurs du Dakota du Sud, du Colorado et de la Californie sont appelés à se prononcer sur des textes liés à l'avortement :

  • La mesure présentée en Californie, similaire à des propositions déjà rejetées deux fois auparavant, imposerait un délai d'attente de 48 heures et une notification aux parents avant que des mineures puissent recourir à l'avortement.
  • La mesure proposée au Dakota du Sud bannirait l'avortement sauf dans les cas de viol, d'inceste ou de risque sérieux pour la santé de la mère.
  • Au Colorado, la proposition définit la vie humaine comme commençant au "moment de la fécondation", ce qui constituerait une remise en cause de l'avortement.

 C Le camp pro-mort estime que l'amendement a de bonnes chances d'être rejeté au Colorado, où il divise jusque dans le camp pro-life. Le vote devrait toutefois être serré au Dakota. Les militants pro-vie de cet Etat se disent confiants et ne cachent pas que leur objectif à plus long terme est de remonter jusqu'à la Cour suprême qui donnerait l'occasion de casser l'arrêt "Roe vs. Wade". Et c'est là que l'élection présidentielle prend toute son impoprtance, puisque les juges de la Cour suprême (photo) sont nommés par le Président. Aujourd'hui, 4 sur 9 sont provie (grâce à Georges W. Bush) et 2 libéraux pourraient être remplacés d'ici 2012 en raison de leur âge. Il est clair qu'Obama nommera des juges pro-mort tandis que McCain a promis de poursuivre dans un but provie.

Michel Janva

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2 commentaires

  1. OBAMA POURSUIVI DEVANT LA COUR FEDERALE DE PHILADELPHIE SUR BASE DU FAIT QU’IL EST CONSTITUTIONNELLEMENT INELIGIBLE POUR LA PRESIDENCE
    Traduction :
    Par Jeff Schreiber
    America’s Right.com
    Un éminent avocat de Philadelphie et supporter d’Hillary Clinton a introduit une plainte cet après-midi auprès de l’U.S. District Court du district Est de Pennsylvanie contre le sénateur de l’Illinois Barack Obama, auprès du Democratic National Committee (Comité démocratique national ou DNC) et auprès de la Federal Election Commission (commission fédérale des élections). Cette action vise un arrêt de suspension empêchant le sénateur de poursuivre sa candidature et une ordonnance du tribunal enjoignant le DNC de ne pas le nommer la semaine prochaine, tout ceci sur base du fait que le sénateur Obama est constitutionnellement inéligible à se présenter (aux élections) et à exercer les fonctions de Président des Etats-Unis.
    Philip Berg, l’avocat qui a déposé la plainte, est un ancien candidat aux postes de gouverneur et de sénateur, ancien président du Parti démocratique du Comté de Montgomery (Pennsylvanie), ancien membre du Comité d’État démocratique, et ancien sous-procureur général de Pennsylvanie. Selon Berg, il a introduite cette demande de procès – juste quelques jours avant que le DNC tienne sa convention de nomination à Denver – pour la santé du Parti démocratique.
    «J’ai déposé cette action en ce moment», a déclaré Berg, « pour éviter les problèmes évidents qui se produiront lorsque le Parti républicain soulèvera ces questions après qu’Obama ait été nommé ».
    Berg a cité cite devant le tribunal un certain nombre de questions restées sans réponse en ce qui concerne le passé du sénateur de l’Illinois, et la poursuite en justice d’aujourd’hui a soutenu que le sénateur Obama n’est pas un citoyen américain d’origine ou que, s’il l’a jamais été, il a perdu sa citoyenneté lorsqu’il fut adopté en Indonésie. Berg cite également cite devant le tribunal ce qu’il appelle “les doubles loyautés” en raison de la nationalité et des liens (d’Obama) avec le Kenya et l’Indonésie.
    Même si le sénateur Obama peut prouver sa citoyenneté américaine, a déclaré Berg, citant devant le tribunal l’utilisation faite par le sénateur d’un certificat de naissance provenant de l’État d’Hawaii et certifié comme faux par trois scientifiques indépendants experts en documents, le problème de “multi-citoyenneté avec des responsabilités et une allégeance dues à d’autres pays” reste sur la table.
    Dans le procès, Berg déclare que le sénateur Obama est né au Kenya, et non à Hawaï comme le sénateur le soutient. Avant de donner naissance, selon le procès, la mère d’Obama s’est rendue au Kenya avec son père, mais a été empêchée de retourner en avion à Hawaï en raison du stade avancé de sa grossesse, « une restriction apparemment normale afin d’éviter les naissances au cours d’un vol ». Comme les propres grand-mère paternelle, demi-frère et demi-soeur du sénateur Obama l’ont également affirmé, Berg soutient que Stanley Ann Dunham – la mère d’Obama – a donné naissance au petit Barack au Kenya et a par la suite pris l’avion pour Hawaï afin de faire enregistrer la naissance.
    Berg cite devant le tribunal les récits incompatible de la naissance du sénateur Obama, en ce compris des rapports selon lesquels il est né dans deux hôpitaux – le Kapiolani Hospital et le Queens Hospital – à Honolulu, ainsi qu’un profond manque de dossiers de naissance pour Stanley Ann Dunham, bien que de simples dossiers de « registre naissance » pour Barack Obama soient disponibles dans un bureau hawaïen des registres publics.
    S’il se révélait que le sénateur Obama est véritablement né au Kenya, écrit Berg, les lois contenues dans les livres au moment de sa naissance stipulent que la nationalité américaine peut seulement être cédée à un enfant, né d’un parent qui est citoyen américain et d’un autre parent qui n’est pas citoyen, si le parent qui est citoyen américain avait au moins 19 ans. La mère du Sénateur Obama n’avait que 18 ans à l’époque. Par conséquent, parce que la citoyenneté américaine ne pouvait légalement lui être transmise, Obama n’a pas pu être enregistré comme un citoyen “né sur le sol américain” et serait donc inéligible comme candidat à la présidence, conformément à l’article II, section 1 de la Constitution des États-Unis.
    En outre, même si le sénateur Obama pouvait avoir été quelque peu considéré comme « né sur le sol américain », cette citoyenneté fut perdue en ou aux alentours de 1967, lorsque lui et sa mère prirent résidence en Indonésie, où Stanley Ann Dunham se maria à Lolo Soetoro, un citoyen indonésien. Berg déclare aussi qu’il possède des copies de l’inscription du sénateur Obama à l’école Fransiskus Assisi à Jakarta, en Indonésie, et qui montrent clairement qu’il fut inscrit sous le nom de “Barry Soetoro” et que sa nationalité était reprise comme étant indonésien.
    Le certificat de naissance hawaïen, dit Berg, est un faux. Dans le procès, le procureur indique que le certificat de naissance repris dans le dossier est un faux, a été identifié en tant que tel par trois scientifiques indépendants experts en documents, et, appartenaient en fait à Maya Kasandra Soetoro, la demi-sœur du sénateur Obama.
    “Les électeurs ont donné de l’argent, des biens et des services pour élire un candidat et ont été escroqués par les mensonges et obscurcissements du Sénateur Obama”, a déclaré Berg. “Si les officiers du Democratic National Committee… avaient fait preuve d’un zeste d’application, nous ne nous retrouverions pas dans cette situation d’urgence, à une semaine de rendre candidate une personne qui a perdu sa citoyenneté étant enfant et n’a même pas effectué les démarches de base afin de regagner la citoyenneté tel que cela l’est prescrit par les lois constitutionnelles”.
    « C’est injuste pour le pays », a-t-il poursuivi, « et pour les candidats des 2 partis, de devenir le candidat nominé lorsqu’il y a un problème concernant la capacité à servir si on est élu”.

  2. J’avais oublié de mentionner le lien:
    http://hillary.meilleur.choix.qu-obama.over-blog.com/pages/OBAMA_INELIGIBLE_-704154.html
    Si le plaignant peut prouver qu’Obama n’est pas né à Hawaï, son élection serait inconstitutionnelle !

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