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France : L'Islam en France

Un radicalisé a eu accès aux données personnelles de policiers catholiques

Un radicalisé a eu accès aux données personnelles de policiers catholiques

A Chartres, une policière convoque un homme à la suite de violences sur mineurs. Elle se rend compte que l’individu fait l’objet d’une fiche S pour « individu dangereux susceptible d’être armé, en lien avec un réseau logistique et avec la mouvance islamique ».

C’est alors que l’homme lui parle de sa famille, ses enfants, son mari et le fait qu’elle est une catholique pratiquante. Et il avoue qu’il détient ces informations de sa voisine, qui n’est autre que la patronne de brigade de nuit du XIVe arrondissement de la capitale.

Les faits sont remontés jusqu’à la préfecture de Paris et mis à l’attention de l’IGPN qui va mener une enquête. Les officiers du commissariat du XIVe vont également mener une enquête administrative. 20 des 23 officiers vont rédiger un rapport, ne sachant pas si leur patronne a divulgué des informations personnelles les concernant.

Au final, un an après les faits, l’individu n’est plus fiché S, mais seulement « connu défavorablement de services de police ». La préfecture de police s’est fendue d’un communiqué laconique :

« Une enquête administrative a été ouverte, aucun manquement grave de divulgation d’information à un tiers n’a pu être imputé à la fonctionnaire mise en cause, un avertissement lui a été notifié ».

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6 commentaires

  1. On ne saura pas l’origine ethnique de la patronne de brigade de nuit…

  2. “aucun manquement grave de divulgation d’information à un tiers n’a pu être imputé à la fonctionnaire mise en cause”
    Rien que cette phrase est un mensonge scandaleux !

  3. Cette fonctionnaire de police est une tratre qui devrait au moins être exclue de la fonction publique à vie.
    Mais comme nous sommes gouverrnés par des traitres élus par des idiots, il ne faut pas s’étonner de ce qui se passe.

  4. Pourquoi a-t-elle écopé d’un avertissement s’il n’y avait rien à lui reprocher?!!
    Il y a vraiment une 5è colonne dans ce pays, quel malheur.

  5. On a vu beaucoup plus grave à la Préfecture de Police de Paris. Mais un jeune policier a résolu le problème de façon plus efficace et plus définitive…

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