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Culture de mort : Idéologie du genre / Liberté d'expression / Pays : Etats-Unis

Un professeur d’université américaine, blâmé pour avoir refusé de se soumettre à l’idéologie du genre, gagne son procès

Un professeur d’université américaine, blâmé pour avoir refusé de se soumettre à l’idéologie du genre, gagne son procès

Un lecteur nous transmet cette bonne nouvelle : un professeur d’université américaine, blâmé pour avoir refusé d’utiliser les pronoms d’un étudiant transgenre, au nom de ses principes religieux et philosophiques, vient d’être indemnisé par son employeur à hauteur de 400 000$, après 4 ans de procédure.

Traduction :

Un professeur d’université publique de l’Ohio qui a été sanctionné il y a quatre ans pour avoir refusé d’utiliser les pronoms d’un étudiant transgenre se voit attribuer 400 000 $ à la suite d’un procès contre l’université.

Nick Meriwether, professeur de philosophie à la Shawnee State University de Portsmouth, Ohio, a poursuivi l’université en 2018 après avoir été sanctionné pour ne pas avoir utilisé ses pronoms pour désigner une femme transgenre, selon un communiqué de presse de Alliance Defending Freedom (ADF), une organisation juridique spécialisée dans les affaires de liberté religieuse et de liberté d’expression.

Lors d’un cours de philosophie en janvier 2018, Meriwether a répondu à l’étudiant en utilisant la phrase “Oui, monsieur”. Une fois le cours terminé, l’élève a demandé à Meriwether d’utiliser ses pronoms pour s’adresser à elle, mais Meriwether a refusé de le faire, selon ADF.

Meriwether n’a pas accepté la demande de l’étudiant, tandis que des documents judiciaires indiquent que l’étudiant est devenu “belligérant” et a promis que le professeur serait renvoyé. L’étudiant, qui n’a pas été nommé, a déposé une plainte contre Meriwether, ce qui a déclenché une enquête officielle auprès de l’université.

Selon l’ADF, l’université a décidé que Meriwether devait utiliser les pronoms corrects de l’étudiant – ce qui, selon Meriwether, allait à “l’encontre de ses convictions religieuses et philosophiques”.

L’université a jugé que Meriwether avait créé un “environnement hostile” pour l’étudiant anonyme, plaçant finalement un avertissement écrit dans son dossier personnel et le menaçant “d’autres mesures correctives”, selon ADF.

En 2018, Meriwether a intenté une action en justice contre la Shawnee State University, que l’école a tenté de faire rejeter. Mais l’année dernière, la Cour d’appel des États-Unis du 6e circuit s’est prononcée en faveur de Meriwether, selon l’ADF.

Le tribunal a statué que les responsables de l’université avaient violé les droits à la liberté d’expression du professeur lorsqu’ils l’avaient sanctionné.

Dans un communiqué de presse, l’ADF a annoncé qu’elle était parvenue à un accord avec Shawnee State, l’université acceptant de payer 400 000 $ en dommages intérêts ainsi que les frais de procédure de Meriwether.

De plus, l’avertissement écrit ajouté à son dossier personnel en 2018 sera supprimé.

La Shawnee State University a déclaré dans un communiqué qu’après quatre ans de poursuites judiciaires, l’université avait décidé de prendre une “décision économique” pour régler l’affaire.

“Bien que nous ayons décidé de transiger, nous nions catégoriquement que quiconque à Shawnee State ait privé le Dr Meriwether de ses droits à la liberté d’expression ou de son droit d’exercer librement sa religion”, indique le communiqué de l’université.

Depuis que la poursuite a été déposée il y a près de quatre ans, a déclaré l’université, “il est devenu clair que l’affaire était utilisée pour faire avancer des agendas sociaux et politiques qui divisent, au détriment de l’université et de ses étudiants”.

“Ce prix est mieux dépensé pour remplir la mission de service de Shawnee State envers nos étudiants, nos familles et notre communauté”, selon l’université.

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2 commentaires

  1. C’est réjouissant.
    Une autre parade consisterait à utiliser la réalité biologique: s’il ne veut pas être appelé ‘monsieur’, on peut l’appeler ‘mâle’, c’est une réalité incontestable (ou ‘femelle’ selon le cas). Rappelons que le nom ‘homme’ désigne le mâle (biologique) de l’espèce humaine, comme ‘femme’ désigne la femelle. Bien sûr l’interlocuteur se trouverait ridicule mais de son propre fait.

  2. “Femme transgenre”, quesaquo? Définition… “Une femme trans ou femme transgenre est une personne dont l’identité de genre est féminine, alors que le genre qui lui a été assigné à la naissance sur la base de l’apparence de son sexe est masculin.” (Wikipédia). Ah, bon. Cet individu est donc un XY se faisant passer pour un XX ? merci dans ce cas d’utiliser le qualificatif de “homme” (ce qu’il est génétiquement) “transgenre” (le parcours qu’il a accompli).

    Le parcours ne modifie en rien l’identité génétique, et organique (sauf mutilations). Un XY reste un XY quelles que soient ses affirmations, travestissements, opérations chirurgicales et autres traitements hormonaux.

    Relayer le qualificatif de “femme transgenre” dans ce cas est se soumettre au diktat des énervés du sexe qui prétendent que l’identité est ce que l’on affirme. Non. L’identité sexuelle est un fait, et mentir sur ce fait ne changera pas le fait, mais transformera celui qui ment en un menteur. L’étudiant était bien un “homme transgene”, pas une “femme transgenre”. Le professeur a adressé l’étudiant par “sir” avec raison.

    Merci de ne pas céder au dictats du LGBTxyz.

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