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France : Société

Un père poursuivi pour une gifle au violeur de sa fille

En juillet 2010, un couple apprend que la dernière de leurs quatre enfants, une fillette de 4 ans, a été victime d'un viol. L'auteur, 13 ans, est le fils de leurs amis, qui viennent chaque été en Dordogne. Son jeune âge lui évite un procès aux assises, il passe devant le juge des enfants. Le viol devrait être jugé à l'automne.

Mais hier, les parents de la fillette étaient poursuivis. Leur avocate, Me Pascale Lascaray, ne cachait pas sa colère de les voir répondre, devant le tribunal de Bergerac, de violences envers l'adolescent. Elles ont été commises en présence de son père, qui n'a pas estimé devoir s'interposer. Mais la mère a porté plainte pour un œil au beurre noir !

Le vice-procureur demande 300 euros avec sursis. Le tribunal a tranché pour une peine de 200 euros avec sursis.

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38 commentaires

  1. Du n’importe quoi! On vit vraiment dans un pays de dingues….

  2. La justice laisserait les violeurs et les pédophiles dehors et interdirait à leurs victimes la moindre réaction ?
    Ah oui. On est bien en France.

  3. Il est évident qu’une gifle est infiniment plus traumatisante, quand elle est infligée à un pré-adolescent, qu’un viol d’une toute jeune enfant (il n’y a dans ces cas, pas eu de “conséquence”, et puis, de toute façon, si ça avait été le cas, la fillette aurait pu avorter).
    Hélas, nous ne sommes dans dans un rêve, il s’agit de la réalité.

  4. Voilà les fruits de l’éducation sexuelle à l’école et de la déculpabilisation des relations hors mariage.

  5. on a les politiques les plus pourris mais on a aussi la justice la plus pourrie!

  6. Sans vouloir jouer l’avocat du diable, une gifle ne provoque pas d’œil au beurre noir… Bref, soit ce n’est pas une gifle – et donc il s’agit d’un coup (de poing ? – soit il y a un mensonge de la partie civile.
    Bref, l’histoire n’est pas claire… quand bien même elle parait glauque et inique au premier abord…

  7. Ses propres parents auraient dû le corriger autrement plus fermement. Avec une mère aussi bêtement réactive, le voyou n’a aucune chance d’apprendre à distinguer le bien du mal ! Minable juges français.

  8. PK, vous plaisantez, non…
    Je pense. Parce qu’une gifle peut parfaitement provoquer un oeil au beurre noir.

  9. Si demain le gamin viole sa mère ou son éventuelle soeur et que le père le traite de sale porc, la mère portera-t-elle plainte contre son mari pour insultes envers son fils ? Idem si l’éventuelle soeur se défend et blesse le fils…

  10. Les plus minables ne sont pas les juristes mais bien avant tout les parents…!!

  11. Un oeil au beurre noir pour le viol d’une fillette de QUATRE ans, c’est peu cher payé pour une perversité absolue !

  12. Et à nouveau le même déchainement de commentaires ineptes…
    Il faut quand même rappeler que la civilisation chrétienne occidentale a depuis longtemps abandonné la loi du Talion et qu’une gifle (assez “virile” si j’en juge l’œil au beurre noir) même en provenance de la victime de faits odieux n’est pas acceptable dans ce contexte.
    (je ne parle pas évidemment du droit de correction d’un parent sur son enfant ce qui est une toute autre histoire)
    Au fil des siècles et sous l’influence des juridictions ecclésiastiques notamment, l’occident a mis en place un système de réparation publique en lieu et place de la vengeance privée. C’est le sens même de la justice que de se substituer au désir – parfois légitime – de vengeance des victimes pour leur offrir tant à elles qu’à la société une mesure d’apaisement et de restauration de l’ordre. Les prétoires offrent des exemples quotidiens de gens qui ont parfaitement compris ce mécanisme et qui attendent douloureusement la décision du juge pour “se faire justice”. C’est ce qui aurait pu se passer ici.
    Alors pitié messieurs les commentateurs, halte aux simplifications abusives et un peu de respect pour l’organisation de notre société.

  13. PK@ vOUS AVEZ RAISON; Cet enfant n’a pas été jugé.La violence du père de la fillette tombe sous le coup de la loi..
    Il est regrettable que d’aucuns ne maitrisent pas leurs nerfs et injurient la justice de notre pays sans plus de preuves…Zen
    Quant à remettre en cause l’éducation sexuelle à l’école,….!!!et les relations extra conjugales déculpabilisées…Je rève….

  14. Pourquoi s’émouvoir de celà, tout va changer : la garde des sceaux , ministre de la justice,la ci-devante Mme Taubira va remettre bon ordre à un système décadent… et enverra les délinquants au bagne à Cayenne!

  15. @ Denis Merlin : parce qu’avant qu’on n’introduise des cours d’éducation sexuelle à l’école, les jeux sexuels malsains de certains ados et les viols n’existaient pas ? Merci pour l’info…

  16. @ PK, @ Senex et @ Jean Chevagneux :
    On peut toujours réagir en légaliste. Toutefois, ceux qui connaissent un tout petit peu le système judiciaire actuel, et notamment en matière de justice des mineurs, savent bien qu’on est très loin des beaux principes…
    En outre, si la “vengeance privée” n’est pas recommandable, la “correction paternelle”, la réprobation sociale explicite et la dénonciation publique dans le cas de faits odieux ne doivent jamais être exclues.
    Enfin, le monde judiciaire ne peut qu’observer une augmentation des affaires de mœurs que l’on peut aisément mettre en parallèle avec l’augmentation de la permissivité et de la banalisation de la sexualité ! (Le contenu et les déclarations de certains prévenus sont très clair sur les liens de causes à effets. N’en déplaise à tous les laxistes et autres incrédules!).

  17. “@ Denis Merlin : parce qu’avant qu’on n’introduise des cours d’éducation sexuelle à l’école, les jeux sexuels malsains de certains ados et les viols n’existaient pas ? Merci pour l’info…”
    Statistiquement du temps où l’Eglise enseignait la morale en France le viol était très rare, très rare. Je me souviens de la réprobation que causait les rares affaires de viols, dans mon enfance.
    Tout est question de statistique. Allez-vous nier que le nombre de viol a augmenté dans des proportions incroyables depuis la “libération sexuelle” de 1968 et la légalisation de la pornographie par Giscard d’Estaing ?
    Quant au viol par un enfant d’un autre enfant, je crois que cela n’existait pas.
    @ monsieur Jean Chavagneux, il existe tout de même l’opportunité des poursuites dont est juge le Parquet. Il ne semble pas qu’il y ait eu poursuites de la partie civile. Donc ce procès n’était pas nécessaire ou ne semble pas avoir été nécessaire, compte tenu des circonstances. D’autre part, le tribunal pouvait se borner à constater l’infraction sans prononcer de peine… On pouvait aussi tenir compte de la qualité de victime du père.

  18. Avoc @ Avant le procès ce gosse est présumé innocent,maitre.Vous semblez défendre le talion

  19. @Jean Chavagneux
    Le violeur à eu un hématome orbitaire, on peut le regretter, mais il n’a pas été violé, donc l’allusion à la “loi du Talion” est hors sujet.
    Si vous trouvez la société actuelle, et la Justice en particulier, bien organisée, libre à vous de les respecter. Pour moi, j’y vois un désir de déconstruction du christianisme qui va croissant.
    C’est très bien d’en appeler à la civilisation chrétienne, mais je vous rappelle que le “martinet” doit son nom à St Martin et que le saint Padre Pio ne finassait pas ainsi et affirmait “les taloches et les petites brioches, font les bons enfants” ; je préfère cette approche à celle rousseauiste du Dr Benjamin Spock.
    @ domi
    Si vous ne percevez pas l’involution contemporaine accélérée des mœurs sexuelles, chez les adolescents et les enfants (“pré-ados”), c’est que vous ne voulez pas la voir. Même si l’éducation sexuelle n’est pas seule en cause, elle produit des curiosités malsaines en pleine phase de latence sexuelle (qui du coup disparaît, cf. Freud, Sigmund et Anna); ainsi, bien des gamines y apprennent l’intérêt des rapports bucco-génitaux (pas de risque de grossesse!) avant même de savoir lire… d’où la multiplication des cas de papillomes bucco-pharyngés). Ce n’est pas par hasard si aux USA et en GB, vaccins anti-MST et pilules sont maintenant administrés aux enfants à partir de 11 ans, etc.
    Il faut distinguer l’existence de certaines perversions, de leur propagation dans une population donnée. Cela permet de mesurer la vitalité des principes éthiques dans nos sociétés à différentes époques.

  20. Rappelons tout de même que la loi du Talion constituait un progres notable dans une civilisation où l’usage etait plutôt de se venger au centuple…

  21. je suis surpris, ou bien certains des commentateurs n’ont pas d’enfant, ou bien ils n’ont pas compris. Il ne s’agit pas de la loi du talion mais de la colère d’un père. Dans les années 50, 60 70 au catéchisme nous apprenions qu’à 7 ans nous avions l’âge de raison ,ce qui signifiait que nous avions suffisamment de discernement entre le bien et le mal qu’on nous avait inculqué. Ce jeune a 13 ans, il sait très bien ce qu’il fait ou il n’est pas normal, et à ce moment-là on le soigne. Quant à la réaction du père elle me paraît des plus humaines, même si elle n’est pas chrétienne, et le jeune a eu de la chance de ne prendre qu’une gifle, d’autres l’aurait passé à tabac. Personnellement,un jeune aurait fait la même chose à ma fille ou à une de mes petites filles, je ne sais pas comment j’aurai réagi. D’autant que cette petite fille va vivre toute sa vie avec cette tache indélébile, j’en parle en connaissance de cause, elle en aura des séquelles 50 ans après. Je lui souhaite de pouvoir oublier, mais je pense que c’est très difficile à sortir de la mémoire. Quant au jeune même s’il n’a que 13 ans, il mérite une bonne punition et j’ai bien peur que s’il commence à cet âge, il ne commette d’autres forfaits plus tard. Il est grand temps de punir sévèrement tous ceux qui sont à la source de tant de mots: franc-mac, gauchistes de tout poil, etc, qui pronent la liberté de faire ce qu’il nous plaît

  22. Je précise que je suis opposé aux châtiments corporels. Je ne suis donc pas d’accord avec le coup qui a causé l’œil au beurre noir. Mais d’ici à traîner le père devant un tribunal… Un bon sermon à huis clos du Parquet aurait sans doute suffi.

  23. Monsieur Merlin je ne peux que souscrire à votre dernière remarque. J’y mettrais toutefois une nuance : vous auriez entièrement raison si le garçon est reconnu coupable. S’il est reconnu innocent ce n’est plus la même chose.
    chouan 12 vous avez raison aussi cependant dans les années 50, 60, 70 on n’apprenait que les relations sexuelles hors mariage c’était mal. Maintenant on apprend que c’est bien.

  24. Je ne suis pas certaine qu’il faille mettre en lien la morale à l’école et le nombre de viols.S’il y avait moins de viols c’est peut être aussi parce qu’ils n’étaient pas dénoncés. Tout comme l’inceste. Et il suffit de parler avec des médecins de campagne pour savoir qu’il est loin d’avoir disparu…!
    Dans l’affaire de ce garçon, c’est l’attitude la mère qui me choque ! Comment arriver à porter plainte quand on sait que son fils est probablement l’auteur d’un viol…

  25. Laurence@ les mères sont comme ça, elles aiment pour le meilleur et pour le pire.Revoir la question après le procés….

  26. @chouan
    Ok sauf sur un point : vous ne pouvez pas condamner moralement le père en affirmant que le geste du père ne serait “pas chrétien”.
    Pas légal, c’est possible, mais “pas chrétien”, impossible d’en juger.
    Quel est l’intention profonde du père : colère impulsive, désir de vengeance prémédité, ou bien sainte colère ? Quel est l’effet sur le jeune : destructeur, ou au contraire choc salutaire, prise de conscience bénéfique ? Dieu seul le sait.
    Quand à moi, je donne volontiers le bénéfice du doute à ce père.
    Et je souhaite que l’enfant tire grand profit de cette humiliation pour s’amender vraiment.
    Plus généralement à propos de la juste attitude face au mal on doit se souvenir du Christ, qui usa de mille registres toujours adaptés aux situations pour le bien des personnes. Sans exclure la violence verbale ou physique lorsque nécessaire. Le seul point commun : rechercher le vrai bien de l’autre. Pour nous, les passions l’emportent souvent et il n’est pas trop d’une vie pour apprendre à L’imiter en discernant un peu mieux nous aussi.
    Antoine

  27. Chère madame Fournier
    “Je ne suis pas certaine qu’il faille mettre en lien la morale à l’école et le nombre de viols.S’il y avait moins de viols c’est peut être aussi parce qu’ils n’étaient pas dénoncés. Tout comme l’inceste. Et il suffit de parler avec des médecins de campagne pour savoir qu’il est loin d’avoir disparu…! ”
    Cet argument est archi connu. Mais enfin comment croire à sa vérité ? Comment croire que l’idéal n’aurait aucune influence ? Comment croire que tous les viols seraient dénoncés aujourd’hui ? L’immense majorité des viols aujourd’hui restent impunis, ils ne viennent même pas à la connaissance de la justice. D’ailleurs si les viols étaient si réprouvés autrefois, au contraire les femmes le dénonçaient plus facilement sachant qu’on les considérerait. Dans la société chrétienne la femme violée est une victime.
    Ce perpétuel souci de diffamer la société chrétienne n’a pas de fondement dans les faits. Statistiquement, il y avait beaucoup, beaucoup moins d’agressions sexuelles et de viols. D’ailleurs les violeurs et agresseurs sexuels sont tous ou presque des assidus de la pornographie. Quand ce genre de saleté s’étale partout et est facile à se procurer comment croire que cela n’a pas d’incidence sur la fréquence des crimes sexuels ?
    Cher monsieur Barathéon,
    Effectivement on peut penser que la présomption d’innocence demanderait alors que le père soit jugé après. Il est en tous cas gênant de “refaire l’histoire” de gens qui ont pris des responsabilités et alors que nous n’avons pas tous les éléments.
    On peut seulement parler de cette affaire comme d’un cas d’école dont on doit discuter comme d’un cas d’école. D’ailleurs, je répondais à monsieur Chavagneux et lui rappelait qu’il pouvait y avoir d’autres solutions, toujours hypothétiques…

  28. à Antoine, je ne me suis sans doute pas bien fait comprendre: je ne condamne moralement pas le père au contraire, si vous avez bien suivi mon raisonnement je trouve absolument normal qu’il ait agi ainsi, je veux dire par ce n’est pas chrétien qu’un saint aurait pardonné, moi je n’en suis pas capable à ce niveau-là, mais loin de moi l’idée de le juger.

  29. Le premier commentateur dit “On vit vraiment dans un pays de dingues” (oui, depuis que la république s’est imposée à nous par le génocide des Français) mais les Français font-ils quelque chose pour changer les institutions ? S’engagent-ils à Alliance royale ? Si cela était, nous pourrions couvrir toute la France aux législatives alors que là, nous couvrons 34 circonscriptions, mais les Français, abrutis de république, préfèrent s’engager dans les partis républicains contre toute logique.
    Qu’ils ne viennent pas se plaindre après !

  30. @ chouan
    Si vous pensez réellement qu’aujourd’hui un gamin passé l’âge de 7 ans a atteint l’âge de raison, vous vous méprenez totalement : cela fait belle lurette que l’éducation permissive ajoutée à un relativisme pernicieux ont faussé tous les repères de la plupart des enfants : sans vouloir excuser le geste ignoble de cet adolescent, il est fort probable qu’il ignore totalement la gravité de son acte et que seule la baffe lui ait paru comme quelque chose de démesurée (surtout s’il n’en a jamais reçue !)

  31. Eh bien moi, je souhaite à toutes les petites filles (et tous les petits garçons) d’avoir un père comme celui-là !
    Et je souhaite à tous les violeurs et autres abuseurs d’avoir ainsi un rappel à l’ordre qui leur permette une pleine prise de conscience !
    Car on ne commet pas de tels actes, quoique l’on dise et quel que soit l’état de dépravation de la société, sans avoir conscience d’une gravité certaine et lourde – même si cette conscience n’est pas aussi pleine que celle d’un adulte.
    Il y a tout de même deux âmes gravement piégées là-dedans : la victime D’ABORD, dont la conscience a besoin d’être éclairée pour qu’elle puisse grandir et affronter l’adolescence en subissant le moins de contrecoups possibles d’un acte SUBI, mais aussi et non moins, d’une certaine façon, je dirais même PLUS, le criminel, qu’il va falloir remettre dans le droit chemin, de gré ou de force au début, mais qui devra continuer à grandir en traînant ce boulet de sa terrible souillure et de sa honte.
    Jusqu’à ce qu’il y ait repentir véritable, demande sincère de pardon et sérieux COMBAT pour amender ses mauvaises habitudes.
    La réaction de la mère est gravement indigne, très particulièrement à l’égard de son fils dont elle couvre ainsi les débordements, alors qu’elle devrait se remettre sérieusement en cause, elle et son mari, pour n’avoir pas perçu les symptômes qui pouvaient, voire devaient, conduire à une telle dérive ! Ce qui était pourtant son devoir.
    La tentation existe. Pour toute âme et jusque dans les “meilleures familles”. La différence, c’est que les parents des VRAIES meilleures familles ont les yeux et les oreilles de l’âme et du coeur ouverts pour éviter à leurs enfants des blessures : celles que l’on reçoit; peut-être plus encore celles que l’on se cause à soi-même en commettant le mal à l’égard d’autrui.
    De tels actes en effet ne viennent pas à l’esprit d’un enfant, même grand, même “pré-adolescent” d’un seul coup !

  32. Il me semble, sauf erreur, que l’on ne sait pas si la mère a déposé plainte. Il se peut que la poursuite soit de l’initiative du Parquet, sans plainte de personne. D’ailleurs, il semble qu’il n’y avait pas de partie civile au procès intenté à l’auteur de la “gifle”.
    On peut comprendre aussi les magistrats qui ne veuillent pas que les affaires qu’ils ont à traiter tournent à la foire d’empoigne.
    Les vrais coupables dans cette affaire ne sont pas dans le prétoire. Ce sont toutes les associations sexualistes et le gouvernement qui est leur complice.

  33. “que les magistrats ne veuillent pas”

  34. A quand une monarchie pour remettre de l’ordre ?

  35. @ Jean Chavagneux
    Vous plainsantez j’espère ?
    1- Oui évidement pas de Talion. Mais vous êtes hors-sujet. Mettre sur le même plan une gifle avec un viol est littéralement odieux. On nage en plein relativisme ridicule.
    3- Sûr, la virilité et l’éducation ferme des enfants n’est plus à la mode mais on devrait y reréfléchir sérieusement…
    Sans tomber, évidement, dans des excès.
    2- Je n’accorde personnellement strictement AUCUNE CONFIANCE à la justice de ce pays qui laisse des pédophiles au gouvernement ou se présenter à des élections.
    Qui pourchasse des pro-vie qui prient devant un théatre.
    Qui les laisse par contre des hordes de barbares prier illégalement ds nos rues.
    Et de manière habituelle préfère courir après les victimes que les coupables.
    Ceci est la nième démonstration de la perversité de notre société devenue trop couramment débile.

  36. Fichtre! Nous avons ici de brillants intellectuels ou de saintes âmes…
    Très modeste père de famille nombreuse je ne sais ce dont je serais capable (coupable) si l’on violait une de mes filles. Je considérerais comme effet de la grâce divine la modeste réaction de ce père; j’admire le sang froid de certains intervenants…tout en me demandant s’ils sont pères….!

  37. J’ai été victime d’un violeur qui m’a agressé chez moi et en réaction, je lui ai décoché un formidable coup de poing dans sa figure, lui cassant une dent. Comme il n’a pas les moyens de la remettre, il l’a gardé, mais le pire c’est qu’il m’a soutiré de l’argent.
    Le violeur habite aux Clayes-sous-Bois, chez sa mère.
    De plus, j’ai engagé des poursuites à son encontre pour récupérer l’argent qu’il m’a pris. J’ai demandé à la Justice de l’incarcérer immédiatement car il est extrêmement dangereux vis-à-vis des adultes et des enfants. J’attends qu’il aille en prison…

  38. Monde à l’envers…
    alors, il est criminel de châtier un enfant qui a commis une faute, et, qui plus est une faute très grave? (à mes yeux, c’est pire qu’un meurtre: comment la pauvre petite s’en remettra-t-elle?)
    Tiens, notez que, pour une fois, on donne raison à un pédophile! il est vrai que ce n’est pas un prêtre… c’est lui-même une enfant, si, en plus, on n’a pas le droit de le corriger, j’augure fort mal de son avenir…
    que la mère ne vienne pas se plaindre si, dans 20 ans, elle est à son tour victime de la violence du pauvre chéri!

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