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Culture de mort : Idéologie du genre

Un autre David Reimer ?

Un petit garçon de 10 ans, vivant à Worcester (Grande-Bretagne) reprendra l’école habillé en fille. Sa mère explique :

«Dans son esprit, elle est une fille, mais elle a un corps de garçon»

«Elle devait mentir sur les cadeaux qu’elle avait eu à Noël, disant qu’elle avait eu un Action Man alors qu’il s’agissait d’une Barbie. Tout était faux». «Certaines personnes ont besoin de lunettes, d’autres d’un fauteuil-roulant, ma fille a besoin de s’habiller en fille parce qu’elle est une fille».

Le directeur de l’établissement a décidé de convoquer une réunion afin d’expliquer la situation aux autres enfants, promettant d’assurer à l’enfant «tout le soutien dont il a besoin».

Déguisé en fille jusqu'à 15 ans, David Reimer a fini par se suicider. Est-ce cela que veut la mère de cet enfant britannique ?

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10 commentaires

  1. Pauvre, pauvre gosse. Néanmoins, l’irréversible (opération) n’a pas (encore) été commis…
    Et dire que ma pauvre mère ne veut pas me croire et ne veut pas croire une seconde que les gens vont mordre à cette idéologie du gender…

  2. Pauvre, pauvre gosse. Néanmoins, l’irréversible (opération) n’a pas (encore) été commis…
    Et dire que ma pauvre mère ne veut pas me croire et ne veut pas croire une seconde que les gens vont mordre à cette idéologie du gender…

  3. Il faut attendre 18 ans pour avoir le permis de conduire, voter, créer une entreprise, avoir une carte bleue, un port d’arme, être juré, devenir député, mais 10 ans pour décider de changer de sexe. On ne change plus d’avis après 10 ans ? Moi je voulais être motard de la gendarmerie.
    Et ce ne sera jamais une fille : pas le bon chromosome.
    Les hormones à vie, c’est bon pour les humains, pas pour les veaux

  4. J’ai comme l’impression que les médias gros public accourent au secours des fanatiques du gender, et vont pousser en avant ce genre d’histoire délirante pour faire passer l’idée que le code génétique n’existe pas.
    Pas de mention du père dans cette histoire : une piste pour l’explication de la perturbation psychique grave de l’enfant ? Je veux dire, en plus de la mère carrément psychiatrique ?

  5. Cela n’a rien à voir. David Reimer a été la victime injuste d’un réassignation sexuelle dont il n’avait pas besoin. Les médecins – notamment un psychiatre – ont poussé à lui assigner un sexe féminin après une circoncision ratée. Par la suite, ils l’ont forcé à prendre des hormones à la puberté afin qu’il se féminise. Reimer n’a pas eu le choix, il n’a jamais eu son mot à dire. Son entourage, apeuré à l’idée qu’il puisse vivre avec des organes génitaux différents en ont fait une fille.
    Dans le cas de ce petit garçon/petite fille, les choses sont très différentes: ce dernier(e) souhaite simplement s’approprier ce qui lui semble être son genre: le féminin. Peut-être souhaitera-t-il rester une femme toute sa fille, peut-être choisira-t-il de devenir un garçon, voire de ne pas choisir et de vivre autrement. Il n’a pas été opéré et personne ne l’a obligé à prendre des hormones. Ici, es parents sont très courageux et réfléchis dans leur démarche.
    Les deux situations sont donc incomparables :)
    [Bien sûr, à 10 ans, ceci est fort logique et normal… On est parfaitement apte à cet âge de prendre cette décision délirante, sans influence extérieure aucune… A qui pensez-vous faire croire cela ?
    Quant aux parents, on ne voit que la mère. Où se trouve le père ? Ceci explique sans doute cela. C’est visiblement son entourage qui encourage ce jeune garçon, avant même la puberté, à changer de “genre”. Folie pure.
    MJ]

  6. Que penseraient, diraient, feraient la mère, et le père -dont curieusement on n’entend nullement parler- et les psys de service, si cet enfant “se vivait” comme betterave, kangourou ou hélicoptère?
    Il me semblait que les psys avaient pourtant fait un virage sur l’aile à propos de l’importance du NON parental pour la construction d’un psychisme solide de l’enfant???

  7. Bien des filles devenues mère par conventions sociales veulent donner une éducation de fille à leurs petits garçons. Cela relève du délire féminin qui doit venir du péché originel… Il est à craindre que l’on soit, dans ce cas, en face d’une telle dérive maternelle maladive. Le pauvre garçonnet risque effectivement sa vie ou au moins une maladie mentale grave. cela est à rejoindre à l’application de l’éducation du “gender”…

  8. Moi, je voudrai être un cheval mais personne ne me soutient : c’est pourtant mon droit le plus strict : je me sens équin et pas humain…

  9. Oreo de Castro : Moi même je voulais être poisson rouge jusqu’à mes 16 ans, mais on m’a toujours refusé la greffe de branchies et de nageoires, tout ça parce que mon code génétique n’est pas celui d’un poisson rouge. Mais qu’est-ce que ça compte, quelques chromosomes, quand je me sens poisson rouge, quand dans moi, je suis poisson rouge ? Déjà alevin, je voulais m’approprier ce qui me semblait être mon identité. Peut être avec le temps, aurais-je choisi de rester le poisson rouge ? Ou bien serais-je devenu lampe halogène (mon autre identité niée par l’hétéropatriarcalisme de la société).
    Soyons sérieux : cet enfant a un problème psychique manifeste, dont les sources sont sans aucun doute à chercher dans son cadre familial, et ce qui est ici fait consiste à l’enfoncer dans la folie, par pure idéologie.

  10. C’est évident qu’il y a des enfants qui ne se sentent pas bien dans leur corps, relativement à la sexualité: cela vient de troubles psychiques, d’interrogations qui ne reçoivent pas de réponse, de sentiment que l’autre vit mieux/plus facilement, de la difficulté qu’on peut avoir à se construire une identité: ce qu’il faut revoir, c’est l’éducation donnée par les parents, au lieu de se dire: bon, prenons acte et acceptons les délires de ces gosses. Car le rôle des parents est bien d’aider les enfants à se libérer de leurs projections imaginaires (je voudrais être l’autre) pour se confronter à la réalité (je suis ce que je suis), l’accepter et y poser mon empreinte: cela s’appelle la responsabilité.
    On est vraiment ds un monde de malades.

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