Triste constat

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5 commentaires

1. 

   le Roi Sebastien 16 mars 2009, 21 h 33 min

   C’est le début de la Guerre civile européenne, telle que nous l’avons prévue
   Mais restons optimistes et souvenons-nous des premières paroles de “La guerre civile ” de Montherlant
   “je suis la guerre civile, je suis la bonne guerre”

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2. 

   Olivier M 16 mars 2009, 22 h 12 min

   Le Figaro feint de “découvrir” la triste réalité.
   Mais la réalité dépasse, et de loin, les lamentations de l’insipide quotidien des petits-bourgeois couches-toi-là.
   La réalité des Mureaux est celle du mirail à Toulouse, du Neuhoff à Strasbourg, de Vénissieux, Vaux en Velin ou Villeurbanne à côté de Lyon, de la porte d’Aix, de Malpassé, de la Rose ou de la Bourse à Marseille, de Ste Musse ou du Pont du Las à Toulon, de Lille-Sud ou Roubaix, de Tourcoing ou Grande Scynthe, de Drancy, St Denis, Aubervilliers, la Courneuve, Mantes la Jolie, etc, etc, etc.
   Pauvre France pluri-millénaire, martyrisée chaque jour par la barbarie venue d’ailleurs grace à la lâcheté de la fausse Droite UMPiste autant que de la vraie Gauche socialo-communiste…

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3. 

   Xtophe 16 mars 2009, 23 h 01 min

   Je pense que c’est un peu exagéré… Ici, au fin fond de la campagne creusoise, tout est calme… ;-)

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4. 

   HB 17 mars 2009, 8 h 54 min

   Les barbares ne sont pas à nos murs, ils sont déjà dans nos murs!
   Les responsables en sont les traîtres apatrides qui prétendent vouloir nous diriger, alors qu’ils ne veulent que nous soumettre!
   Les politiciens de tous bords, de l’extrême droite à l’extrême gauche ne sont que les collabos plus ou moins actifs de ces traîtres !
   Il est temps que les policiers de base qui se font tirer dessus sachent que les premiers responsables sont leurs chefs francs-maçons qui depuis des décennies organisent LA société d’aujourd’hui !
   RESISTANCE !

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5. 

   free 17 mars 2009, 9 h 59 min

   @Xtophe
   Mais jusqu’à quand ? Lors des émeutes de 2005, des contrées, alors tranquilles, ont été touchées par cette “barbarie”. La source du problème n’est pas ethnique, mais résulte, à mon avis, d’un parfait sentiment d’impunité.

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