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Témoignage de Viviane Lambert devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève ce 1er juillet 2019

Culture de mort : Euthanasie

“Je crie tout haut que Vincent, on veut l’assassiner. C’est le vrai mot (…) Vincent n’est pas en fin de vie, Vincent n’est pas un légume

Viviane Lambert est intervenue lors d’une conférence en marge de la 41e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève ce 1er juillet 2019. A l’initiative de l’ECLJ, cette conférence fut consacrée à la problématique juridique entourant la situation de M. Vincent Lambert, et plus particulièrement aux aspects internationaux de cette affaire (…)

La tenue de cette conférence en ces lieux s’imposait car le Conseil des droits de l’homme est l’organe intergouvernemental de supervision du respect par les Etats des engagements qu’ils ont pris en matière de droits de l’homme. Il compte 47 Etats membres, mais presque tous les Etats du monde y sont représentés. Il est chargé notamment de la supervision du respect par les Etats des droits des personnes handicapées, droits garantis spécifiquement par la Convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées du 13 décembre 2006. Cette convention figure parmi les plus largement ratifiées : 179 Etats parties sur les 193 Etats membres de l’ONU. Elle est associée à une instance quasi juridictionnelle de contrôle du respect par les Etats de leurs engagements : le Comité des droits des personnes handicapées.

Or, un grave différend oppose Monsieur et Madame Lambert au gouvernement français quant à l’application de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. En jeu, pas moins que la vie de leur fils Vincent Lambert. C’est de ce différend qui a été exposée ce 1er juillet en présence de Mme Viviane Lambert, mère de Vincent Lambert, du Professeur Xavier Ducrocq, neurologue, et des avocats des parents, Mes Jean Paillot et Jérôme Triomphe.

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8 commentaires

  1. Version corrigée :
    JUPITER et ses séides viennent de restaurer la peine de mort en France, mais désormais, ce sera contre des innocents jugés trop encombrants ou trop coûteux pour la société. Si on veut que la sécurité sociale puisse rembourser à 100% la PMA pour toutes, puis la GPA pour tous, il faut trouver de l’argent ailleurs. L’élimination de tous ces malheureux va permettre de gagner les fonds nécessaires à ces nouveaux “progrès sociétaux”. Ne nous faisons pas d’illusions, Vincent n’est que la première victime d’une foule innombrable de personnes dans la même situation que Vincent, qui seront suivis par tous ceux qui sont différents soit physiquement, soit mentalement. Alexis Carrel, le précurseur, et tous ses successeurs, doivent danser là où ils sont…

    • Non elle existe déjà ! Avortement, euthanazie, suicide assisté…

      C’est bien justement toute l’INVERSION DES VALEURS, abolir la peine de mort pour les criminels et se mettre à tuer en masse tous les innocents, les bébés, les trisomiques, les vieillards, les malades etc.
      Aux Enfers le cynisme n’a pas de limites !

  2. Bravo Madame Lambert il faut absolument utiliser les mots exacts.
    Nous sommes bien face à de multiples tentatives d’assassinat, le préméditation de faisant AUCUN DOUTE.

    Il faudra bien que les criminels et leurs complices rendent des comptes tôt ou tard sur les chefs de tentatives d’assassinat et complicité d’assassinat.

  3. Quelle honte pour la France, à la face des nations, honte bien méritée !

  4. Je voudrais entourer de mes bras Madame Yvonne Lambert, mère de tous les courages.
    Prières, pensées pour Vincent Lambert et sa Maman auprès de Notre-Dame de Pontmain.
    Que ma mère, Ange gardien Là -Haut après l’avoir été sur terre, veille sur eux.
    Merci.

  5. Voilà surtout ou mène la gauche et l’aveuglement (ou la méchanceté ?) des peuples !

  6. Faites célébrer des messes car si à vue humaine tout semble perdu, rien n’est impossible à Dieu!!!!

  7. Et dans le même temps, Amnesty Int’l dépose une requête à l’ONU contre les Philippines qui abattent sans autre forme de procès, les dealers de drogue. Alors, ceux-là qui détruisent une population en leur vendant de la drogue trouvent la protection d’ONG et un innocent kidnappé par un centre médical et un gouvernement peut-être mis à mort sans que ça ne dérange grand monde. Demandez au personnel qui travaille dans les centres de rééducation des grands traumatisés, ceux qui ne veulent pas vivre dans cet état ne vivent pas plus de 3 ans. Le fait que Vincent soit encore en vie si longtemps après son accident, après sa mise à mort qui dura plusieurs semaines ne sont là que pour prouver qu’il a envie de vivre. Cette histoire est une honte dans un pays comme la France. On assassine des innocents avec l’accord des médecins, tribunaux et gouvernement de la honte. J’étais à Reims venue supporter la famille. Je suis écoeurée, la rage m’anime contre ce gouvernement. Il faut le déloger aux municipales, il faut les arrêter avant qu’ils ne nous détruisent complètement.

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