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Culture de mort : Avortement

Son avortement : elle y pense toujours, 20 ans après

A 40 ans, la comédienne et écrivain Adeline Blondieau a eu un second enfant. Elle revient sur l'un des passages les plus douloureux de sa vie : son avortement. A la fois sereine et émue, elle ne regrette pas cet avortement : "J'ai fait le bon choix, j'ai fait comme j'ai pu."

"L'avortement, c'est vrai que c'est quelque chose de douloureux dans la vie d'une femme. C'est comme ça et il faut vivre avec."

"Forcément, on y pense toujours, je me dis elle ou il aurait vingt ans mais je sais que j'ai fait le bon choix."

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11 commentaires

  1. Elle n’est pas “trop” tombée dans la drogue ou l’alcool (elle reconnait donc par cette phrase que cela a quand même été plus ou moins le cas) elle est juste accroc au chocolat…
    Elle a tué l’enfant de sa propre chair et elle se console toujours 20 ans après avec du chocolat.
    Aucun commentaire si ce n’est que je n’aimerais pas être à sa place.

  2. Si c’était si bien que cela, elle n’y penserait plus, et ne se demanderait pas si elle a fait le bon choix, pour apporter une réponse dans le but de se rassurer.

  3. Pauvre Adeline… Séduite par un homme qui n’a pas eu la force, ni la vertu de la protéger !

  4. “cela fait froid dans le dos” de savoir qu’une personne qui a avorté,qui s’en souvient 20ans plus-tard , consciente d’avoir tué un petit être humain et qui ne regrette pas !
    abject !
    Et ce sont ces personnes du showbiz qui nous parlent d’humanité à tour de bras …

  5. Ses stances tragiques montrent l’incohérence du mensonge dans lequel cette pauvre femme s’enferme. Appeler “bon” ce qui est intrinsèquement mauvais, n’est-ce pas là le péché contre l’Esprit?
    A la fois, elle a la conscience de l’irréparable mais elle ne veut pas le voir car ce serait un aveu déchirant mais libérateur s’il est confié à la Miséricorde. Je ne suis pas confesseur, ni le Juge céleste, mais il me semble que cette attitude pourrait être considérée ex abstracto comme relevant du péché mortel?
    Dalida était une femme qui a été marquée au fer blanc par ce crime. On peut penser que ce dernier a enclenché une bombe à retardement psychique et spirituelle qui l’a détruite. Son étourdissement de vie mondaine n’était rien d’autre qu’une saoulerie pour oublier.

  6. Tuer un enfant n’est jamais un bon choix. Elle ne le regrette peut-être pas mais ça viendra un jour…

  7. PEB
    Le confessionnal est le meilleur remède, le seul .

  8. Merci pour cette information qui contribue à relayer ce témoignage.
    Mais quel dommage de lire les commentaires qui suivent, postés vraisemblablement par des catholiques. On est tellement loin de la civilisation de l’amour que le Bienheureux Jean-Paul II a preché tout au long de sa vie. Pourquoi tant de dureté de coeur dans vos réactions ? Imaginez-vous un instant que cette femme pourrait par hasard tomber sur ces commentaires. Quelle serait alors sa réaction ? Le poids des mots écris à la va vite sur un site peut être lourd. Ceux qui ont connu des moments difficiles dans leur vie me comprendrons. Les autres aussi, je l’espère.
    Peter

  9. à Peter.
    Dieu vomit le péché , pas le pêcheur !
    Si cette femme disait regretter sa decision ,elle en resortirait grandit.Mais 20 ans après elle confirme ne pas le regretter !Donc elle referait le même choix ……..En tant que catholique ,il est de notre devoir de montrer lui montrer son péché( péché mortel !) car c’est bien son eternité à elle qui est en jeu.Lui montrer son péché c’est donc “un acte d’amour” envers elle, l’aider à ouvrir les yeux de son coeur et se convertir.Si l’on n’aide pas ainsi notre frére pêcheur comment pourrions nous aussi gagner notre eternité prés du Christ. L’eternité ,on la gagne sur terre !

  10. À l’attention de Peter
    Le Bienheureux Jean-Paul II n’a jamais perdu de vue que dans un avortement, il y a un être humain à qui on n’a rien demandé et qu’on a tué.
    Cet enfant, qui aurait dit-elle vingt ans aujourd’hui, serait en mesure de lui dire “Maman, je t’aime”, mots qu’elle n’entendra jamais de lui.

  11. Ah oui, le destin de Dalida est très émouvant. J’aurais bientôt 40 ans, et j’aime Dalida. Je la voyais sublime lorsque j’étais enfant. J’ai une relative sympathie pour Bertrand Delanoe et Max Guazzini. Grâce à Dalida qui était leur amie, je pense. Beaucoup d’enfants de ma génération, n’auront pas compris sa disparition. On ne comprend ces choses que bien plus tard.

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