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Soldats tués au Burkina Faso : les raisons de la colère

France : Politique en France / Vidéos

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2 commentaires

  1. Ces deux otages étaient ils finalement en « zone rouge »?
    Le journaliste Thomas Vampouille a publié des captures d écran du site du quai d Orsay et il semble que la zone où ils se trouvaient lors de leur enlèvement ne figurait pas en rouge sur la carte des zones à éviter.
    Le pays était même relativement sûr depuis quelques années, en tout cas comparé à ses voisins.

  2. Voici le message d’indignation que j’ai adressé à JUPITER et dont la réception a été validée par le service du courrier de l’Élysée :
    “Monsieur le Président,
    Je sais bien que ma lettre vous importera peu. Cependant, vous avez donné l’ordre, vous seul pouvant le faire, d’envoyer des éléments du Commando Hubert pour récupérer deux individus partis dans une zone interdite d’Afrique, au mépris des ordres de sécurité donnés par le Quai d’Orsay. Après l’exécution du guide de ce couple et l’enlèvement de ces deux personnages, vous avez choisi l’emploi de personnels du commando le plus glorieux de ce qui reste de l’Armée, que vos prédécesseurs et vous-même n’avez cessé de rabaisser depuis des décennies.
    En l’occurrence, sacrifier deux militaires d’élite pour sauver deux « touristes en goguette » me paraît soit monstrueux (si ce ne sont réellement que des touristes), soit un outil de campagne électorale (pour passer pour un Chef de guerre à 3 semaines des élections), soit une mission de récupération d’agents en mission (comme les époux Turenge lors de l’affaire du Rainbow Warrior).
    Dans la 1ère hypothèse, le prix payé est exorbitant. Dans la 2ème hypothèse, cela relève d’une haute trahison pour emploi de moyens non appropriés dans la poursuite de votre projet européen. Dans la 3ème hypothèse, cela relève des nombreux coups bas chers aux dirigeants de la Vème République depuis sa fondation et des barbouzes qui ont suivi tous les Présidents, avec un effet d’amplification et de cynisme depuis plus d’un demi siècle.
    Quelle que soit l’hypothèse, aurez-vous, Monsieur le Président, l’honnêteté intellectuelle de reconnaître le choix qui vous a guidé, et cela avant le scrutin du 26 mai et de façon officielle ?
    Je crains que vous n’en ferez rien, attaché comme vous l’êtes au fauteuil dans lequel vous ont placé vos mentors (Attali, Soros, Rotschild et autres…), et soucieux de remplir jusqu’au bout non le mandat que les électeurs vous ont confié il y a 2 ans, mais la mission imposée par les susdits mentors.
    Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression du profond respect que je dois à votre éminente fonction.”

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