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France : Société / L'Eglise : L'Eglise en France

Sans Dieu, les démocraties européennes n’ont plus d’avenir

Extrait de l'homélie de dimanche du père Bernard, modérateur de la Famille Missionnaire de Notre-Dame :

6a00d83451619c69e2017c36b233f8970b"(…) Prenons au sérieux, enfin, l’avertissement de Saint Jean : celui qui n’obéit pas aux commandements de Dieu est un menteur, la vérité n’est pas en lui. La France, la fille aînée de l’Eglise, rejette de plus en plus les commandements de Dieu. Les nouvelles lois concernant la libération totale pour l’avortement et le début de la légalisation de l’euthanasie devraient faire lever tous les hommes de bonne volonté. Jean-Paul II avait bien raison de nous poser cette question : « France, Fille aînée de l’Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? »

Notre Pape François, à Strasbourg a donné un message très énergique au Parlement européen et au Conseil de l’Europe. Il a été applaudi, mais qui a pris au sérieux ses paroles ? L’Europe, avec la France, renie ses racines chrétiennes. Elle est devenue, grâce à sa liberté libérée par Jésus crucifié et ressuscité, un grand arbre qui a porté des fruits dans les cinq Continents de notre monde. Mais ce grand arbre donne des signes inquiétants de décrépitude. Ses racines ne sont pas encore totalement desséchées. Il est encore temps de sauver l’Europe et la France. Notre Pape François ne voit qu’une solution : Europe, reviens à Jésus !

Le Cardinal Robert Sarah vient de donner un livre programme : Dieu ou rien ! Procurez-vous ce livre et prenez le temps de l’approfondir. Sans Dieu, les démocraties européennes n’ont plus d’avenir. Avec Dieu, tout est possible. Prions Notre-Dame des Neiges de nous obtenir une foi ardente et joyeuse et un vrai zèle missionnaire et mettons enfin en pratique le dernier appel de Jean-Paul II : levez-vous ! Allons ! Courage."

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2 commentaires

  1. Les arbres
    L’Europe est comme une grande forêt,
    Dont la France fut un arbre sacré.
    Forêt issue d’un passé broussailleux,
    Bruissant des pleurs et rires des aïeux.
    Du Sud au Nord ses moines ont rayonné,
    Puis ses marins les mers ont sillonné
    Pour de bonnes ou de mauvais raisons.
    De ce passé sait-on tirer leçon ?
    Ses dirigeants, devenus orgueilleux,
    Ont décidé de se passer de Dieu :
    « Mettons l’Eternité dans un linceul,
    L’homme nouveau peut se créer tout seul !».
    « Le concept homme femme est dépassé,
    La famille doit être atomisée
    Pour libérer l’enfant de vieux poncifs
    Contraignants, arriérés et nocifs. »
    « Pour une société performante,
    Et une économie florissante,
    Fabriquons des enfants sélectionnés,
    Faisons mourir nos trop coûteux aînés ».
    L’Europe nie tout ce qui la structure,
    Ses fondations et même sa culture.
    Elle détruit tout ce qui fait la Vie,
    Pour se soumettre au dieu Technologie.
    Vous oubliez, dirigeants arrogants
    Qui savez tout mieux que nous, les manants,
    Que toute idéologie est mortelle,
    Et que sa mort est toujours très cruelle !
    Et toi France, arbre parmi les plus beaux,
    De ce projet tu portes le flambeau,
    En te coupant d’abord de tes racines,
    Pour des idées que ton peuple abomine.
    Le mariage n’a plus d’avenir.
    Tu veux tuer les bourgeons à venir,
    Et aussi tes vieilles branches usées
    Dont l’ombre si douce te protégeait.
    Un arbre sans racines ni bourgeons
    Devient très vite un misérable tronc.
    Desséché, tu ne pourras qu’attendre
    Que la foudre te réduise en cendres !
    A moins qu’Allah ne te « protège » …
    Nos ancêtres les Gaulois avaient peur que le Ciel ne leur tombe sur la tête.
    Nos enfants n’apprennent plus cela à l’Ecole aujourd’hui …

  2. Il est intéressant de revenir sur l’histoire de la construction européenne. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, les pères fondateurs de l’Europe, le chancelier allemand Konrad Adenauer, le français Robert Schumann, l’Italien Alcide de Gasperi étaient tous démocrates-chrétiens, catholiques fervents et s’inspiraient de la doctrine sociale de l’Eglise. Leur construction européenne, la communauté du charbon et de l’acier, puis la communauté économique européenne avait connu des succès, en aidant par exemple à surmonter des antagonismes séculaires comme entre la France et l’Allemagne et en offrant le cadre économique des “trente glorieuses” permettant non seulement la reconstruction, mais également une augmentation du niveau de vie en permettant la constitution d’une large classe moyenne, tout en assurant l’une des plus longues périodes de paix de l’Europe.
    Si l’on regarde à titre de comparaison l’Union Européenne actuelle, les rédacteurs de sa constitution de 2004 avaient refusé toute référence à Dieu dans son préambule (constitution refusée d’ailleurs par référendum par le peuple français, mais malgré tout mise en application par le traité de Lisbonne) et depuis tout se passe comme si Dieu avait décidé de retirer sa bénédiction aux hommes politiques qui refusent de le connaître. L’instauration de la monnaie unique fut un immense fiasco en ruinant les économies des pays du Sud de l’Europe, les frontières ouvertes assurent une immigration incontrolée, l’extension de l’Europe à l’Est a ramenée le spectre de la guerre en Europe, déjà en Yougoslavie dans les années 90, aujourd’hui en Ukraine, guèpier dont on ne sait pas pourquoi l’Europe est allée s’y fourrer, l’économie ouverte aux vents de la mondialisation (alors que le projet des pères de l’Europe dans les années 50 avait été protectionniste) bat de l’aile les classes moyennes s’appauvrissent, la misère est de retour en Europe, la dignité humaine est attaquée par l’avortement et l’Euthanasie, l’homosexualité tient le haut du pavé, alors que dans les années 50 la famille était protégée etc etc etc!

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