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France : Société

Rioufol s’en prend aux antiracistes

Dans Le Figaro, Rioufol dénonce le "sectarisme des mouvements antiracistes" :

"Ils répugnent à désigner le racisme et le sexisme des cités et diabolisent ceux qui s’en inquiètent. D’autres bons apôtres en arrivent même à alimenter la haine, en accréditant des ressentiments antijuifs importés du conflit israélo-palestinien. (…) Mais l’imposture se révèle : l’opinion n’est dupe ni de la lucidité des belles âmes (elles n’auront pas bronché après le lynchage de Jean-Claude Irvoas qui photographiait un réverbère), ni de leur effarement devant les repliements ethniques qu’elles auront suscités en soutenant une massive immigration extra-européenne. Les responsables de bien des régressions s’affligeaient dimanche d’une amoralité encouragée par leur laxisme. Ces idéologues ne sont plus crédibles. Ils donnent raison à Alain Finkielkraut quand il dit que l’antiracisme sera le communisme du XXIe siècle. Il y a du totalitarisme dans cette doctrine officielle accordant aux «minorités visibles» l’excuse de l’opprimé et interdisant les vérités dérangeantes. (…) Il serait utile d’entendre les donneurs de leçons de respect se préoccuper des paroles des rappeurs."

Michel Janva

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2 commentaires

  1. Criant!!!

  2. Jean Madiran a déjà dit tout cela, clairement et rigoureusement, dans Présent.
    Malheureusement, on ne peut pas compter sur Le Figaro pour citer Présent.
    Sa démonstration reste valable. Elle faisait, pourtant, ricaner les imposteurs, tous ces intellectuels en pensée-machée auto-proclamés penseurs, tous ces sociologues du Café du Commerce.
    Maintenant, on entrevoit le résultat de toute cette imposture de l’anti-racisme, mais le prix à payer est très élevé. Espérons que cette nouvelle imposture, digne fille des mêmes utopies que le socialisme (le national-socialisme comme le socialisme soviétique, et quelques autres socialismes non répertoriés), fera moins de mort que la précédente, la communiste, mais rien n’est moins sûr.
    Ah, si les Français voulaient bien se souvenir de l’un de leurs plus clairs génies, et le lire enfin, peut-être finiraient-ils par ouvrir les yeux sur le monde réel et comprendre ! Il ne faut jamais désespérer, mais le temps presse
    Je veux parler de Frédéric Bastiat, dont on vient de rééditer un des grands livres.

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