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Culture de mort : Idéologie du genre / Valeurs chrétiennes : Education

Relativisme dans l’école sous contrat

Ep Alors même que nous avons relayé l'entretien de Mgr Anatrella sur l'idéologie du genre (1, 2, 3, 4), on apprend qu'un professeur de sciences physiques d'un lycée privé sous contrat catholique de la banlieue nantaise a changé de sexe au
cours de l'été
. "Vincent" est devenu "Martine" … Et ce n'est pas le seul problème.

L'autre problème c'est que le directeur du lycée explique que :

"Ce changement d'identité est un cheminement personnel qui s'impose à nous, et nous n'avons pas à nous positionner là-dessus".

De même, une représentante de l'APEL du lycée a estimé qu'il s'agissait

"d'un choix personnel parfaitement légitime et nous avons
cherché à l'accompagner afin que cette rentrée se passe de la meilleure
des manières
".

Enfin, une psychologue de la direction diocésaine est également intervenue sur place le jour de la rentrée.

On marche sur la tête. Pauvres enfants.

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25 commentaires

  1. Et malheureusement, eussent-ils fait autrement qu’ils se seraient collés un énorme procès sur le dos, avec une condamnation assurée, dont ils n’ont pas les moyens.

  2. Pour nos enfants il ne reste que le privé catholique hors contrat

  3. L’école a proposé au professeur en question d’effectuer une formation d’un an ou d’aller dans un autre établissement . Le professeur a refusé .
    L’école comme la direction diocésaine était coincée , comme le souligne justement Tonio.

  4. Oui, on marche sur la tête !
    Sodome et Gomorrhe bis…

  5. Ils ont sans doute oublié que l’école ce n’est pas seulement transmettre des connaissances. L’enseignant se doit également d’être un exemple en plus de leur donner des repères. “L’intériorisation des modèles” est une chose concrète qui existe et qu’il ne faut pas sous-estimer.
    Comment peuvent-ils évaluer l’impact psychologique que cela créera dans le futur sur ces enfants dont les âmes et les conscience -en devenir- sont si malléables ?
    “Ce changement d’identité est un cheminement personnel qui s’impose à nous, et nous n’avons pas à nous positionner là-dessus”.
    Dieu n’a-t-il pas dit qu’il vomissait les tièdes ??

  6. Ils ont fait venir une psychologue. Pour le transsexuel ? Non, non, lui est parfaitement sain d’esprit.
    Le psy, c’est pour les lycéens. Certains pourraient être “transphobes” !
    Belle inversion des valeurs !

  7. Sans doute suis-je vieux, mais je ne vois pas bien où se situe le problème ni pourquoi vous en parlez avec tant d’abrupté. Quelqu’un peut-il expliquer où est le mal ?
    [Si vous ne le faites pas exprès, allez voir sur les 4 liens de l’intervention de Mgr Tony Anatrella. Vous comprendrez.
    MJ]

  8. Je lis que la direction diocésaine et l’école étaient coïncés, car n’auraient pas gagné le procès … mais il ne faut pas avoir peur de la justice !
    Il me semble bon d’aller au procès, pour montrer que l’école catho ne soutient pas ces égarements. Et s’ils perdent le procès, alors ils n’auront pas perdu leur âme.
    En acceptant/subissant ce transexuel, ils envoient un message d’acceptation de cette transformation, et ils envoient un message comme quoi ils ne protègent pas nos enfant, ni ne les éduquent comme nous sommes en droit de l’attendre !
    S’ils lisent le salon beige, je leur dis qu’il est encore temps de mettre à pied cet enseignant et de l’éloigner de l’école. S’ils font une souscription pour payer les frais de justice, ils récolteront beaucoup de fonds !
    N’AYEZ PAS PEUR !
    N’AYEZ PAS PEUR !
    N’AYEZ PAS PEUR !

  9. La clef est dans la main des parents, qui peuvent “voter avec leurs pieds”.
    Donner huit jours, pas un de plus, pour que leurs enfants se trouvent dans une autre classe, faute de quoi ils retireront leur enfant (et éventuellement ses frères et sœurs) de cet établissement.
    Évidemment, ça a un coût: comme toujours, les moins aisés ont la plus faible marge de manœuvre.
    Exiger qu’on ne leur impose pas une cotisation à l’APEL (c’est souvent une ligne parmi d’autres sur la facture des frais scolaires, il faut éplucher chaque appel de fonds) tant que celle-ci n’adoptera pas une position conforme au bien des élèves.
    Le nerf de la guerre, on le connait. Si l’on peut s’en servir, il ne faut pas hésiter. Se regrouper, demander de l’aide et éventuellement démarrer une école hors contrat?

  10. Je me trompe peut-être, mais je crois qu’il faut savoir distinguer deux choses: le changement de sexe pour de simples goûts personnels douteux, ce que dénonce à juste titre le P. Anatrella, et le changement qui consiste à “corriger” ce que la “nature” a mal fait et qui a abouti à ce qu’une personne a une apparence physique qui ne correspond pas à son sexe véritable. Je connais une personne qui a souffert pendant plus de 30 ans de se sentir pleinement femme dans un corps d’homme: cette personne n’a jamais causé le moindre scandale et jamais on aurait pu deviner quoi que ce soit. Son seul souhait était d’être dans une enveloppe charnelle correspondant à son sexe véritable. J’ajoute que cette personne, avant de prendre la décision de changer son apparence, a consulté de nombreuses personnes, y compris deux prêtres dont je connais personnellement la grande prudence et l’incontestable rectitude doctrinale. Des connaissances médicales plus poussées pourraient probablement nous éviter de porter des jugements trop hâtifs.

  11. Il ne faut pas hésiter non plus à manifester son mécontentement en écrivant aux responsables nationaux de l’enseignement catholique et de l’APEL pour qu’ils condamnent les propos tenus par les responsables locaux de Nantes :
    M. DELABARRE : secrétaire général de l’E.C et Mme Béatrice BARRAUD présidente de l’APEL
    277 rue St Jacques
    75005 Paris

  12. Tonio en écrivant “Et malheureusement, eussent-ils fait autrement qu’ils se seraient collés un énorme procès sur le dos, avec une condamnation assurée, dont ils n’ont pas les moyens” résume parfaitement la lâcheté générale de l’enseignement dit catholique général.
    Une vieille devise chouanne explique comment les chouans dans une situation menaçant directement et physiquement leurs familles refusaient de réagir à la Tonio : “s’il est bien douloureux d’être opprimé il n’y a de honte qu’à se soumettre”. A méditer !
    Il est grand temps que les parents catholiques sous contrat claquent la porte de cet enseignement diocésain corrompu.

  13. La loi donnerait sans doute raison à ce professeur opéré de ses attributs extérieurs masculins (enfin je suppose que c’est l’opération de ce genre pour pouvoir changer d’état civil)s’il y avait une plainte de parents sur ce fait.
    Dans une école hors contrat, la situation aurait été la même car un contrat stipulant qu’il est interdit aux professeurs de changer de sexe à l’état civil serait sans doute aussi déclaré illégal.
    Une meilleure sélection à l’embauche pour s’assurer de la persévérance des professeurs à rester avec le même état civil concernant leur sexe, peut-être? Mais je crois que cela ne pourrait pas se faire officiellement et si cela se savait cela serait déclaré illégal car le désir de changer de sexe n’est plus considéré en France comme un état pathologique.
    Reste encore et peut-être pour lutter contre ce fait, la reconnaissance du droit des parents à élever leurs enfants selon leurs critères, mais l’État fait tout pour leur enlever ce droit légitime. Et c’est sans doute l’acceptation du changement de sexe du professeur qui serait déclaré normal
    Cette situation est donc gravissime et tout à fait emblématique.
    La solution a court terme est effectivement de changer son enfant de collège même si la rentrée vient de se faire, et d’effectuer un changement à chaque fois qu’une telle chose se produit. Cela ne sera peut-être pas formidable comme situation pour l’enfant mais en tout cas mieux que de lui faire croire (psychologue à l’appui) que cette situation est normale et que si cela ne vous plaît pas d’être garçon, on peut se donner une apparence de fille,et inversement.
    Bien sûr je ne sais pas exactement ce qu’il en est au niveau médical du professeur devenue Martine, mais s’il était né avec des anomalies sexuelles ce n’est pas que cette année qu’il s’en est aperçu et il n’était pas obligé de vouloir absolument devenir professeur et de s’occuper d’enfants, et en plus de rester dans le même établissement. C’est une attitude militante. C’est aussi une attitude particulièrement peccamineuse que celle de ce professeur même si la loi lui donne raison. On peut imaginer comment son entourage militant a pu lui “bourrer” le cerveau pour qu’il en arrive à un tel état d’esprit et une telle situation. Et là encore l’argent et le profit est sans doute un bon moteur. On lui aurait tellement souhaité à ce professeur un accompagnement spirituel et un confesseur lui permettant de s’acheminer vers une autre voie. Quel gâchis. Et pour le bien de personne et pas même celui de l’intéressé même s’il ne l’admet pas aujourd’hui ou même plus tard.

  14. Quel traumatisme pour les enfants!

  15. Désolé de faire ma Bachelot mais il faut rappeler la doctrine “républicaine” pour comprendre que le lycée est obligé de faire contre mauvaise fortune bon coeur!
    Pour mémoire, voici que dit le code pénal:
    225-1: Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de […] sexe, de leur situation de famille, […] de leur apparence physique, […] de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs moeurs, de leur orientation sexuelle[…].
    225-2: La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 Euros d’amende lorsqu’elle consiste : […]
    3° A refuser d’embaucher, à sanctionner ou à licencier une personne ;
    […]
    Le principe de la continuité des contrats prévaut. L’établissement pourrait, à la limite, modifier la nature du poste, à rémunération égale ou supérieure, en lui confiant des responsabilités n’impliquant pas nécessairement une présence continue auprès des élèves.
    En l’espèce, les dérogations prévues à l’article 225-3 relativement à l’état de santé ne s’applique pas car le transexualisme n’est ni un handicap, ni une maladie invalidante pour un emploi d’enseignant. Celle sur le sexe, l’âge ou l’apparence physique non plus, car “Martine” n’est ni manequin, ni actrice, ni autre chose “constituant une exigence professionnelle essentielle et déterminante et pour autant que l’objectif soit légitime et l’exigence proportionnée.” De plus, le métier d’enseignant en physique n’a rien à voir avec “la protection des victimes de violences à caractère sexuel, des considérations liées au respect de la vie privée et de la décence, la promotion de l’égalité des sexes ou des intérêts des hommes ou des femmes, la liberté d’association ou l’organisation d’activités sportives.”
    Ceci dit, même le hors-contrat aurait des problèmes. En toute rigueur, le 225-1s s’applique aussi à ces structures indépendantes, y compris en matière de religion. Il leur est ainsi théoriquement interdit de demander un simple certificat de baptême lors d’un entretien d’embauche!
    A ce sujet, un “infiltré” pourrait bien faire tomber une école sous couvert du testing prévu par l’article 225-4.
    Tout cela a été voté sous les applaudissements généraux sous diverses majorités.

  16. Les chouans du clavier sont bien risibles.
    L’évangile de ce matin n’invitait-il pas le roi d’une faible armée à envoyer un émissaire à son ennemi arrivant avec des forces très supérieures en nombre ? Celui qui construit une tour à s’assoir avant d’agir ?
    Je ne dis pas que les propos du directeur ou de la représentante des APEL sont justes.
    Simplement qu’il faut mesurer l’opportunité de certains combats avant de foncer tête baissée. Car l’issue d’une mobilisation de l’Enseignement Catholique, en l’état actuel de ses forces eut été une défaite en ras de campagne. Pour quel bénéfice ? Dans les mois qui suivaient on nous pondait une nouvelle loi pro-gender et des cours obligatoires de la même eau pour l’enseignement catholique qui jusqu’ici peut encore les éviter. Le tout rendant toute marche arrière encore plus difficile.
    Ecrivez donc à M. Delabarre, si vous voulez torpiller le peu qui reste encore debout dans l’Enseignement Catholique.
    “Mon Dieu, occupez-vous de mes amis, mes ennemis je m’en charge…”
    La différence entre les chouans d’opérette et ceux qui ont du gérer cette affaire, c’est que ces derniers savent que la principale vertu de gouvernement c’est la prudence. Je n’ai pas dis pusillanimité.
    Vous n’avez pas encore compris que la nature de la lutte que nous menons a changé depuis la révolution française ? Il ne suffit plus de prendre son Fusil, Grégoire. Les goulags eux-mêmes ont changé. Le martyre n’est plus celui du sang, n’en déplaise à votre esprit chevaleresque – surtout quand il s’agit du sang des autres.

  17. Pour dire les choses un peu crument, mais clairement : je trouve que ce n’est pas faire honneur ni respecter les femmes que d’appeler femme un homme dont on ampute les organes génitaux dans une chirurgie barbare essayant d’imiter des attributs féminins. Mais comme il s’agit plus de décider soit même de quel est son sexe au mépris de sa nature, il n’y a même pas besoin d’opérations chirurgicales pour cela. A t il fait aussi une lobotomie pour être sur de ne jamais s’apercevoir de la supercherie ?

  18. Il est très clair que l’enseignement sous contrat montre une fois de plus ses limites et son manque de courage. Faut-il leur rappeller cette phrase de l’écriture: “La vérité vous rendra libre…”.
    Oui il existe un risque judiciaire à licencier cette personne, mais ce risque doit être pris pour les enfants. Cette personne vit un drame, car en arriver à de telles extrémités démontre un mal – être réel, mais faut-il pour autant risquer de choquer nos têtes blondes à des âges où eux mêmes doivent se positionner, se découvrir?
    Dans le panel des causes de licenciement il existe des possibilités, certes honéreuses, mais qui permettent de retrouver une certaine sérénité. En particulier il y a quelques années la FSSPX avait du se séparer d’un employé homosexuel, et avait obtenu gain de cause car il avait été considéré qu’eu égard aux valeurs qu’entendait défendre l’employeur, le contrat ne pouvait perdurer… reste à savoir si cette jurisprudence est encore d’actualité.

  19. Tonio a raison sur le fond, mais ici, il ne s’agit pas d’aller en justice avec fracas pour défendre vaillamment une cause perdue. Il s’agit de prendre la meilleure décision pour le bien des enfants que l’on a sous sa responsabilité : leur épargner l’exemple d’un individu susceptible de troubler leur épanouissement et la construction de leur identité. Le procès n’en serait qu’une conséquence non voulue. Ce serait effectivement un risque. Le Seigneur a également demandé de tendre la joue gauche.

  20. Internet peut être tentant pour qualifier les personnes de chouans d’opérette mais tous les intervenants ne le sont pas, sachez le
    Il ne faudrait pas mal interpréter cette lecture et penser que si l’on envoie des messagers aux colonnes du démon celui ci négociera avec vous et acceptera de respecter un accord limitant son champ d’action, ca serait mal le connaître. Il y a qui plus est dans vos propos un risque de relativisme. Accepter de transiger sur la vérité pour maintenir un enseignement dit catholique sous contrat est dangereux. Monseigneur Freppel ne disait il pas que “le plus grand des malheurs pour un siècle ou pour un pays c’est l’abandon ou l’amoindrissement de la vérité” ?
    Je pense que de vrais chouans actuels, sont les parents qui faisant le choix du sacrifice financier, de la pension, de nombreux allez retour se tournent vers l’enseignement vraiment catholique hors contrat et refusent cet enseignement non catholique sous contrat pervertissant les enfants. J’ai été assez surpris dans certaines écoles sous contrat d’entendre parler d’interventions du planning familial… Puisqu’il s’agit de maintenir le contrat, qu’en le faisant on se donne l’impression de lutter pour maintenir une société…pourquoi maintenir la vérité ?
    Il faut que les parents catholiques retirent leurs enfants de cet enseignement dit catholique sous contrat. Celui ci sera alors moins gêné ne recevant plus certaines exigences tout à fait légitimes et pourra se compromettre confortablement avec le système, émissaires et ministères se tapant dans le dos…
    Heureusement que les Vendéens ou Jeanne d’Arc ne se sont pas précipités à hisser drapeau blanc et dépêcher des émissaires en voyant venir à eux des armées considérablement plus importantes. Cet automatisme prôné aurait été malvenu…

  21. Connaissant l’établissement en question, j’approuve les réactions d’Alice et de Bernard, je fais aussi partie de ceux qui se sont battus en 1984 pour la sauvegarde de l’Enseignement Catholique et qu’il garde ses C.. organes génitaux masculin! et non pour leur ablation.Quant à Martine, j’espère qu’elle a pris une option de lesbienne.
    Pour ma part s’il existait encore, cette affaire aurait pu donner à San Antonio l’idée d’un nouveau roman:”Un hermaphrodite chez les curés”.

  22. Il n’est pas acceptable de transiger avec la morale, avec l’éducation que l’on donne aux enfants, spécialement avec le modèle tacite qu’offrent les enseignants.
    Cependant, comment être sûr que le premier transsexuel venu n’a pas autre chose comme problème que de jouer à la “grande folle”?
    les connaissances sur l’identité sexuelle (neurologique,endocrinologique, génétiques et physiologiques) sont-elle si claires et si précises que l’on puisse à tout coup réduire le problème à une question désordre homosexuel ?(je fais ce que je veux avec mon corps et peu importe l’ordre de la nature.)
    Que les pouvoirs en place (groupes de pressions, réservoirs d’idées, onu etc.) promeuvent l’idéologie constructiviste du genre pour détruire la famille, la perception saine des sexes, rien n’est plus sûr,cependant a-t-on le droit de se tromper de combat en ne connaissant rien des problèmes de ceux que globalement on met dans la catégorie “tarlouses” ?
    Si “changer” de sexe n’est que l’alibi d’une perversité, il ne faut pas avoir de pitié, car l’équilibre de nos proches et de la société est en jeu.
    Mais si parmi ces gens là certains souffrent réellement d’un trouble complexe et manquant d’études (celles promues par les homosexuels militants sont toutes sujettes à caution, soit dans leur méthodologie soit dans leurs interprétations)et qu’on ne s’en soucie pas plus que de notre première chaussette, je ne pense pas que le Seigneur bénira les réactions qui chercherons simplement combattre les colonnes infernales ou à transiger avec l’idéologie irrationnelle du genre.
    question: et si martine était atteinte d’un trouble réel ?
    a) rien à cirer, c’est son affaire.
    b) dans ces cas là on souffre en silence.Dieu veut peut-être qu’ils meurent ?
    ou c) n’y a-t-il pas là le nœud du problème:
    les homosexualistes parlent de “choix” total en matière sexuelle, et font la promotions de gens qui pour en venir à se faire traiter et opérer n’ont peut-être psychologiquement pas de vraies alternatives.
    (les seuls qui parlent avec eux sont les groupuscules homosexualistes, ce qui franchement ne doit pas aider !)
    en général on évoque au sujet de ce genre de problème le recours au psychologue. quels sont les critères pour en trouver un qui soit catholique dans ses conceptions, et quelles théories pour quels résultats objectifs, pour autoriser à recommander une méthode ?
    Avec la déstabilisation que dépersonnalisation apporte même aux enfants, se poser ce genre de problèmes n’est pas un luxe et en rester à des approximation ne peut que faire le jeu de ceux qui depuis longtemps manipulent les données et les personnes sur ces sujets.
    Ce n’est qu’un amour supérieur du prochain qui permettra de voir où est la vérité, de voir qui est qui, dans cette matière.

  23. Monsieur Janva,
    je viens d’écrire un commentaire à la nouvelle “Relativisme dans l’école sous contrat” du 5 de ce mois.
    au dernière paragraphe, et j’ignore pourquoi, à la phrase “Avec la déstabilisation que dépersonnalisation apporte(..)” le mot dépersonnalisation a remplaçé les mots “l’hyper-sexualisation”, ce qui rend le propos incompréhensible.
    vous serez-t-il possible d’y remédier pour moi ?
    quoiqu’il en soit, merci de votre diligence.

  24. M Vincent n’a pas changé ses chromosomes et reste donc un homme sous les apparences d’une femme. Donc M Vincent devient M Martine.
    Ce Monsieur a été convié a quitté l’établissement, un autre poste lui étant proposé par le RECTORAT et la DDEC ou bien de suivre une année de formation. M Vincent sous pression des ligues et autres mouvements “pro-mort” est resté au sein de l’école.
    Hélas, l’école est sous contrat et ne peut donc renvoyer M Vincent. La loi !
    Cela pose un débat de fond : quelle liberté de mettre en pratique les valeurs évangéliques et morales ?
    Mais la question primordiale est l’attitude égoïste et immorale de ce monsieur devant des élèves.
    On ne peut accepter la transexualité comme une norme ou un état de vie.
    Le bien commun a cédé la place au bien individuel !!!

  25. cher labbé,
    les chromosomes XX et XY ne sont pas les seuls marqueurs de l’identité sexuelle psychologique. Du moins si l’on se fie aux cas limites que représentent semble-t-il les cas d’intersexualité. il existe des personnes qui sont physiquement féminisées et qui pourtant possèdent par exemple trois chromosomes sexuels.
    il est évident qu’il s’agit là d’aberrations au sens technique du terme, mais sur un sujet aussi délicat vous ne pouvez conclure que ce genre de flottement entre perception psychologique de soi et physiologie et anatomie soit impossibles pour les cas dits transsexuels.
    certes l’imprégnation parentale dans les premiers mois après la naissance semble jouer un rôle dans l’identité sexuelle, si l’on en croit une spécialiste de la question comme colette chiland, mais est-ce que l’on peut a priori admettre si l’on est catholique que toute la perception de soi comme homme ou femme dépend uniquement de la manière dont on aura été élevée. non, puisque le sexe est une réalité qui relève aussi de notre âme ? de plus il existe des cas célèbres de garçons mutilés que l’on a voulu élevé comme étant des filles et qui on montré que ce n’était pas aussi simple.
    la subjectivité est ici le seul critère pour définir la réalité, aussi est-ce un problème. cependant peut-on douter d’une souffrance subjective (migraine horribles, douleur morale, toutes choses très subjectives également.) sur le seul constat que nous manquons de repères ?
    Le caprice n’a pas à vouloir supplanter le bien commun mais peut-on être aussi direct avec votre argumentation basée sur des connaissances simplifiées du niveau de l’enseignement secondaire ?
    on peut à juste titre être révulsé par ces histoires, mais précisément est-ce en tous les cas des histoires ?
    il me semble plus important ici de montrer que les rangs de la culture de la mort ne sont pas homogènes (ce n’est pas un rempart sans faille) et que le fer de lance de leur revendication n’est qu’un problème dramatique instrumentalisé et non encore traité avec charité que de placer immédiatement tout le monde dans la catégorie ennemis irréductibles.
    d’une part parce qu’il nous est demander d’aimer nos ennemis et d’autre part en fait parce que seul l’amour lucide d’autrui permet de discerner ce qui en lui est encore un bien inaltéré et ce qui est abimé par le péché mortel, sans confondre le couteau et la blessure.
    sachant que pour un catholique la nature humaine ne peut être considérée comme foncièrement dévoyée.
    (Dieu est amour et Dieu est lumière et autant que nous vivons de sa vie, de la grâce, autant nous pouvons nous aussi voir uni en nous amour et connaissance vraie.)
    vous comprenez que ceci ne cherche en rien à éluder, surtout dans le contexte décérébré qui est le notre,le scandale pour des jeunes gens et jeunes filles et pour la société en général puisqu’il s’agit par dessus le marché d’un cadre d’enseignement confessionnel catholique, mais peut-on faire l’impasse sur un problème pour obtenir une solution non problématique ?
    un real-politiker dirait que oui, mais est-ce que la Charité fait de la politique selon les modernes ?
    il est des gens que l’oisiveté et les mauvaises fréquentations amènent à bien des idées stupides, si l’on peut détromper ces personnes avec quelques paroles bien sentie et un grand coup de semonce ou une paire de claques, ce serait encore la meilleure chose à faire, mais est-ce qu’en tous les cas les affirmations de dépression ou de suicides sont des détails secondaires, des effets d’annonces, ou doit-on en faire l’analyse pour savoir ce qui tient de la tactique et ce qui tient d’un malheur personnel ?

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