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Pays : Turquie

Querelle diplomatique franco-turque sur fond de génocide arménien

Un collégien de 14 ans, d’origine turque, à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) a été
sanctionné, pour avoir écrit dans un devoir que le génocide arménien
était «mérité».
Comme sanction, l’élève a dû travailler hors de la classe, encadré par des enseignants, sur «la notion de génocide et de mérite pendant deux jours», a expliqué le principal du collège. Les parents de l’élève, qui contestaient la sanction, ont alors contacté l’association Cojep International, qui a demandé des explications au chef d’établissement.

L’affaire est ensuite devenue diplomatique, lorsque l’ambassadeur de France en Turquie a appelé le vice-président de Cojep, «pour nous demander ce qui se passait». Filiz Veysel, vice-président de l'ONG, a déclaré :

"Par ailleurs, le président de la commission des droits de l’Homme du Parlement turc a écrit à l’Assemblée nationale française […] Nous avons en outre convenu, avec le principal du
collège, de réunions citoyennes au mois de janvier, pour améliorer le
vivre-ensemble
".

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11 commentaires

  1. Cojep est un machin lobbyiste turc de Belfort, bien vu de l’Unesco (où elle vient de faire une apparition, apparemment dans le cadre de la Journée de la Tolérance, le 16 novembre
    (voir ses pages, et la fiche Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_de_la_jeunesse_pluriculturelle)

  2. On est en pleine logique de rééducation de la pensée !!!
    Un mot qui sort du rail étroit de la pensée unique, et hop c’est parti pour deux jours de rééducation soviétique !

  3. —————
    ça traduit l’évolution de la population Lorraine , en voie de turquisation massive
    j ‘ai lu cet été un article du républicain lorrain
    se félicitant de l’achat d’immobilier par des étrangers
    ——
    qui sont les premiers étrangers acheteurs d’immobilier en Lorraine ???
    les allemands ? BELGES ??

    Réponse les TURCS
    arrivée massive , fraudes , travail dans la construction , travail au noir etc…
    ———–

  4. Désolé, mais le génocide “mérité”, n’a pas sa place. Il fallait recadrer l’élève, c’est normal.
    Imaginez vous professeur, un élève écrivant que la Vendée a bien mérité le traitement infligé par les révolutionnaires ou bien que les prêtres déportés n’ont eu que ce qu’ils méritaient….

  5. “Améliorer le vivre ensemble” : C’est le genre de formule creuse à la mode qui aurait fait dire à nos grands-parents qu’il y a des coups de pied quelque part…qui se perdent!

  6. Le principal du collège a tout naturellement accepté les leçons de morale des “réunions citoyennes”, dont on ne sait pas en quoi elles diffèrent de simples “réunions” pour “améliorer le vivre-ensemble”. À quand l’amélioration du “vivre-ensemble” en Turquie ?
    C’est le proviseur qui finalement est puni et collé plusieurs jours de suite par le Cojep turc !
    Le Cojep qui soutient le révisionnisme de l’élève puni, et donc le révisionnisme tout court vis-à-vis du génocide arménien, ce qui ne choque pas les bonnes âmes de la république.
    J’espère que le proviseur laissera désormais s’exprimer la haine anti arménienne de l’idéologie turque de paix et de tolérance.

  7. Petite cause, grands effets : la disproportion est alarmante. Que la copie d’un élève puisse susciter une réaction d’Ambassadeur ????

  8. A Degrelle.
    En tant que professeur, je trouve qu’une telle manière d’agir – quelle que soit la gravité de l’assertion – est tout sauf pédagogique.
    Comment en effet imaginer un seul instant que l’enfant va ainsi comprendre son erreur ?!
    Mais l’Education Nationale a-t-elle jamais eu une visée pédagogique… ? Idéologique, oui, il n’y a pas de doute. Pédagogique, au sens de l’élévation d’un esprit, certainement pas malheureusement.
    On nous force d’une part à admettre la Turquie dans “l’Europe” au nom de l’ouverture d’esprit, et l’on fait semblant de se rattraper par de puériles démonstrations de virilité face à un gamin…
    Pitoyable !

  9. la France glisse doucement vers le totalitarisme. Ce n’est pas la première fois que l’école impose le prêt à penser ou des vérités imposées, y compris aux examens.
    Dans le cas présent peut-être fallait-il s’y prendre autrement avec l’élève, au lieu de cette mesure d’exclusion et de coercition qui ressemble plutôt à une brimade telle qu’en imposait l’école il y a un siècle aux petits Bretons qui parlaient leur langue dans la cour de récréation (bonnet d’âne et coup de triques).Une humiliation qui n’a rien de pédagogique.Et ce n’est pas l’Ecole, qui représente l’Etat français qui n’est même pas capable de reconnaître certaines vérités,par exemple le 4 juillet 1962 à Oran, etc…qui peut se permettre de donner des leçons, et surtout pas des leçons d’histoire…L’école n’est ni neutre ni objective.
    L’Ecole n’a pas non plus à se substituer aux parents ni l’Etat aux historiens.A semer le désordre on récolte le désordre. Alors à quand les petits goulags pour les écoliers déviants? ou le retrait des enfants aux parents récalcitrants ?…
    Et puis avec l’idéologie officielle élévée au rang de religion (surtout en Histoire), le multiculturalisme, etc…on est qu’au début de ce genre de problèmes.
    Père de 6 enfants,j’ai compris depuis longtemps et aucun de mes enfants n’a jamais mis les pieds dans une école (Instruction à domicile). Et c’est un choix que nous parents et eux enfants/ados ne regrettons pas. Ce qui n’empêche pas que les plus grands soient aujourd’hui étudiants.

  10. Petits écoliers rapatriés d’Algérie en 1962,combien de fois avons nous entendu de la part de nos enseignants que ce qui nous arrivait était “mérité”.

  11. Au moins, celui là ne crache par sur son pays d’origine. Et puis c’est bien parceque son prof lui avait mal expliqué la chose et qu’il n’avait rien compris. Et puis un gamin de 14 ans que connait il de cette affaire vieille de bientôt cent ans. Finalement, il a bien fait de répondre à son prof par une sottise bien mùéritée.

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