En s’acharnant à expulser l’imam islamiste Hassan Iquioussen, Gérald Darmanin n’a pas cessé de multiplier les invectives à l’égard du prêcheur. Particulièrement, le ministre de l’Intérieur n’a jamais manqué de rappeler que les antécédents de l’imam remontent à près de vingt ans, et sont depuis longtemps bien connus des services de l’État. Une longue carrière islamiste qui n’a pourtant pas empêché Gérald Darmanin de dîner avec Hassan Iquioussen, en 2014, révèle Mediapart.
Alors député UMP, il ambitionnait de conquérir la mairie de Tourcoing à la gauche. Pour ce faire, Gérald Darmanin avait conçu le projet de se rapprocher de l’électorat musulman.
Gérald Darmanin avait alors tenu à rencontrer la communauté musulmane du Nord. C’est à cette occasion que, selon Mediapart, il aurait partagé un dîner de deux heures avec l’imam Iquioussen. L’intéressé confirme d’ailleurs l’information, sans difficulté :
« On a passé une très belle soirée. C’était très positif, on s’est mis d’accord sur 99,9 % des sujets de conversation ».
« Darmanin mettait un point d’honneur à rappeler qu’il portait comme deuxième prénom Moussa, que ça venait de son grand-père », ajoute un autre convive.
L’imam Hassan Iquioussen avait aussi acheté en 2003 sa propriété de Lourches dans le Nord à un oncle de Gérald Darmanin.
Meltoisan
Sur la doctrine du “En même temps”, je crois que l’élève Darmanin est en train de dépasser le maître Macron !
Je me demande quelle est la secte qui donne cette formation sur la “concomitance des contraires, doctrine de gouvernance” ?
Il faut peut-être chercher du côté des US et de McKinsey …
Gaudete
Pauvre type un vrai sinistre de l’Intérieur, il est vrai qu’avec sa tête d’ahuri il a bien le physique de l’emploi et que ne ne ferait pas un politichien pour emporter des voix, l’honneur et la probité c’est sous les godillots
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VÉRITÉ HISTORIQUE SUR LES « LUMIÈRES »
La République française, en cette fin d’août 2022, vient de juger les prêches de l’imam marocain, M. Hassan Iquioussen, comme antisémites et rétrogrades envers les femmes, bien sûr indignes d’un être humain et, de ce fait, expulsable de France, décrété comme « ennemi de la république » par le ministre de l’Intérieur, un coup d’épée dans l’eau puisque les Marocains sont royalistes, mais permettez-moi, pour l’honneur de la Vérité historique, de me faire un instant l’avocate de la cohérence.
Pour les rares intellectuels au fait des abjections des « Lumières » à l’encontre des femmes et des juifs, c’est-à-dire ceux qui ont lu l’œuvre entier des « Lumières » ou « L’homme des droits de l’homme et sa compagne », « Naissance du sous-homme au cœur des Lumières » et « Voltaire méconnu », trois essais sans complaisance du Pr Xavier Martin, publiés aux éditions Dominique Martin Morin, il est hilarant d’entendre un tel anathème de la part des convulsionnaires féministes et philosémites parce que se réclamant en contrepoint « fils (ou filles) des “Lumières” », car sachons-le une fois pour toutes, les « Lumières » considéraient la femme pour rien, la rangeant dans la subhumanité, arguant que la femme devait rester chez elle, être interdite du droit de vote, être traitée comme une « bête de somme », allant jusqu’à la fouetter pour l’expulser de la Convention et, philosophaille en rut, prônaient le viol des femmes, car toute femme était censée leur appartenir enseignaient ces faux humanistes dans leur délire philosophesque, voire le viol collectif des Françaises par des soldats français avant qu’ils ne partissent pour la guerre, et ce, dans le dessein nataliste de reconstituer notre population mâle pour qu’elle servît derechef de chair à canons à la suivante, et certains, comme le bonapartiste Stendhal (cependant au programme scolaire) décrivirent la technique du viol dans leurs infâmes écrits. Les « Lumières », convulsionnaires de la tolérance, étaient aussi obsessionnellement judéophobes (cf. Pr Xavier Martin, « Voltaire méconnu », p. 34 à 38). Néanmoins, les républicains, dépourvus d’esprit critique, se réclament des « Lumières » à la rhétorique aussi obscurantiste que celle du prédicateur salafiste susdit, l’un prêchant l’islam en France depuis vingt ans ; les autres, l’athécratie * et la haine de soi (citée par le Pr Xavier Martin dans « Voltaire méconnu », p. 38 à 41) depuis trois cents ans ! En toute cohérence, qui condamne cet imam s’oblige à désavouer les « Lumières », pilier de la république, car ses propos inhumains équipollent ceux des philosophâtres des « Lumières » du XVIIIe siècle auxquels nous devons le honteux suffrage sexiste républicain du 5 mars 1848 (et non « universel » comme la serinette républicaine s’en glorifie dans sa livrée de l’historiquement correct), suffrage sectaire d’autant plus honteux qu’il contrevient à l’égalité des droits ! En conclusion, sont donc incohérents la parasélite fantasmant sur un « islam des “Lumières” » d’autant qu’il lui messied de ne pas être instruite de cette pensée de bon sens inscrite dans le marbre par Montesquieu, marqué par le lutherrorisme prussien menant sa guerre sainte en Terre catholique (cf. « Luther, Calvin, Ferry et le Lutherrorisme », d’Yves Gérardin, aux éd. du Sel, et sur la Toile « La Michelade de Nîmes » : « Il suit de là qu’il y a tres-souvent beaucoup d’inconvénients à transporter une religion d’un pays dans un autre. » (« De l’Esprit des lois », livre XXIV, chap. XXV) Sont incohérents la femme, a fortiori la féministe, qui se réclame des « Lumières » ; le Français voltairien traité dans sa francité de « chiasse du genre humain » par Voltaire même, haïssant la France et les Français (Pr Xavier Martin, « Voltaire méconnu », p. 40). La déesse Raison des républicains a encore bien des progrès à faire en matière de rationalité ! Une chose est de voir les « Lumières » par l’idée que l’on s’en fait ; autre est de les voir telles qu’elles sont, irriguant les esprits malléables de leur rictus crétinisant.
Louise de Tréfalc
Auteur du roman « Le Vendroy »
Glossaire :
* Athécratie n.f. Dictature de l’athéisme, des athées.