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Culture de mort : Euthanasie

Quand les médias et la justice aident les militants de l’euthanasie

ESuite à l'euthanasie de sa femme racontée ici, le meurtrier se retrouve poursuivi pour "homicide volontaire" et "non-assistance à personne en danger". Interrogé sur RTL, il a tenu à justifier son geste qu'il assume pleinement. Evidemment, il est membre de l'ADMD.

Entendu mardi par un juge d'instruction de Saint-Etienne, il doit être convoqué de nouveau dans les prochaines semaines, et ne devrait pas être jugé avant plusieurs mois. Le magistrat devrait probablement requalifier les faits, et ne retenir que la "non-assistance à personne en danger", passible du tribunal correctionel et d'une peine, pour ce délit, symbolique.

Voilà de quoi encourager le meurtre.

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3 commentaires

  1. J’ai entendu ce monsieur se vanter de son crime à la radio !
    Deux remarques :
    – j’espère bien que ce crime ne sera pas requalifié à “non assistance à personne en danger”. A titre d’exemple, vous voyez une personne qui va se faire renverser dans la rue, et vous ne la prévenez pas; c’est grave, mais moins que si vous la poussez sous les roues d’une voiture !
    – ce monsieur souffre de la maladie de Parkinson, et il espère que quelqu’un va l’aider à mourir. Je voudrais voir sa tête s’il était pris au mot, et qu’on lui apporte le cocktail mortifère qu’il a administré à sa femme !

  2. Étonnant en effet…
    Mais il faut savoir aussi que parfois les juridictions choisissent la voie discrète du tribunal correctionnel pour éviter un grand procès médiatique avec défilé d’avocats idéologues à la barre. Qu’on se rappelle les grands procès pour avortement… En ce cas le prétoire devient une tribune pour les excités de toute sorte et on se sert de la compassion générée pour l’accusé – forcément victime d’un système injuste et dépassé – pour faire passer des messages profondément subversifs.
    Pensez aussi à l’affaire Humbert (du nom de cet adolescent tué par sa mère au nom de je ne sais quel principe du droit à la “mort dans la dignité”)
    C’est peut-être – on ne le sait pas – ce qu’a voulu éviter ce juge d’instruction.
    Demandez à n’importe quel chroniqueur judiciaire sérieux il vous dira les merveilles politiques qu’on peut tirer d’une bonne salle d’audience surchauffée !
    @lama12 : on ne peut pas “requalifier” un meurtre en non assistance en personne en danger. On peut tout au plus après avoir poursuivi les deux infractions en abandonner une. Ça change pas grand chose, je sais mais autant être exact jusqu’au bout!

  3. Aux assassins et meurtriers de tous genres : essayez l’argument du “c’était par amour”…
    On ne sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher !

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