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Médias : Désinformation

Quand les bobos de France Inter prennent le TGV

Quand les bobos de France Inter prennent le TGV

Témoignage de Nicola Mirkovic sur Facebook :

Ce soir je me retrouve dans le TGV à côté d’un petit groupe de personnes comprenant plusieurs chroniqueurs de France Inter (dont Charline Vanhoenacker et Guillaume Meurice). Certains s’enivrent, ils brayent, ils rient fort, ils renâclent (c’est surtout Vanhoenacker qui renâcle comme un petit cochon). L’un d’entre eux renverse sa bouteille (75cl) de vin sur les fauteuils ce qui rend la petite bande hilare. Ils n’essayent même pas de nettoyer. En voyant un hôtel en contrebas la chroniqueuse Juliette Arnaud, visiblement pas en état de sobriété, crie qu’elle « a déjà baisé là ». Son voisin lui répond « moi aussi ». Ils n’ont aucun respect pour les autres passagers ni pour le bien public. Je me suis dit voilà des bobos nantis qui nous bassinent à longueur de journée sur le vivre ensemble à l’antenne mais qui sont incapables de l’appliquer en dehors du studio. Faites ce que je dis pas ce que je fais, c’est ça ? Vivement des vrais journalistes sur le service public.

VA relaie l’affaire ici.

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5 commentaires

  1. Petite anecdote bien révélatrice de la qualité morale de nos journaleux grands donneurs de leçons, aussi incultes et cuistres que prétentieux, bobos fils des soixante-huitards gueulards et débraillés, amateurs de joints, de rails (pas ceux de la SNCF) et de naïte-cleubs mais porteurs de l’avenir de la France.
    Nous v’là bien ma bonne dame.

  2. sont-ce des bêtes ou des humains et ces tordus vont gueuler comme des putois contre la pollution alors qu’à longueur d’antenne ils polluent le cerveau de ceux qui les écoutent

  3. France Inter ne soûle pas que les auditeurs, ils se soûlent eux-mêmes

  4. ces gens là sont des parasites qui ne vivent que par nos impots; ils ne respectent ni leurs auditeurs qu’ils méprisent, ni les autres gueux! gaulois rréfractaires, osez aller voter

  5. Le poids des mots, le choc des photos… Pourquoi dans ce cas-là ne pas filmer ? Nous sommes tous en possession d’appareils qui nous le permettent. Pour moi ce type de témoignage dans sa narration n’est que subjectivité. Les films eux sont sans équivoque.

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