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Tribune libre

Propagande vaccinale à l’école ou enseignements scientifiques ? Révoltons-nous d’urgence!

Propagande vaccinale à l’école ou enseignements scientifiques ? Révoltons-nous d’urgence!

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Le ministère de l’Education nationale envisage à la rentrée une grande manœuvre d’idéologie scientifique aussi stupide que l’enseignement de la théorie des races sous la IIIe République. Le document de référence s’intitule : Mettre en place une activité de découverte de la vaccination en cycle 2 et 3. C’est un pur instrument de manipulation qui contredit le savoir scientifique. En effet, il n’est pas établi que la vaccination est la solution universelle dont-on veut persuader nos enfants ? De plus, il contourne l’autorité parentale pour manipuler les enfants et les persuader du bien-fondé de la « vaccination » anti-Covid.

Il y a quelques raisons de douter très sérieusement de ce document. Mettons à la disposition des familles et des enfants une authentique connaissance et exigeons autre chose. Essayons ici -même d’avoir ici un discours raisonnable. Rappelons que dans la démarche scientifique, il faut apporter la preuve de ses affirmations. En l’absence de preuve, nous sommes dans la pensée magique, l’idéologie, la manipulation ou la spéculation.

Il est faux de dire que la seule vaccination éradique des maladies, les preuves

L’étude historique prouve qu’il est faux d’enseigner que la vaccination éradique une maladie. Une telle affirmation pour être vraie devrait se répéter à chaque fois qu’une campagne de vaccination a été initiée, du fait de l’efficacité sur les populations, déjà faux pour la COVID. Pour être vraie, il ne faudrait pas constater que, sans vaccination, ces mêmes résultats de contraction, voire de quasi-éradication s’observent aussi, réalité de très nombreux pays pour la COVID.

De plus, pour la variole, maladie de référence des apologues de la solution vaccinale pour toutes les maladies, le rapport de l’OMS, de la commission mondiale pour la certification de l’éradication de la variole en date du 13 mars 1980 disait déjà dans sa page 32. Lisez bien :

« Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. »

En effet, l’étude historique des courbes des décès causés par la variole et celle des campagnes de vaccination ne concordent pas. Trois situations sont observées par les médecins en Angleterre par exemple, comme le rapporte Michel de Lorgeril, connu pour ses travaux sur les bienfaits du régime alimentaire méditerranéen contre les maladies cardiovasculaires. Etudiant la vaccination contre la variole en Angleterre, il observe donc :
1. La baisse de la couverture vaccinale ne produit pas une envolée des décès (1879-1898).
2. La croissance de la couverture vaccinale s’accompagne d’une recrudescence des décès (1898-1905)
3. La baisse continue de la couverture vaccinale n’induit pas de résurgence après les années 1905.

Au passage, lui, réalise un essai clinique jamais contredit depuis, testant le régime méditerranéen sur des patients lyonnais volontaires avec pour comparaison un groupe témoin de 300 patients suivant un régime dit classique. L’étude conclut à la réduction de la mortalité et à une baisse de 70 % des récidives d’accidents vasculaires dans le groupe qui a suivi le régime méditerranéen. Depuis, toutes les expériences et études ont confirmé sa découverte.

A l’inverse, certaines maladies ont très sensiblement reculé pour d’autres raisons sans aucune vaccination ; cas de la peste, du choléra ou de la lèpre en Europe. Donc, d’autres facteurs jouent un rôle très important : l’hygiène élémentaire, l’organisation sociale ou l’alimentation comme il l’a prouvé pour certaines maladies. Vacciner est certes une possibilité, pas une nécessité, encore moins une obligation et encore moins la seule et unique solution selon les maladies. Or, les preuves sont déjà là contre cet enseignement mensonger. Des vaccinés sont malades, des vaccinés meurent de cette maladie, des vaccinés sont contagieux longtemps et contaminent. L’échec est donc patent pour la COVID. Il faut en faire une étude de cas pour les enfants ? Non ! L’Etat ment, et les enseignants deviendront complices d’un mensonge d’Etat anti-scientifique.

La preuve que la vaccination obtient des résultats très variables et échoue pour des maladies

Faisons le point sur d’autres maladies, objets de vaccination. Il y a plusieurs biais. Concernant le tétanos, la population française ne travaille presque plus la terre et le bricolage expose très exceptionnellement à des outils rouillés comme autrefois dans les fermes. Les conditions de vie expliquent tout autant cette performance. Le résultat est certes probant, mais le vaccin n’est pas à lui seul le facteur explicatif. J’emprunte ici au journal Le Monde l’excellente synthèse en date 1er aout 2017 pour ses schémas.

Schéma 1 – Tétanos

De même, certains pics sont visibles malgré la vaccination concernant la rubéole dans les années 93, 94, 97 ou 2000. Si la vaccination était à elle seule la source de liquidation de la maladie chez les mères enceinte avec les risques sur leur enfant à naître, ces pics ne devraient pas exister. La variation du taux de vaccination n’est pas une variable suffisante d’une année sur l’autre. Admettons toutefois ici que la vaccination reste prédominante, mais il y a à l’évidence d’autres facteurs.

Schéma 2 – Rubéole

A l’inverse, pour l’hépatite B, la baisse est très relative et aujourd’hui stagnante. La performance de la vaccination est cette fois très aléatoire, d’autant que nous sommes sur des estimations. La stratégie vaccinale est même un échec admis.

Schéma 3 – Hépatite B

De même pour la méningite où nous assistons à un rebond. Les résultats ne sont pas concluant non plus, deuxième échec a montré à nos enfants.

Schéma 4 – Méningite

Cependant, il est indéniable que pour la poliomyélite, l’effet de la vaccination semble assez peu contestable, là le résultat est même spectaculaire.

 


Schéma 5 – Poliomyélite

Enfin, reste le cas de la tuberculose, oubliée par l’enquête du Monde en 2017, d’ailleurs car la vaccination n’était plus obligatoire et pour cause. Le résultat est très discutable. Loin d’être efficace à 100%, l’estimation publique est une réduction du risque de moitié avec absence de complications graves, affirmée, mais pas prouvée. C’est l’exemple même de la vaccination mal étayée. Toute la littérature scientifique officielle reconnaît cette situation d’une vaccination assez médiocre dans ses résultats. Le vaccin n’est plus obligatoire d’ailleurs, signe que. Le bilan est donc très contrasté pour le moins.

La manipulation est grossière et fondamentalement anti-scientifique

Extrayons quelques exemples des manipulations orchestrées par le ministère de l’éducation nationale.

Premier exemple : contourner l’autorité parentale
« Certains vaccins sont obligatoires, d’autres seulement recommandés. La démarche de vacciner un enfant de moins de 16 ans contre la Covid-19 est un choix appartenant aux responsables légaux. Sans être prescriptive et interférer dans leur décision, l’éducation nationale peut contribuer à aider les élèves à mieux comprendre le fonctionnement et la circulation des virus ainsi que la contribution du vaccin à la réponse immunitaire. Tel est l’objet de cette ressource. » (p.3)Deux phrases démontrent bien qu’il s’agit d’apporter des informations partisanes pour que les enfants argumentent avec, voire contre leurs parents en faveur de leur « vaccination ». Cela s’appelle un détournement du consentement, puisque l’éducateur n’a pas mission ni compétence pour éclairer le « patient » sur les besoins et les risques inhérents à une thérapeutique. La déloyauté du procédé est actée dans ce premier paragraphe sur les enjeux.

Deuxième exemple : manipuler le consentement sans preuve scientifique
« Enseignement moral et civique (EMC) « Respecter autrui », en s’appuyant notamment sur le développement des compétences et connaissances suivantes : « Adopter un comportement responsable par rapport à soi et à autrui » (cycle 2) ; « Avoir conscience de sa responsabilité individuelle » (cycle 3). » (p.4)
L’enseignement passe sous silence tout le fondement scientifique de telles affirmations. Il faudrait avoir la certitude scientifique étayée que le « vaccin » protège, qu’il évite la contagion et contamination, etc. Tout cela est occulté pour un enseignement « moralisateur » totalement manipulatoire. Les faits scientifiques contredisent ces assertions morales irrationnelles. C’est la doxa de la COVID.

Troisième exemple : la manipulation grossière, seule la vaccination soigne
Parmi le matériel pédagogique, un petit film simpliste et très manipulateur sur la rougeole : https://www.youtube.com/watch?v=0FlvVP4GRmY (p.14). Comme l’ensemble de la séance, il persuade l’enfant que toutes les maladies se soignent par la seule vaccination. A aucun moment, dans aucune séquence ne sont présentées aux enfants les thérapeutiques de soin face aux maladies ; alors que la plupart des maladies et accidents donnent lieu à des thérapeutiques. Le biais de représentation qui en ressort est aussi grossier que les campagnes de dénigrement orchestrées contre les médecines traitant La COVID. Malicieuse perversion de l’Etat, non ?

Quatrième exemple : le lien à la « vaccination » Covid, le glissement vers la forfaiture scientifique
« Maintenant que le mécanisme de la vaccination a été étudié, ainsi que d’autres concepts liés aux microbes et maladies, il est possible de relier ces notions à l’épidémie de Covid-19. » (p.18)
Personne ne pourra nier que l’objectif ultime est bien de convaincre des enfants de demander à leurs parents de se faire vacciner quand l’Etat exercera la pression pour retourner les enfants contre leurs parents, cet hiver par exemple. La manœuvre est grossière pour saborder l’autorité puis contester la compétence parentale. Les parents ignares seront dévalués face à l’autorité de l’école opposée à celle des parents, vieilles méthodes bien connues.

Dernier exemple : absence totale d’alternative, d’esprit critique et de bilan scientifique
« L’idée générale de cette première partie est d’une part d’introduire la vaccination auprès des élèves, et d’autre part de recueillir leurs représentations premières concernant ce sujet. » (p.6)
L’enfant est bien grossièrement manipulé dans un seul but, lui faire accepter l’idéologie de la vaccination. Comment les enseignants peuvent-ils être les complices d’un tel déni d’enseignement ? Aucune données scientifiques, aucun résultat sur les vaccins pour différentes maladies, aucune place pour la controverse scientifique ou l’analyse des enjeux économiques : vacciner ou traiter les malades par exemple. C’est-là le petit livre rouge de l’apologie de la vaccination avec un Etat sûr de ses vérités, de son bon droit d’imposer et dicter : les scientistes au pouvoir. Les progressistes sont sur ses sujets bien peu ouverts au relativisme, à la discussion, comme si tout cela était certitude absolue. L’idéologie scientifique au lieu et place d’un enseignement raisonnable. Effrayant.

Conclusion, rien ne prouve que la vaccination soit la meilleure des réponses pour toutes les maladies, surtout les virales dont les virus mutent très régulièrement, exemple de la grippe. D’ailleurs ce vaccin n’est pas présenté. A cet égard, Michel de Lorgeril dans un entretien de grande qualité avec Laurent Mucchielli dans QG Le média explique très bien l’échec de la pseudo- vaccination grippale : « Comme les virus responsables de la grippe changent chaque année, il est impossible de conduire des essais cliniques avant l’arrivée de la grippe saisonnière pour vérifier l’efficacité des vaccins proposés. C’est donc une sorte de pari, répété chaque année. … Et c’est a posteriori que l’efficacité potentielle sera vérifiée. Les techniques utilisées pour cette vérification rétrospective sont scientifiquement faibles, il est évident que beaucoup de vaccinés font une grippe plus ou moins sévère et même les experts admettent en général une faible efficacité de ces vaccins. Les autorités sanitaires et les experts liés à l’industrie prétendent que c’est mieux que rien, mais pour un scientifique c’est irrecevable. » C’est un business qui spécule sur la peur, voilà tout. Les enfants ne sont pas éduqués aux concepts de base : protection, innocuité, sécurité et liberté personnelle.

Outre la dimension scientifique qui exige de l’honnêteté intellectuelle, nos enseignants auront-ils le courage d’une analyse économique, politique, pour ne pas dire « marxiste », comme au bon vieux temps. Parce que celle-là exercerait quand même l’esprit critique des enfants. Voyez par vous-même. Cela s’appelle l’intérêt à agir des acteurs économiques pour développer le sens de la citoyenneté.

Il est vrai de supputer par le doute raisonnable que la cupidité tue

Il existe toutefois un doute raisonnable selon lequel les laboratoires sont avant tout motivés par l’appas du gain. La vaccination de masse à très grande échelle représente un enjeu financier en centaines de milliards, et plus encore une vaccination récurrente annuelle avec un vaccin à l’efficacité temporaire est un miracle économique qui devient le business du millénaire. La vaccinothérapie est un choix stratégique des laboratoires bien plus qu’un choix raisonnable de politique de santé publique. Et cette fascination pour les bénéfices commence à altérer très sérieusement le jugement des institutions de santé. Un vaccin pas très efficace justifie de repiquer chaque année. Le graal du business man, mais l’antiscience au pouvoir. On observe d’ailleurs une dégradation de la qualité des médicaments qui favorisent des traitements au long court : hasard ou nécessité des affaires ?

A cet égard, il faut lire le prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz, qui consacre quelques pages brillantes au danger de la propriété intellectuelle des brevets des laboratoires, leur durée, l’effet de destruction des solutions alternatives moins onéreuses, l’élimination des thérapeutiques antérieurement éprouvées et leurs stratégies perverses. Stiglitz indique par exemple que : « L’accord sur les ADPIC (Aspects des Droits de Propriété Intellectuelle liés au commerce (OMC), a traduit le triomphe d’intérêts d’affaires américains et européens sur les intérêts généraux de milliards d’habitants… Le profit a pesé plus lourd que les valeurs fondamentales. » (p.191) Nous sommes dans des situations de « monopoles abusifs » qui vont « ralentir le rythme de l’innovation. Leurs effets débilitants sont particulièrement graves. » (p.193) dit le prix Nobel dans Un autre monde : contre le fanatisme du marché. Livre exceptionnel.

D’ailleurs, ces laboratoires ne visent plus la santé humaine mais affichent bien l’objectif du bienêtre qui ouvre la porte à des drogues douces de bienêtre, au viagra qui n’a rien d’un médicament et tout d’un dopant sexuel, le dopage devenant lui aussi un business raisonnable pour le bienêtre du sportif. Il suffit de lire les projets stratégiques de ces grands laboratoires pour constater que la santé publique n’est plus leur objectif : business first. Et le patient devenu client deviendra responsable des éventuels aléas des thérapeutiques du bienêtre. Magnifique.

Malheureusement, ce capitalisme dévoyé dénoncé par Stiglitz fait du médicament un outil du bienêtre. Le scandale des opiacés démontre leur cynisme : emprise, dépendance, addiction, puis enfermement et mort. Le viagra vendu pour les troubles de l’érection est avant tout consommé par des hommes dont l’andropause réduit la libido, dame nature l’a voulu ainsi. Seulement, les effets indésirables existent. Le plus graves étant des troubles digestifs, des troubles de la vision avec diminution de l’acuité visuelle, des érections prolongées et douloureuses, de l’hypertension ou une hypotension avec évanouissement jusqu’à l’accident vasculaire cérébral. Il faudra soigner le « fada du kiki » comme on dit chez moi. Le refus de la condition humaine nous entraine vers le dopage sexuel et autres éléments d’un bienêtre très artificiel. Ce n’est plus de la médecine. Quelques textes émanant de ces laboratoires éclaireraient judicieusement nos enfants, non.

Lançons un appel aux parents pour que cette propagande fasse l’objet d’une contestation massive pour ces deux raisons. Lançons dans les écoles des comités de vigilance contre l’idéologie scientifique. La première raison sera strictement scientifique qui prouve que les vaccins ne sont pas la solution universelle, très loin de là ; la seconde raison sera strictement économique et elle démontre que les intentions des laboratoires sont très loin d’être liées à l’amélioration de la santé publique. C’est prouvé dans leur projet stratégique, document public remis à leurs actionnaires et les centaines de condamnations des juridictions de très nombreux pays étayent bien plus qu’un doute raisonnable. Nos enseignants porteront-ils à la connaissance des enfants les milliards de dollars de condamnation des laboratoires américains pour initier une réflexion sur les questions éthiques qui y sont liées ? J’en doute à ce stade. Imposons-là. Construisons et mettons à la disposition des parents et des maîtres d’autres documents.

L’Etat procède sous nos yeux à un enfermement de nos enfants dans une bulle cognitive où la seule vaccination est présentée comme le traitement des maladies qu’ils devront accepter. C’est en soi une contre-vérité scientifique absolue. Et le plus grave, rien sur l’éthique, rien sur l’histoire de la médecine et ses errements, rien sur la dignité humaine, rien sur la liberté et le consentement, rien sur le droit à l’information, rien pour les plus grands sur les traités internationaux et la protection des personnes. Fascinant, fascisant même. C’est intolérable, et nous devrons tous faire pression dans les écoles et les collèges. Fabriquons des documents, distributions-les, diffusons, affichons, etc.

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6 commentaires

  1. Voici ce que disait déjà, au siècle dernier , le docteur Paul Carton à propos des vaccinations:
    ‌ « Ces inoculations qui ne s’occupent pas de la suppression des causes alimentaires et générales, qui paralysent l’oeuvre des défenses naturelles du terrain organique, mais qui s’emploient à des artifices trompeurs, font oeuvre de démolition de la santé individuelle et collective.

    En outre, cette thérapeutique agit presque uniquement par choc humoral. Et, en vérité, c’est l’insurrection des défenses naturelles révoltées par une agression supplémentaire qui fait surmonter et dominer à la fois les poisons de la substance inoculée et ceux de la maladie concomitante.

    D’autre part, le cataclysme humoral qui résulte de la pénétration directe dans le sang, sans neutralisation viscérale , d’hormones étrangères est irréparable, car il sensibilise, anaphylactise, avilit, abêtit, tare et dégrade d’une façon persistante. L’état protoplasmique des cellules nobles du corps et de leurs sécrétions internes s’en trouve débilité.

    Enfin, fait prodigieusement instructif, les vaccins et sérums n’ont fait que produire des améliorations apparentes de la santé publique, car ils n’ont abouti, en définitive , qu’à déplacer dangereusement l’axe des déterminations morbides, en substituant une augmentation considérable des maladies chroniques , des tares et des dégénérescences, à la réduction des affections aiguës qui elles, opéraient de salutaires nettoyages des organismes.

    La grosse réduction des cas de variole , de fièvre typhoïde, de diphtérie, de diarrhée infantile s’est trouvée remplacée par une énorme aggravation des défaillances viscérales et cellulaires (angine de poitrine, cirrhose du foie, néphrite, appendicite, entérite, rhumatisme, diabète, cancer et surtout des défaillances du système nerveux, du caractère et de la moralité (suicides, divorces, escroqueries, folies, arriération mentale) ».

    Aujourd’hui rien n’a changé. La médecine soigne les effets mais ne s’attaque pas aux causes réelles, premières, des maladies qui sont provoquées par la transgression des lois qui régissent la santé humaine. L’industrie pharmaceutique a encore de beaux jours devant elle.

    Il est possible de se procurer des ouvrages du Docteur Carton chez :
    – DPF – BP 70001 – 86190 Chiré-en-Montreuil

    Les premiers à acquérir conseillés :
    – Le décalogue de la santé ;
    – La cuisine simple.

  2. 1- il suffit de voir le nombre croissant de maisons médicales pour constater que la médecine telle qu’elle est enseignée et pratiquée ne fonctionne pas. Le plus souvent, on soigne une maladie mais pas le malade. Il ne faut pas oublier que c’est Rockefeller (qui est aussi chantre de l’avortement) qui a imposé une médecine basée sur des produits chimiques dérivés du pétrole dont il était producteur, et ce, en “subve-nt ou rs-ionnant”” les universités.
    2- concernant les injections, on peut se demander comme le clergé l’inculque aux enfants ‘Qu’aurait fait Jésus à ma place?’ , et s’étonner que dans ce cas de nombreux bergers sont devenus moutons. La réponse parait pourtant très simple, en plus, sachant ce qu’il y a dedans, les effets secondaires qui apparaissent, et on en découvre tous les jours (ingrédients et effets), et le but constaté de cette volonté d’injecter TOUTE la population (pour prendre un seul exemple, parmi tant d’autres asso ‘où est mon cycle?…)

  3. Les injections expérimentales contre le Covid ne sont pas des vaccins

  4. En quoi “l’enseignement de la théorie des races sous la IIIe République” était-il “stupide” ?

    • Parce qu’elle est une idéologie scientifique fondée sur des critères de classement totalement arbitraires et les différences génétiques des populations sont une preuve du génie de la nature en matière d’adaptation à nos milieux. La théorie des races n’ a pas de fondements scientifiques et encore moins théologiques pour un chrétien me semble-t-il. Je vous invite à relire les lettres de Paul III sur le droit des peuples autochtones entre autres qui donne un éclairage au combien précieux.

  5. Nous assistons à la fois à une dérive de l’Etat, qui est asservi à des intérêts quasi mafieux, et de la médecine, qui prétend ne plus soigner. Et je suis triste de voir que la plupart des médecins sont de parfaits petits collabos.

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