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Homosexualité : revendication du lobby gay

Premières conséquences de la loi Taubira : refus d’adoption

Un lecteur me signale que deux couples qui avaient fait une demande d'adoption à
l'étranger, en Colombie, ont vu leur dossier refusé en raison de l'adoption de la loi Taubira en France.

Alors que l'un de ces couples a déjà adopté par le passé deux enfants venant de ce même pays sans aucun problème.

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18 commentaires

  1. Si la loi dite Taubira était bonne, cela,se saurait. On voit bien qu’il y a problème.
    Polémiquer sans fin sur le sujet devient stérile comme le cerveau de celle qui est à l’origine de cette de loi de mascarade .

  2. Mais puisqu’on vous dit que cette loi ne changera rien pour vous!!!

  3. Et on n’a encore rien vu ! Les conséquences néfastes d’une loi inique = à l’usage, seulement.

  4. Par chance, il y a encore des pays qui se soucient du sort de leurs enfants ressortissants.
    Au moins peut-on, dévotement, le penser. Car, lorsque l’on connaît les trafics d’organes en Colombie, on s’interroge sur ce brutal accès de moralité.

  5. Connaissant bien la question, l’ayant expliquée, documents de travail à l’appui, à des hommes politiques locaux, je confirme que la France va se trouver dans la situation de la Belgique où plus aucun couple normal n’a pu adopter depuis dix ans.

  6. Je ne suis plus le père de mes enfants mais leur parent, ce n’est plus le lien biologique qui nous définit mais le lien légal et cela ne change rien pour moi ?
    Je me suis marié en prenant l’engagement de fournir les moyens d’élever les enfants issus de mon union et maintenant au lieu d’engagement j’ai la reconnaissance de sentiments comme dans une série TV américaine?? Et cela ne change rien pour moi ?
    On veut que mes enfants deviennent schizophrenes et se séparent entre une réalité biologique et des phantasmes utopiques sur leur identité et cela ne change rien pour moi ?

  7. Très bien, que l’étranger nous fasse honte et nous renvoie à nos immondices !

  8. C’est très bien, la France est un pays mis au ban de l’adoption, c’est très bien, mais les merdias ne vont pas évoquer cette question.
    Il leur reste les poissons rouges
    Quant aux vrais couples en mal d’adoption, ils ne se sont pas fait entendre ils n’ont pas été entendus !

  9. Que ces couples qui avaient fait ces demandes d’adoption refusées par la Colombie envoient des lettres de protestation à l’Élysée et à Pierre Bergé, les deux promoteurs et RESPONSABLES de ce qui leur arrive.
    Une suggestion. Peut-être devraient-ils prendre contact auprès de LMPT pour se constituer en comité de parents victimes de la loi Taubira et attaquer l’État français en dommages et intérêts.

  10. Taubira avait pourtant affirmer que cela n’arriverait pas a l’assemblee,devant les cameras de tv.
    mensonges!
    D’accourd avec jk,il faut un collectif de victimes de cette loi

  11. En outre, depuis 2010, existe la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) qui permettrait de saisir le Conseil constitutionnel pour vérifier si une partie de cette loi ne porte pas atteinte aux droits des parents adoptifs.

  12. @jk : n’est-ce pas trop tard pour une QPC ?

  13. Pauvres parents…

  14. La Colombie, la Russie et les autres devraient discriminer entre couples et paires. Qu’ils refusent les enfants aux seconds, on approuve. Mais pourquoi faire pâtir les couples normaux ?

  15. Père adoptif depuis peu de trois enfants d’origine polonaise, je suis assez dubitatif devant cette information : depuis plusieurs années le nombre d’adoption internationales est en chute libre, et une majorité des postulants se retrouve à déposer leurs dossiers sur les mêmes pays, dont la Colombie qui est maintenant l’un des tout premiers pays d’origines des enfants. L’ICBF (Autorité colombienne pour l’Adoption) a annoncé très récemment que devant l’afflux de demandes, elle ne pouvait plus prendre en charge de prendre de nouveaux dossiers jusqu’au 01/09/2013.
    Certains se sont donc forcément retrouvés bloqués sur la Colombie, mais cela n’a pas de rapport direct avec la loi Taubira, contrairement à la Russie où elle risque fort d’avoir des répercussions désastreuses pour l’ensemble des couples.

  16. Ne mélangeons pas tout. La Colombie n’a pas officiellement dit qu’elle interdirait l’adoption aux couples venant d’un pays ayant légalisé le mariage homo.
    Le blocage en Colombie est dû à un engorgement de dossiers, comme cela se produit régulièrement, à cause de l’augmentation du nombre d’adoption en national, de grèves de tribunaux, et de mauvais échos suite à des reportages TV diffusés en France, mettant en cause la validité des audiences d’adoption là-bas : l’adoption est mise en pause jusqu’au désengorgement des files d’attente, pour des enfants de 0 à 6 ans. Ainsi, les dossiers risquant d’aboutir trop tardivement sont purement et simplement refusés.
    Rien à voir, pour cette fois-ci du moins, avec cette infâme loi.

  17. pourquoi ne pas envisager une pétition de soutien à ces candidats à l’adoption,pétition qui serait adressée au premier ministre et à la ministre de la famille leur demandant d’intervenir aup

  18. La justice colombienne a confirmé l’adoption de deux enfants par un Américain homosexuel, une première dans ce pays latino-américain, en rejetant un recours des services de l’enfance auprès de l’ambassade des Etats-Unis, qui visait à empêcher leur sortie du territoire. La Cour constitutionnelle de Colombie a ordonné “la remise définitive des enfants à leur père adoptif”, dans un jugement rendu public hier soir.
    Les enfants, deux frères âgés de 10 et 13 ans, avaient été adoptés en 2011 par Chandler Burr, un journaliste du quotidien américain New York Times, qui s’était occupé d’eux dans le cadre d’un programme humanitaire, mais l’Institut colombien du bien-être familial (ICBF), organisme public, avait suspendu l’adoption, après avoir appris que ce dernier était homosexuel. L’ICBF, dont la décision avait été annulée par la Cour constitutionnelle l’an dernier, avait tenté un nouveau recours, cette fois devant l’ambassade américaine à Bogota, en les priant de ne pas accorder de visa permettant aux enfants de gagner les Etats-Unis. Le père adoptif, qui avait saisi la justice contre ce recours, a finalement obtenu à nouveau gain de cause auprès de la Cour constitutionnelle qui a déclaré “sans effet les résolutions prises par l’IBF concernant les deux mineurs”.

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