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Culture de mort : Avortement

Pour lutter contre l’avortement, faut-il diffuser des images du meurtre ?

A Revenant sur l'affaire du professeur de Manosque, suspendu pour avoir montré un film sur l'avortement à ses élèves, Famille chrétienne a interrogé Mgr Tony Anatrella puis Tugdual Derville. Extrait de la réponse du premier :

"ce ne sont pas les images qui sont choquantes puisqu’elles révèlent la réalité que personne ne nie, mais le fait de les montrer à des adolescents qui scandalise certains militants. Le vrai problème est ainsi déplacé."

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10 commentaires

  1. “Cachez ce … que je ne saurais voir”
    Tartuffe pas mort, toujours d’actualité.

  2. Les militants pro mort ne veulent pas montrer l’horreur de la réalité.C’est une arme redoutable contre leur idéologie mortifère:Il faut la montrer et la montrer encore et encore…

  3. L’avortement est devenu tellement banal sous sigle IVG qu’il faut lui rendre tout son caractère abominable et assassin.
    Pour cela rien de tel, pour interpeller les jeunes qui n’y voient rien de pire qu’une visite chez le dentiste, que de leur montrer par l’image toute l’horreur de l’avortement.
    Les images frappent beaucoup plus l’esprit que de longs discours.
    Ces images ne manquent pas sur internet (ex :le site “La trêve de Dieu”) et chaque fois que j’ai montré ces images, je n’ai pas eu besoin de grands commentaires pour me rendre compte non seulement de la surprise face à la réalité mais aussi que le message était bien fixé dans les esprits.
    Mieux vaut voir l’horreur avant que la vivre après !
    Dr Jacques Bailly

  4. Des images peuvent être à la fois vraies ET choquantes. Mais il n’est pas dit que les choses choquantes ne soient pas à montrer, si elles font comprendre une vérité morale. Rien n’étant plus nécessaire que l’horreur du péché, il ne faut négliger aucun moyen de l’imprimer dans les âmes.

  5. Rien de tel que des images choquantes pour faire réfléchir ! Les jeunes n’auront pas envie d’appuyer l’avortement quand ils verront ce que c’est et que les pro-mort ne veulent pas voir.

  6. Croit on vraiment que les images diffusées ainsi que les visites faites au sujet des camps de concentration ne choquent pas les ados?Pourtant elles s’averent nécessaires non ?

  7. Le véritable scandale est d’avoir nié la réalité de cet acte, diabolisé ceux qui le faisaient et imposé à notre société de normaliser cette interdiction.
    Les jeunes qui “jouent à l’amour” précocément, largement influencé à, leur dit-on, pouvoir le faire sans risque à l’abri de la contraception, pensent leur acte sans conséquence. Cela les incite à devenir égoïstes, individualistes et irresponsables.
    De toute façon, un jour ou l’autre et d’une façon ou l’autre, ils seront amenés à prendre conscience de la gravité des conséquences de l’acte qu’ils ont posé.
    Le mensonge est toujours pire que la vérité, car il n’empêche pas cette vérité d’exister mais pousse à l’irresponsabilité les personnes en les convaincant du contraire.
    Avec une certaine prudence, dont l’information préalable et la préparation des jeunes, un support montrant la réalité de l’avortement a une réelle utilité pour incarner l’avortement.
    La vérité est révolutionnaire, au bon sens du terme contrairement à la formule de Lénine.
    Certains documents américains “the hard truth” “Houston proud” sont les plus parlants que je connais. Mais des témoignages comme ceux de “la vie est en nous” ou une jeune femme ayant avorté par RU 486 témoigne. Celui de Gianna Jessen qui a survécu à un avortement tardif par solution saline.
    Car l’horreur de l’acte n’est pas en lui-même la seule réalité de l’avortement, la parole aussi est interdite aux femmes sauf quand celles-ci continuent malgré leur avortement dont elles disent souffrir à célébrer ce droit comme un progrès.

  8. Merci à nos courageux évêques d’avoir luttés dès la première heure.

  9. Contrairement à ce que prétend cet évêque, les gens ne connaissent pas du tout ce que représente un avortement.
    L’immense majorité ne réalise aucunement la souffrance physique endurée par le petit enfant arraché à la vie.
    Au contraire, il faut montrer et remontrer sans cesse, mettre le Planing familial et ses affidés face à l’horreur de leur crime.

  10. Adolescent en classe de seconde première ? A l’âge où ils sont considérés comme majeurs sexuellement… Au moment où les filles peuvent avorter sans même en parler à leurs parents… Alors que le planning familial a déjà fait sa propagande, alors que les mouvements “lgbt” ont déjà fait leur promotion de la capote avec le “manège enchanté”… Alors que des brochures comme « Questions d’Ados » ont été imposées sans la consultation des parents…

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