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L'Eglise : Vie de l'Eglise

Pour la renaissance spirituelle et temporelle de la France

De Philippe Maxence dans l'HN du 19 juin :

"Le voyage du Pape à Chypre
a été un véritable succès. Loin
de se démentir, le bon accueil
réservé à Benoît XVI à chacun
de ses voyages met en lumière
le côté absolument factice de
l’opposition au Pape
. Factice au
sein du peuple chrétien ; bien
réel, hélas, chez les faiseurs
d’opinions. Pendant toute l’année,
Benoît XVI a donné saint
Jean-Marie Vianney comme un
modèle éminent de tous les
prêtres
. Il leur a indiqué ainsi
qu’ils doivent être plus que jamais
les hommes de la messe,
du confessionnal et de la sainte
doctrine. En écho à cette figure
française, celle du père Jerzy
Popieluszko, récemment béatifié
,
montre que cette vision du
prêtre n’a pas de frontière.
Vraie en Pologne comme en
France, elle est vraie pour le
reste du monde.

Ces deux exemples de prêtres
nous montrent également qu’il
n’y a pas d’opposition entre
notre attachement à la patrie
céleste et celui qui nous lie à
notre patrie terrestre, dès lors
que celle-ci est ordonnée à la
première
. Au cours de la messe
de sainte Pétronille, en la basilique
Saint-Pierre à Rome,
Mgr Jean Laffitte l’a aussi souligné
en présentant « au Seigneur
dans le Saint Sacrifice de
la messe nos supplications en
faveur de notre pays
».

À sainte Pétronille nous pouvons
associer tous ces saints de
France dont a parlé merveilleusement
Henri Pourrat, à commencer
par la patronne principale
de notre pays, la Vierge Marie,
et ses patronnes secondaire,
sainte Jeanne d’Arc et sainte
Thérèse de l’Enfant-Jésus. Nous
avons besoin de leur soutien
surnaturel, non seulement pour
la renaissance spirituelle de
notre pays, mais également pour
son redressement temporel."

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1 commentaire

  1. Nous ne pouvons que nous réjouir des actes du Souverain Pontife qui affirment, dans un monde en pleine déchristianisation, la Souveraineté de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
    Cependant, il me semble prématuré de parler de renaissance, car malheureusement : “le pire est toujours possible” et les évènements abondent tristement dans ce sens.
    Il faut garder confiance, c’est une certitude, mais l’Eglise n’a sans doute pas encore touché le fond de la crise.
    Dans la tempête qu’elle traverse, il n’est pas encore question de renouveau, mais de Résistance : résistance par la prière, résistance par les sacrifices, résistance par l’école, résistance par la liturgie…. Le calme ne viendra qu’après la tempête; il faut bien constater que celle-ci, aussi virulente soit-elle, n’est pas encore apaisée.
    Seule la Providence peut décider de son terme; en attendant, remettons-nous entre ses mains pour résister aux derniers tourments, prémices d’une Chrétienté renaissante.

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