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Homosexualité : revendication du lobby gay

PMA : le gouvernement attend que la mobilisation retombe

Lors du pseudo-débat sur la loi Taubira, le gouvernement, devant l'ampleur de la mobilisation, avait demandé aux députés de renoncer à inclure la PMA pour les personnes homosexuelles dans le texte, contre la promesse que la PMA sera discutée dans le cadre d'une "loi famille", en mars. Puis Dominique Bertinotti, interrogée de nouveau, évoque un texte "avant la fin de l'année". Matignon ajoute qu'il faut attendre l'avis du comité consultatif national d'éthique (CCNE). Et François Hollande, le 25 mars, annonce qu'il attend les conclusions du comité non seulement pour fixer le calendrier de la loi, mais pour décider s'il y aura ou non une loi sur la PMA.

Face à la mobilisation qui ne faiblit pas, le gouvernement ne veut plus parler de la PMA. Dominique Bertinotti, ministre de la famille, déclare :

"Il faudra en reparler dans trois ou quatre mois. Tant qu'il n'y a pas d'apaisement sur le mariage et l'adoption, on ne peut pas. Si c'est pour se réagiter, ça n'a pas de sens."

Ou, plus simplement, il faut attendre que des personnes homosexuelles portent l'affaire en justice et que la CEDH condamne la France pour discrimination. Pour la PMA, pas besoin de loi, il suffit que l'injustice fasse son oeuvre.

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23 commentaires

  1. La pression de retombera pas,…. et si par hasard le CEDH voulait nous l’imposer, ça serait probablement une insurrection…
    le gouvernement devrait y réfléchir.

  2. Ils “attendent que la mobilisation retombe”…
    Eh ben ils vont pouvoir attendre longtemps…

  3. Un petit coup pendant les vacances d’été, avant que les députés ne s’en aillent ? Allez…
    Pensée émue pour tous les imb…iles qui nous répondaient: “mais non, la PMA et la GPA ça n’a rien à voir avec ce projet de loi !”.

  4. Très bien, qu’ils le déposent, leur recours à la CEDH ! Les manifs monstres et leur traitement médiatique honteux ont déjà largement décrédibilisé les medias (beaucoup de naïfs ont ouvert les yeux à cette occasion). Grâce à ce recours, les Français vont enfin comprendre à quoi servent VRAIMENT ces grands “machins” supranationaux: à les déposséder de leur souveraineté… Les masques vont tomber les uns après les autres, c’est la condition du réveil.

  5. Non, ce n’est pas un cauchemar mais la réalité : les malfaiteurs n’ont même pas consommé leur crime contre la famille et les droits de l’enfant qu’ils sont déjà à tramer le prochain, sans le moindre scrupule.
    Pourquoi tant de haine ? Je ne me l’explique toujours pas.

  6. normal et prévisible cela s’appelle la technique du salami
    LA TACTIQUE DU SALAMI
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Tactique_du_salami
    La tactique du salami est une expression inventée par l’homme politique hongrois Mátyás Rákosi[1], chef du Parti communiste hongrois, pour décrire l’élimination progressive des pouvoirs extérieurs au communisme (Église, autres partis…), « tranche après tranche, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien ».
    Cette stratégie est assurée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale au moment du processus de prise de pouvoir par les communistes, qui aboutit à la formation de la République populaire de Hongrie.
    Contexte historique[modifier]Le Parti communiste hongrois subit un échec aux élections de l’hiver 1945, auxquelles il ne remporte que 17 % des suffrages. Maintenus au sein du gouvernement de coalition sous la pression des Soviétiques, les communistes procèdent méthodiquement pour prendre le contrôle du pays malgré leur peu de poids politique réel.
    Au sein de la République de Hongrie, le parti communiste prend progressivement le pouvoir, pratique l’entrisme et provoque des scissions.
    Plusieurs ministres sous pavillon des partis « bourgeois » sont en réalité des membres clandestins du Parti communiste[2].
    Les scissions provoquées au sein des autres partis permettent aux communistes d’affronter des adversaires morcelés aux élections de 1947 et d’améliorer leur score, en obtenant 22 % des suffrages sous sa bannière, devenant le premier parti en nombre de voix bien que la progression n’ait été que de 5 points.
    La police secrète, l’AVH, dirigée par le ministre de l’intérieur László Rajk, décapite progressivement les partis rivaux, arrêtant les personnalités de l’ancien régime monarchique comme István Bethlen. Un dossier judiciaire est monté de toutes pièces pour pousser à la démission le premier ministre Ferenc Nagy (en).
    Le Parti civique des petits propriétaires indépendants et des travailleurs agraires, puis le Parti social-démocrate de Hongrie, sont amenés à fusionner avec le Parti communiste hongrois, qui devient le Parti des travailleurs hongrois, dirigé par Mátyás Rákosi, la fusion aboutissant à une absorption de fait.
    En août 1948, le président de la République Zoltán Tildy démissionne, remplacé à la présidence de la République par le communiste Árpád Szakasits.
    Aux élections de 1949, le parti des travailleurs forme avec les autres partis dont l’existence demeure tolérée une coalition désignée du nom de Front populaire indépendant hongrois, qui se présente comme liste unique et obtient 95,6 % des suffrages.
    Le 18 août 1949, l’assemblée adopte une nouvelle constitution. Le 20 août, la République populaire de Hongrie est proclamée.

  7. Maintenant quoi que fasse la CEDH ou le Gouvernement, en bien en mal, de bonne foi ou non, maintenant ou plus tard, le processus insurrectionnel est engagé et impossible à arrêter.
    Depuis le jour où ils ont gazé les poussettes.
    Les radicaux vont déborder les modérés et ensuite les insurrectionnels vont déborder les radicaux.
    Au stade insurrectionnel, il ne sera peut-être plus question de mariage, PMA ou GPA : il n’y aura plus qu’un seul mot d’ordre à l’adresse de l’establishment politico-mediatique: “la valise ou la mort”.
    Tout cela nous le savons tous; nous le leur disons ; mais curieusement, ils ne nous croient pas !
    Pire: ils crachent sur les manifestants et arrosent les feux qu’ils ont allumé au kérozène

  8. Titre mal choisi … Le gouvernement s’emploie, par la force sournoise et brutale de Manu le Chimique, à faire retomber la mobilisation : il n’attend pas, car les sectataires du Progrès le pressent. Bienvenu en RSSF !

  9. Satan n’a qu’un but: la destruction de l’être humain.

  10. Il faut donc continuer à mettre la pression !

  11. C’est Dodo la faux-cul !

  12. Fausse bonne idée, la pression ne retombera pas, à part cet été à cause des sacro-saintes vacances
    Nous ne lacherons rien
    Ils prennent vraiment leurs rêves pour des réalités !

  13. ils peuvent attendre longtemps ! on ne lâche rien !

  14. C’est bien ce qu’ils attendent : les grandes vacances .

  15. extrait d’un article du monde :
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/04/25/la-pma-victime-de-l-opposition-au-mariage-homosexuel_3165394_823448.html
    “Toutes les procédures qui ont donné lieu à des arrêts de CEDH partent de demande de citoyens ordinaires, qui veulent avant tout résoudre un problème concret. Pour qu’un cas [de condamnation de la France par la CEDH] soit possible, il faudrait qu’un couple lesbien vienne me voir avec la notification d’un refus de PMA par un centre. On débuterait alors une action judiciaire, avec des argumentaires, etc. En première instance, le juge rejetterait la demande, on ferait appel, et la cour d’appel confirmerait son jugement. Idem en cassation. On est déjà à cinq ans de procédure. Ajoutez-en cinq autres pour aller devant la CEDH”
    on verra bien !

  16. Pas sûr… le 14 juillet, ça tombe bien pendant l’été ?

  17. Voilà pourquoi on n’a pas d’autre choix que de faire tomber les socialistes sur ce projet de loi et de mettre une pression telle que le prochain gouvernement sera obligé de l’abroger. Soit on stoppe tout de suite la dégringolade, soit on est au fond du trou pour toujours.

  18. Le gouvernement risque de tomber avant que la mobilisation retombe !

  19. Et encore, même cet été il n’est pas certain que la pression retombe énormément, car beaucoup de gens ne partent pas en vacances, ceux qui partent ne partent pas tous au même moment, et personnellement je suis prête a faire des actions sur le lieu de vacances s’il le faut, car ils ne l’ont pas intégré mais ON NE LÂCHERA JAMAIS RIEN !
    Pas besoin de manifestations coup d’éclat pour maintenir la pression, on a vu que des veillées pacifiques et des comités d’accueil suffisent, ou même des actions toutes simples mais sur le long terme (drapeau LMPT flottant au vent sur les voitures, etc)

  20. mes chers amis qui me lirez peut être (je sais bien qu’il y a aussi des mateurs) : j’aime la France, ma Patrie… mon beau Pays est défiguré…et je suis triste, bouleversé et meurtri.
    Je crois que je vais finir par partir ailleurs avec ma femme et mon dernier enfant, dès que possible…j’en ai assez : je ne reconnais plus mon Pays, non la France ce n’est pas ça… Je ne peux plus le tolérer.

  21. Bonne idée cela, continuer à manifester sur les lieux de vacances cet été.
    A creuser, si je peux, je vais le faire !

  22. la pression est là, quels aveugles ces marxistes
    :hier marche dans Paris, à Beaune, Taubira qui annule marseille (merci pour les économies au passage!), Lemaire accuelli dans sa ville, manif LUNDI 29 18h30 palais de justice de PARIS, etc…
    et elle croit qu’on lache???? lol

  23. Un bon moyen de ne pas être victime de la cour européenne des droits de l’homme, c’est de dénoncer notre adhésion au traité ! Il suffit de six mois de préavis !

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