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Homosexualité : revendication du lobby gay

Pitié pour nos enfants…

Communiqué de l'Association Catholique des Infirmières et Médecins :

"Le mariage des homosexuels nous est présenté comme un progrès allant dans le sens de l'Histoire et de la modernité. Dans le monde grec Socrate lui-même délaissait sa famille pour s'occuper des adolescents. Dans le monde romain l'empereur Néron entre deux assassinats de ses femmes légitimes s'était marié par deux fois avec des jeunes hommes. Les pratiques de ces sociétés d'il y a près de 2000 ans ont mené droit à la décadence. Nous y courrons à marche accélérée.


Le mode de vie des homosexuels est caractérisé par l'instabilité et la recrudescence parmi ces groupes de plusieurs maladies comme la syphilis. Alors que le sida a tendance à régresser sur l'ensemble de la population française, il continue de progresser parmi la population homosexuelle
. Ce fait médical entraîne bien sûr une substantielle diminution de l'espérance de vie des gays. On comprend que dans de telles conditions, tant les juges d'enfants que les assistantes sociales, et les psychologues s'inquiètent réellement des possibilités qui pourraient leur être données en matière d'adoption des enfants par ces couples. La Caisse Nationale des Allocations Familiales (Cnaf) s'y oppose de même très majoritairement, déplorant une « remise en cause de la famille ». L'Agence Française de l'adoption fait remarquer que les enfants adoptés « portent une croix toute leur vie » : celle d'avoir été abandonnés. On veut en ajouter une autre en leur donnant deux papas ou deux mamans, les mettant ainsi en marge des autres enfants qu'ils fréquentent. Le premier mariage homosexuel en Angleterre a été celui d'Elton Jones avec David Furnish en 2005. Le chanteur déclarera « avoir le cœur brisé » du fait que son enfant adopté n'ait pas eu de mère pour l'élever.

Enfin il semble absolument invraisemblable qu'un groupe politique ayant tous les pouvoirs dans toutes les assemblées puisse céder aux revendications d'une minorité de 2 % de la population, sans aucun soucis des conséquences tant pour l'avenir des enfants que pour la société elle-même ; laquelle devra supporter les résultats liées à l'encouragement des mœurs homosexuels. Et que se disant démocratique, il n'ose pas affronter le suffrage universel qu'est le référendum.
Le gouvernement n'a-t-il rien de plus urgent à faire compte tenu de la crise ?
Nous lui rappellerons en participant à la manifestation nationale organisée par Civitas le 18 novembre prochain. A 14 h. 30, du 14 Avenue Duquesne (ministère de la Santé), jusqu'à l'Assemblée Nationale."

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3 commentaires

  1. Socrate ne “délaissait” pas sa famille pour des adolescents. Ce sont des calomnies. Je crois que c’est Platon qui témoigne que c’est entièrement faux, Socarte était parfaitement chaste.

  2. Même si ce n’était pas Socrate, certains pédagogues grecs le faisaient néanmoins
    Elton John s’attristant du fait que son enfant adopté n’avait pas eu de mère pour l’élever, a aussi ajouté qu’il envisageait de donner un frère à son enfant pour qu’il se sente moins seul.
    L’article doit pouvoir se retrouver sur la toile…

  3. Voici comment dans Le Banquet Alcybiade décrit ses relations avec Socrate :
    « Cela dit de part et d’autre, je crus que le trait que je lui avais lancé avait atteint son but ; je me lève donc, et sans lui laisser rien dire de plus, enveloppé dans ce manteau que vous me voyez, car c’était en hiver, je m’étends sous la vieille capote de cet homme-là, et jetant mes deux bras [219c] autour de ce divin et merveilleux personnage, je passai près de lui la nuit entière. Sur tout cela, Socrate, tu n’as qu’à dire si je ments ! Eh bien ! après de telles avances de ma part, voilà comme il a triomphé du pouvoir de ma beauté, comme il l’a dédaignée et honnie. Et pourtant je ne la croyais pas sans quelque valeur, ô juges : c’est à votre tribunal que je soumets cette insolence de Socrate. Sachez-le, donc, par les dieux ! par les déesses ! je me levai d’auprès de lui tel, [219d] ni plus ni moins, que si je fusse sorti du lit d’un père ou d’un frère aîné.
    Depuis cette époque, dans quelle situation d’esprit n’ai-je pas dû me trouver, je vous le demande, moi qui, d’un côté, me voyais humilier, et qui, de l’autre, admirais son caractère, sa tempérance, sa force d’âme, et me félicitais d’avoir rencontré un homme dont je ne croyais pas pouvoir jamais trouver l’égal pour la sagesse et l’empire sur lui-même ; de sorte que je ne pouvais, en aucune manière, ni me fâcher, ni me passer de sa compagnie, et que je ne voyais pas davantage [219e] le moyen de le gagner ; car je savais bien qu’à l’égard de l’argent il était invulnérable plus qu’Ajax ne l’était contre le fer[56], et je le voyais m’échapper du seul côté par où je m’étais flatté qu’il se laisserait prendre ! Ainsi je restais embarrassé, plus asservi à cet homme qu’esclave ne le fut jamais à son maître, et je n’allais plus qu’au hasard. »
    http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Banquet_(trad._Cousin)
    Le partage des lits se pratiquait en ces temps d’extrême pauvreté (penser, par exemple, aux deux femmes du jugement de Salomon).
    Socrate étant un personnage historique, je ne pense pas que l’on puisse le calomnier ainsi.

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