Partager cet article

Culture de mort : Euthanasie / France : Politique en France

Nouvelle proposition de loi pour obliger les médecins à tuer

le député Jean-Louis Touraine, vice-président de la commission des affaires sociales, soutenu par cinquante-trois de ses collègues, a déposé une proposition de loi

« visant à permettre au patient ‘en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable’ de demander à un collège de trois médecins un geste actif pour mettre fin à sa vie ».

Une « aide médicalisée active à mourir » qui serait pratiquée « soit par le patient lui-même, en présence du médecin, soit par ce dernier ».

En 2015, lors des débats sur la future loi Claeys-Leonetti, Jean-Louis Touraine avait déjà déposé un amendement similaire.

Le député « ignore dans quel délai son texte pourra être examiné », et « s’il a une chance d’aboutir ».

Cette information intervient après la médiatisation du suicide d'Anne Bert, atteinte de la maladie de Charcot. Une médiatisation qui a provoqué tristesse et indignation chez les patients atteints, comme elle, de la sclérose latérale amyotrophique (SLA).

Avec cette proposition de loi, ces députés leur disent qu'ils sont de trop…

Partager cet article

12 commentaires

  1. Ces tueurs commencent à nous les briser menus. Il y à une prime d’abattage ou quoi? Pour qu’ils soient tous aussi impatients d’en finir avec ce qu’ils considèrent comme leur copain moustachu d’outre-rhin des “vies inutiles”.

  2. JL Touraine, c’est bien ce libre-penseur qui se fait livrer des amphét’ à l’Assemblée Nationale?

  3. Ah ben oui, mon bon monsieur ! parce que voyez vous, un malade qui traîne sa maladie et qui ne meurt pas assez vite, ça coûte des sous ! Alors qu’avec l'”état nazi”, on pourrait traiter deux ou trois malades, qui rapporteraient bien plus ! Et puis si ils traînent eux aussi, eh ben hop ! une p’tite piquouze à 2 balles ! Comme ça les gens ne souffrent plus ! Comme c’est moderne ! Comme c’est délicat…
    Nous sommes nous aussi des criminels de laisser faire des lois comme celles là, et pour contrer cette folie mortifère et financière, je crois qu’il faudra autre chose qu’un gentil défilé où on se tient bien, sans casser une seule vitrine ni chahuter une seule voiture…

  4. “un geste actif pour mettre fin à sa vie”
    Indispensable dans le business des organes. Car ils ne peuvent être prélevés que sur des personnes vivantes et non déjà décédées.
    L’occident rejette ses précédents principes de civilisation basés sur le christianisme, c’est à dire sur un être humain ayant une âme… Pour passer à une civilisation où l’homme n’est plus qu’une marchandise. D’où la vente d’enfants et d’organes.
    Il est étonnant de constater que ce changement philosophique se fait au moment où le système bancaire cherche à faire disparaître les monnaies. Le puçage humain suivra celui des animaux. C’est la destinée de tout être ayant perdu son âme.
    Mais ce bouleversement de societé est démocratiquement voulu par la majorité. Leur vote ne fait en rien barrage à ce Nouvel Ordre Mondial représenté par des institutions telles que l’Union européenne, la BRI et le FMI.

  5. Les écolos tirent leurs inspirations du Nazisme. En effet…..
    L’extermination des malades mentaux et des handicapés commencent sous Hitler avec , conjointement, les premières chambres à gaz utilisés pour l’Euthanasie avant d’être ensuite utilisés pour les Juifs…. Notons que les écolos Français justement ont fait partie du Gouvernement Français socialiste qui soutenait les islamistes de Daech… Parallèle stupéfiant. Mais continuons…
    Dans l’Allemagne de l’Entre-Deux-Guerres, des scientifiques racistes comme K. Binding et A. Hoche développent des idées qui conduisent à la destruction des « vies sans valeur », des « existences superflues », des « esprits morts», des « enveloppes humaines vides ». Cette conception, appelée « eugénisme » s’inspire de l’idée de Darwin de la « lutte pour la vie » et conduit à envisager l’élimination des « êtres inférieurs » : alcooliques, épileptiques, psychopathes, infirmes, faibles d’esprit, invalides et incurables.
    Par la presse et la radio (Notez aussi ici le parallèle étonnant avec notre époque qui voit les réformes sociétales aboutir au forceps A CAUSE de nos médias qui jouent le même rôle que sous Goebbels), les nazis habituent peu à peu les Allemands à concevoir et à admettre l’euthanasie – d’autant plus justifiée selon eux qu’il s’agit de personnes inaptes au travail mais qui absorbent des ressources, ce qu’un pays en guerre ne peut admettre.
    Voici, par exemple, un petit problème de maths qu’on fait faire aux enfants dans les écoles nazies :
    «Un malade mental coûte quotidiennement environ 4 Reichsmarks, un infirme 5, 50 RM, un criminel 3,5 RM, un apprenti 2 RM.
    1) Faites un graphique avec ces chiffres.
    2) D’après de prudentes estimations, il y aurait en Allemagne 300.000 malades mentaux, épileptiques, etc… qui reçoivent des soins permanents. Calculez combien coûtent annuellement ces 300.000 malades mentaux et épileptiques. Combien de prêts non remboursable aux jeunes ménages à 1.000 RM pourrait-on faire si cet argent pouvait être économisé ? » (Cité par H.J. Gamm, Der braune Kult, Hamburg, Rütten und Loening, 1962)
    La solution est simple pour les nazis : il faut se débarrasser des malades mentaux et des épileptiques !
    Notez toujours le parallèle étonnant fait par nos écologistes et gauchistes qui tentent de faire croire que “nos vieux coûtent cher à la Sécu”…
    Une circulaire du ministre de l’Intérieur du Reich datée du 18 août 1939 oblige les médecins et les sages-femmes à déclarer les enfants souffrant de difformités : ils sont aussitôt tués par des piqûres de morphine ou de scopolamine. Un Comité du Reich pour l’étude scientifique des maladies graves, héréditaires et congénitales est créé pour étudier les modalités d’application de l’« euthanasie».
    Et le 1er octobre 1939, une lettre d’A. Hitler (datée curieusement du 1er septembre 1939) donne l’autorisation aux médecins «d’accorder une mort miséricordieuse aux malades qui auront été jugés incurables selon une appréciation aussi rigoureuse que possible ».
    Notez le parallèle avec ce Gauchiste qu’est B.Kouchner déclarant le 26 juin sur France Inter ceci :
    “«N’employons plus jamais le mot “euthanasie”. D’abord il y a nazi dedans, ce qui n’est pas gentil »
    Et de plaider pour l’expression « mort douce » : «employer des mots qui sont doux. La fin de vie doit être quelque chose qu’on partage avec les siens et qui doit être un témoignage d’amour (de miséricorde dirait Hitler..) plus que de brutalité.» Continuons..
    L’opération d’élimination des pensionnaires des hôpitaux et asiles commence sans tarder en octobre 1939. Elle se dissimule sous l’appellation de code «T4 » (le siège de la centrale étant situé à Berlin au 4, Tiergartenstrasse).
    L’opération comporte d’abord la sélection (comme aujourd’hui) des victimes par une commission de contrôle (jugeant le plus souvent sur dossiers), le transfert vers l’un des six instituts d’euthanasie répartis sur tout le territoire, l’exécution par le monoxyde de carbone (les injections de morphine et de scopolamine s’étant montrées décevantes), l’incinération ; un avis de décès et des condoléances sont adressés aux familles.
    La chambre à gaz du centre d’extermination de Brandenburg est décrite ainsi :
    « La salle de mise à mort, lors de son installation, avait été camouflée en salle d’inhalation. Les murs étaient carrelés. Plus tard, on ajouta au camouflage des douches fixées au plafond, alimentées par des canalisations fictives. Le long du mur, à dix centimètres du sol, courait une canalisation reliée aux bouteilles à gaz. Ce tuyau était percé de nombreux petits orifices par lequel le gaz se répandait dans la salle. Les bouteilles de gaz se trouvaient dans une antichambre, dissimulées par un revêtement.»
    (Eugen Kogon, Hermann Langbein et Adalbert Rückerl, Les Chambres à gaz, secret d’Etat, Paris, Editions de Minuit, 1984)
    Bien que les opérations se déroulent dans la plus grande discrétion, en faisant appel à un langage codé, des rumeurs circulent. Des familles s’inquiètent. Les Églises protestante et catholique s’alarment.
    Le 3 avril 1941, Monseigneur von Galen, évêque de Munster, dénonce en chaire ces assassinats. Il sera imité par les évêques de Fulda et de Limbourg.
    Hélas aujourd’hui, c’est le seul parallèle qu’on ne peut pas faire…
    Si bien qu’A. Hitler ordonne l’arrêt officiel du programme T4 le 24 août 1941. À cette date, le nombre des victimes est de 70 273 réparties comme suit: 9 839 à Grafeneck, 9772 à Brandenburg, 8 601 à Bemburg, 18 269 à Hartheim, 13 720 à Sonnenstein, 10 072 à Hadamar.
    En réalité, l’élimination des malades mentaux et des incurables se poursuit discrètement jusqu’en 1945. Les centres d’euthanasie reçoivent également des convois de détenus des camps de concentration jugés inaptes au travail. Les documents signalent la mise à mort, par exemple, de 5 000 détenus provenant de Mauthausen et de 3 000 autres extraits de Dachau. Pour cette seconde phase de l’opération T4, le nombre des victimes est estimé à plus de 30 000.
    Tous les pensionnaires juifs des établissements thérapeutiques ont été mis à mort de cette façon.
    L’« euthanasie» a permis aux nazis d’assassiner plus de 100 000 victimes sans défense. C’est la première fois:
    – qu’est réalisée la « liquidation biologique » en application du concept d’« hygiène raciale»;
    – que sont expérimentées les chambres à gaz… qui seront bientôt utilisées dans les camps. L’euthanasie nazie constitue le prologue à l’extermination massive dans certains camps de concentration.

  6. Et Versailles avec ses 80% de macronolâtres exultat de joie…

  7. Heureusement que les médecins sont là pour défendre la vie de la conception à la fin!

  8. Je n’ai toujours pas compris pourquoi les gens qui veulent se suicider veulent absolument obliger un tiers à commettre un assassinat, au lieu de se débrouiller tout seuls comme des grands?

  9. Craignez plutôt celui qui a la pouvoir de jeter dans la Géhenne.
    Cet acte barbare est un reniement de la possibilité de guérisons miraculeuses, un assassinat, un faux prétexte, car il existe toujours des remèdes pour adoucir les souffrances.

  10. Au-dessus des lois ( in) humaines, il y a la Loi de Dieu.. tu ne tueras pas, les médecins tueurs sont déguisés en médecins, ils ne le sont pas.

  11. Merci jejomau pour ces données historiques éclairantes.

  12. SVP ayez la bonté de préciser les noms st circonscriptions des 53 complices : nous manquons d’informations . Merci par avance.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services