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France : Société

“Nous vivrons l’humiliation d’une faillite nationale”

Dans son éditorial, Serge Dassault, président du groupe Figaro, tire la sonnette d'alarme :

Dette_publique_France_1979-2014T2"[…] 2200 milliards de dettes, le chiffre est si colossal que pour le commun des mortels il finit par ne plus vouloir dire grand-chose. Tout le monde a oublié qu'en 1980 notre endettement n'était que de 100 milliards! Nos responsables politiques, trop heureux de n'être pas interpellés sur ce sujet par les Français, préfèrent dissimuler le problème sous le tapis. «La dette, nous dit-on, cela dure depuis des années, cela durera bien quelques années encore! Les taux d'intérêt n'ont jamais été aussi bas, alors où est le problème?» 

Ceux qui disent cela se trompent et nous trompent. En vérité, nous sommes assis sur une bombe à retardement, et le compte à rebours touche à sa fin. Les responsables de la Banque centrale européenne, le gouverneur de la Banque de France multiplient les mises en garde dans l'indifférence générale: le temps de l'argent facile est derrière nous. Dans le monde entier, poussés par la hausse des prix du pétrole, l'inflation renaissante et la nouvelle politique américaine, les taux d'intérêt remontent. L'Europe n'y échappera pas. Ce jour-là, la France, qui emprunte chaque année près de 200 milliards (70 pour équilibrer son budget, 130 pour acquitter les échéances de ses anciens emprunts!), sera prise à la gorge. D'après l'Agence France Trésor, si les taux d'intérêt augmentent de 1 % en 2017, la charge de la dette (41 milliards actuellement) augmentera aussitôt de 2 milliards pour atteindre 52,5 milliards en 2022. Au total, sur la période 2017-2022, ce seraient – toujours dans la même hypothèse – 44 milliards supplémentaires qu'il nous faudrait débourser! Adieu, alors, promesses électorales et lendemains qui chantent ! L'État, en cessation de paiement, ne pourra plus assurer les traitements ni les retraites de ses fonctionnaires! La France, contrainte, comme la Grèce, de mendier pour assurer ses fins de mois, devra passer sous les fourches Caudines du FMI. Nous vivrons l'humiliation d'une faillite nationale.

Cette dette, d'où vient-elle? Des déficits accumulés par tous les gouvernements qui, depuis la première année du septennat de Valéry Giscard d'Estaing, ont tous, sans exception, présenté chaque année des budgets déficitaires, faussement équilibrés par l'emprunt. Pour réduire nos déficits budgétaires, il n'y a pas d'autre solution que de réduire nos dépenses. Pas pour faire plaisir à Bruxelles, pas pour respecter on ne sait quelle norme comptable, pas pour se conformer à un quelconque dogme «néolibéral», mais tout simplement parce que, si nous ne le faisons pas, et vite, la montagne de dettes que notre impéritie a constituée s'écroulera sur nous, et qu'il en sera alors fini de notre indépendance et de notre souveraineté.

Réduire nos déficits, publics et sociaux? Faire des économies? Depuis que François Fillon a osé émettre cette idée courageuse, le chœur des «indignés» se déchaîne. C'est le génie français qu'on assassine! Les services publics qu'on étrangle! Le bel héritage de la Résistance qu'on jette aux orties! À les entendre, la France serait menacée de succomber à une cruelle aggravation de l'austérité…

Mais de qui se moque-t-on? À qui fera-t-on croire que dans un pays où la dépense publique atteint 57 % du PIB (contre 44 % en Allemagne et 43 % au Royaume-Uni), l'État est menacé de «paupérisation»? Qui avalera cette sornette que la France, qui compte 5,6 millions d'agents publics, soit 84 fonctionnaires pour 1000 habitants (contre 60 en Allemagne et 45 au Royaume-Uni), serait «sous-administrée» si leur nombre était progressivement réduit de 500.000?

Austérité? Mais où l'a-t-on vue, cette austérité? Les dépenses publiques (1260 milliards en 2017) continuent d'augmenter plus vite que le PIB. Chaque année, l'État dépense 21 milliards pour «compenser» le passage aux 35 heures payées 39, mais aussi 3 milliards pour les emplois aidés, et encore 4 milliards pour la prime d'activité, qui remplace le RSA… Au total, les «niches» fiscales et sociales, dont 60 % sont dépourvues de toute utilité, se traduisent par un manque à gagner (en allégements de charges ou d'impôts) de 100 milliards pour les finances publiques. Sans parler, en matière de santé, des fraudes à la carte Vitale ou de l'AME pour les étrangers (1 milliard). Et l'on ose prétendre qu'il n'y aurait rien à économiser? […]"

Comme l'écrivait saint Jean-Paul II : 

"En intervenant directement et en privant la société de ses responsabilités, l'Etat de l'assistance provoque la déperdition des forces humaines, l'hypertrophie des appareils publics, animés par une logique bureaucratique plus que par la préoccupation d'être au service des usagers, avec une croissance énorme des dépenses."

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25 commentaires

  1. Voilà quelqu’un qui assène des évidences avec en ajout une profonde citation de Jean-Paul 2 qui aurait intérêt à être méditée par les catholiques qui aiment bien enfiler les clichés sur la Doctrine sociale de l’Eglise.
    Mais avant que Marine le Pen ne reprenne ces idées, il faudra attendre, c’est tellement plus simple de dire que tout cela est la faute à la mondialisation.

  2. La question n’est pas de savoir s’il faut réduire la dette et la dépense publique.
    Ce qui va distinguer un parti ou l’autre, ce seront les choix opérés dans les coupes budgétaires, et qui va devoir en supporter les conséquences : Entreprises, classes moyennes, fonctionnaires, associations , non-nationaux ?

  3. Une seule question comment est fabriqué l’argent?

  4. J’ajouterai qu’ une dette detruit plus sûrement un pays qu’une armée etrangère…nous avons l’une et l’autre !

  5. Comme d’hab’, la droite qui peut espérer remporter la présidentielle dans 5 mois va se dégonfler devant les froncements de sourcils des dinosaures habituels : les syndicats, les “zartistes” défendeurs de l’exception française, tous les “penseurs” patentés et autres philosophes de service qui, contrairement au peuple encore français, détiennent les vérités à dire et fustigent la réalité des faits…
    Allez, bonne année à toutes et à tous, et au SB qui nous permet de nous exprimer !

  6. Il n’est pas certain que ce rappel serve à quelque chose puisque tous ceux qui ont tiré le signal d’alarme n’ont pas été entendus.
    Malheureusement la démocratie repose sur un peuple d’abrutis manipulés, désinformés et heureux de l’être !
    Le vrai problème c’est :
    L’emprunt doit-il être considéré comme une solution ? Alors que l’emprunt n’est qu’une manière de vivre au dessus de ses moyens.
    L’État est-il autorisé à faire des emprunts ? Par qui ?
    CHAQUE nouvel emprunt ne devrait-il pas donner lieu à un référendum ?
    Comment expliquer qu’un État qui n’a pas encore remboursé totalement son emprunt précédent puisse encore emprunter ?
    Comment expliquer qu’un État puisse emprunter, mis à part auprès d’un autre État plus riche que lui ?
    Tout ceci n’est qu’un vaste jeu de bonneteau.
    Au lieu d’exploiter la crédulité des badauds, on exploite à grande échelle la crédulité des peuples !

  7. Merci à la loi Giscard-Pompidou de 1973, à l’immigration de masse voulue et souhaitée par le grand patronat, à l’euro. En faite l’endettement de la France à permis d’enrichir les amis de Mr Dassault qui sont bien content de s’en mettre plein les poches. D’ailleurs en 1945, la dette représentait 400% du PIB.

  8. Quand ce désastre programmé va arriver, il y a fort à parier qu’un grand nombre de politicards véreux, banquiers corrompus, hommes d’affaires pourris, journalistes collabos : UMP/PS/UDI/Verts/Medef/Cac 40/merdias… soient pendus aux lanternes.
    Il n’y aura pas assez d’avions au Bourget pour filer comme des lâches en avions d’affaires.
    Ca aura au moins le mérite de nous débarrasser définitivement de tous ces nuisibles.
    Je ne donne pas de noms, tout le monde les connaît.
    Et si ces gens là croient qu’ils seront défendus par les forces de l’ordre, ils rêvent, car durant toute notre histoire, les dites forces ont toujours été du côté du bâton au mépris de leur propre honneur.

  9. C’est trop tard, nous ne nous en sortirons pas sauf à renverser la table, c’est donc la révolution ou l’esclavage car “nos” dettes ne sont pas de 100 % mais de 250 %.

  10. Tout à fait d’accord avec Topaze :
    Pour solutionner un problème, il convient surtout d’en identifier les causes plutôt que de larmoyer sur les effets.
    Les causes essentielles commencent avec la loi de 1973 (merci Giscard) se poursuit avec l’acte unique européen (Merci Mitterrand et Delors) et aboutissent sur le désastre de Maastricht et de l’avènement de l’Euro (Merci Mitterrand, Giscard, Chirac etc..).
    Avec l’élection présidentielle de 1977, se présente à nouveau la chance de parvenir à supprimer enfin ces causes en éliminant d’emblée tous les candidats se plaçant dans l’infernal prolongement des Giscard Mitterrand, Chirac, Sarkozy Hollande, à commencer par le renégat FILLON, jadis contre le Traité de Maastricht et passé sans vergogne dans les camp des euro-mondialistes.
    Donc, dans l’état actuelle des candidatures et sous réserve qu’ils obtiennent leurs signatures malgré le renforcement du verrouillage du système, il n’y a lieu, pour l’heure à ne s’intéresser qu’à, par ordre alphabétique :
    ASSELINEAU,
    DUPONT-AIGNAN
    et Marine LE PEN;

  11. les politiques ont une grande responsabilité dans cette faillite, plus préoccupés de régenter la vie privé que de maintenir l’ordre dans l’espace public craillant par dessus la diabolisation des médias embourgeoisés et déconnectés du réel
    les intérêts particuliers passent avant le BIEN COMMUN

  12. Concernant “cette dette odieuse ” un grand et chaleureux merci ( à prendre au second degré , bien évidemment ) à Mrs
    Pompidou-Giscard (loi Pompidou -Giscard 1973 ) qui a interdit à l’état Français ,à partir de cette date d’emprunter à la Banque de France , mais à devoir s’adresser dorénavant aux banques privées.
    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213182-dette-publique-et-loi-rothschild-le-silence-des-medias.html
    ” Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie ,et je me moque de qui fait les lois”
    Amshel Rothschild
    “La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit ”
    Napoléon
    Info : l’immense majorité des gens pensent que “la banque fédérale des EU ” est banque d’état.
    En réalité il s’agit exclusivement d’une union de banques exclusivement “privées ” dont seul le directeur et le directeur adjoint sont nommés par l’état.
    Comme quoi quand on “falsifie” le sens des mots on peut tout faire tout avaler aux peuples ,y compris les plus fausses et grossières manipulations et mensonges.
    https://www.mataf.net/fr/eco/edu/guide-economie/banquecentraleamericaine

  13. En fait, la France sera contrainte de quitter l’Euro, ce qui entrainera une “dévaluation compétitive” de 30% à 40%, que paieront les automobilistes qui ont besoin de leur voiture pour aller travailler, et les Français qui se chauffent au fioul. Un impôt dissimulé en somme.
    Nous paieront nos emprunts encore plus chers, mais l’immigration continuera, les Français le veulent. Quand on voit ce qu’a traversé la Grande-Bretagne, il y en a qui vont souffrir.
    Les réformes de Fillon avec Jégo et Apparu, c’est fini. Si Fillon a le soutient de Bayrou, je lui conseille d’abandonner l’arrogant Jégo.
    Dassault soutenait Sarkozy qui ne l’a jamais écouté. Malgré cela il a continué à le soutenir.
    Les Français attendent un homme providentiel pour lequel ils ne voteront jamais.
    Bonne année quand même

  14. Allez, on s’y met ?! le vieil aristote distinguait le sage et le politique, l’homme de la théorie, au sens noble du terme, et l’homme prudent, pratique.
    vous connaissez les causes, les hommes et les femmes responsables et vous voulez être maîtres de vos vies ?
    droite, gauche, tout cela ce ne sont que des mots, c’est l’heure de l’action !
    fini le syndrome de la grenouille bouillie à petit feu, vous êtes tous drôoiâte et gôÔôche dans la marmite et ce sont vos vies qui sont au menu !
    toujours selon le vieil aristote, dans ses politiques, la seule manière d’être indépendants c’est l’autarcie, à bon entendeur..salut !
    soyez responsable de vous, Dieu premier servi, et pour la bonne année civile, ayez mâle-courage !
    bien à vous,
    Oh!

  15. Je ne vois pas pourquoi il faudrait honorer “nos” dettes. Car enfin, ces emprunts qui permettent à l’état et à sa ribambelle de parasites de prospérer encore et encore à notre détriment, d’où viennent elles et sont elles honorables ? Je dis non, qu’elles ne sont pas honorables puisqu’elles viennent de nulle part. C’est de la “fiat money” qui par définition n’existe pas, donc, si ces Pieds Nickelés “nous” ont prêté de la “fiat money” qu’ils ont fabriqué eux-mêmes à partir de rien, il n’y a qu’à les rembourser en monnaie de singe qu’on fabriquera nous-mêmes à partir de rien.

  16. Fillon aura-t-il les tripes en accord avec ses discours?
    Et puis rêvons un peu : que vaut une France avec un budget équilibré, mais soumise à l’islam et qui supprime dans le sang plus de 600 innocents chaque jour ?
    Tout se tient : une nation qui connaît ses racines et y puise la sève (chez nous, la sève c’est le Christ, notre doux Sauveur et Roi des nations) impose le respect à ses ennemis et fait avec joie et succès les sacrifices nécessaires. Le temps des chefs est arrivé, celui des hommes d’appareils sans Foi est révolu.

  17. Tout à fait d’accord avec San Juan.
    La monnaie n’est rien, si ce n’est un instrument permettant à un moment donné d’évaluer les biens pour permettre leur échange sans passer par le troc.
    La monnaie, il appartient à chaque état de la créer sous sa responsabilité en fonction de ses objectifs économiques sociaux, militaires financiers démographiques et autres.
    Depuis leur déconnexion d’avec l’or, les monnaies ne sont fondées sur rien.
    La monnaie n’a aucune valeur intrinsèque

  18. @SD-Vintage :
    La France sera contrainte de quitter l’Euro; çà, je l’espère et bien et le plus tôt sera le mieux.
    Mais le coup du “pétrole qui va augmenter si on quitte l’Euro”, çà va bien comme çà!
    Si surviennent des dévaluations, les prix augmenteront, mais du coup, aussi les salaires et les retraites (nos gouvernants n’ont pas trop envie de finir leur tête au bout d’une pique!).
    En revanche, les échéances d’emprunt en cours n’augmenteront pas et en définitive, seuls les banques et les avares risquent de ne pas être gagnants dans l’opération.

  19. Je suis très sensible à ce discours et je reconnais que cet aspect du programme de François Fillon ne me laissait pas indifférent (j’annote dans la marge que j’ai toujours voté par rapport aux points non-négociables avec, en premier, la position sur le mariage qui me tient à cœur comme à ma première manifestation).
    Je suis beaucoup l’évolution des taux d’intérêts et je vois le nœud de la corde se resserrer chaque jour.

  20. Bizarrement, Monsieur Dassault ne parle pas de la cause majeure de la dette qu’est l’immigration. Elle coûte au bas mot, 60 milliards par an. Et nos généreux responsables politiques continuent à en faire rentrer légalement 200 000 par an. En plus de ces chiffres monstrueux, monsieur Fillon et les autres vont continuer à accepter des centaines de milliers de migrants qui saccagent notre pays, violent toutes nos lois, et vont bientôt renforcer nos ennemis islamistes de l’intérieur.
    Sur les 20 millions d’immigrés (jusqu’à la 3ieme génération), il suffit d’en faire remigrer 15 millions pour résoudre pas mal de nos problèmes (déficit, chômage, insécurité, baisse du niveau scolaire,…). Cela, ni Fillon, ni Dassault n’en parle (pourquoi ?). Et qu’on ne me réponde pas que la remigration est impossible, c’est exactement ce que les algeriens ont fait avec les Français en 1962.

  21. LA..MEN..TA..BLE monsieur Dassault.
    On le voit venir.
    Comprenez : l’état est en faillite, il faut rembourser la dette.
    Mais l’état voyons ! c’est monsieur Albert Dupond !
    Et monsieur Albert Dupond, smicard à 1.150 € net par mois, a déjà renoncé depuis bien longtemps à remplir sa cuve à fioul pour se chauffer.
    Pour rembourser la dette Monsieur Albert Dupond devra donc travailler 54h00 par semaine jusqu’à 70 ans à un tarif de préférence largement inférieur au SMIC et, c’est évident, essayer de revendre en prime sa chaudière fioul qui ne lui est désormais plus d’aucune utilité.
    Et que monsieur Albert Dupond ne vienne pas se plaindre !
    Il n’avait qu’à pas emprunter pour remplir sa cuve à fioul ces dernières années !
    ” Le temps de l’argent facile est derrière vous Monsieur Dupond ! ”
    Cette dette est tout simplement IR..REMB..BOUR..SA..BLE ! et ne sera, je vous l’assure, jamais remboursée.
    Avec toutes les conséquences qui en découleront…..
    J’ai oublié de vous dire : Monsieur Dassault ne sait même pas compter !
    Le chiffre de 2.200 milliards est faux.
    Il a juste oublié d’intégrer les dettes des collectivités territoriales…!
    ( Un peu léger pour quelqu’un sorti de Polyclinique…! ), à moins que ….
    Je ne conseille à personne de tenter de calculer le chiffre réel de la dette.
    Il prendrait le risque de se retrouver aux urgences cardiologiques dans l’heure …
    Signé : Quelqu’un qui ne vote pas Mélenchon

  22. @ Godefroid de Couillons | 2 jan 2017 17:40:50
    Je me base sur l’exemple anglais quand en pleine crise la Livre a été sévèrement dévaluée.
    Pour un état qui n’inspire pas confiance, les taux sont hauts.

  23. Monsieur Dassault compare en pourcentage la dette avec le PIB. Pour faire diminuer le pourcentage de la dette, il suffirait d’augmenter le PIB. Produisons Français. Finies les délocalisations, reconstruisons notre outil de production, mettons les chômeurs au travail. C’est une piste. Au fait, l’Etat, il emprunte à qui ? Quel est le pays du monde qui n’est pas endetté ? Réponse : l’Etat, les états empruntent aux banques. Tout à fait d’accord avec San Juan. Il nous faudra voter pour celui qui aura le courage de redonner à la France son indépendance économique et surtout financière.

  24. La bonne question à se poser en lisant cet article est : Où et chez qui est passé cet argent englouti ?
    On tente de nous la jouer : ” responsabilité collective ”
    Il y en a sûrement un peu, mais pas dans les proportions auxquelles on veut nous faire croire.
    @ Godefroid de Couillon : vous avez raison. Tout a démarré avec la loi de 1973 .

  25. Il nous reste l’espérance du centenaire de Fatima.

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