Lionel Jospin explique avoir refusé de prendre la tête d'une mission de réflexion sur le modèle de la commission sur le grand emprunt, comme le lui proposait Nicolas Sarkozy. Il précise avoir rencontré le chef de l'Etat deux fois "à sa demande dans le cadre de consultations républicaines", au printemps 2008 pour parler de la présidence française de l'Union européenne et en septembre dernier lors d'un dîner de préparation du G20 de Pittsburgh.
Nicolas Sarkozy a voulu recruter Lionel Jospin
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7 commentaires
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Ethos
On voit combien les électeurs de l’UMP se sont faits roulés, je n’ai pas d’autre mot, naÏfs qu’ils sont, peu matures et inconscients.
Est-ce parce qu’il avait l’illusion du champ libre devant lui que le président agit de la sorte? Qu’importe me direz-vous, les français ne réagissent pas et malgré les émeutes graves de 2005 ou les aggressions anti-françaises du CPE, alors qu’il était à l’Intérieur, il a été élu.
C’est un cauchemard!
PK
Manque plus qu’un bon gros communiste genre Marchais et l’équipe républicaine sera au complet…
Dire qu’il y en a encore qui croit au système…
Tonio
Il se sent si peu sûr de lui, si inapte à sa fonction, qu’ils demande de l’aide à tous les socialistes ?
jejomau
A quand un “recrutement” par sarko. de Mr le Pen pour une réflexion sur l’immigration ou le déficit de la France ou l’identité nationale ou encore sur l’Education Nationale..? Quand un président continue à se dire de “droite ” et qu’il voit que “ses” français, “son “peuple, vote toujours pour Mr Le Pen alors que Jospin a été lâché depuis longtemps…..
Jean
A ceux qui pensent toujours en termes de “droite” et de “gauche”, termes qui ne veulent rien dire pour l’oligarchie mondiale, il faudrait essayer de sortir de ce conditionnement, même si c’est difficile :
Sarkozy n’est ni de droite, ni de gauche, en ce sens qu’il travaille en fait pour l’oligarchie mondiale, pour les banquiers mondiaux, pour les multinationales; il se fout des français et de la France. Sa seule préoccupation est de satisfaire ses donneurs d’ordre.
Il est à la fois “libéral” pour démanteler l’Etat, pour tout privatiser au profit des seuls banquiers et multinationales, pour détruire tout se qui marche encore dans l’Etat, pour augmenter la dette de l’Etat, car ses donneurs d’ordre lui demandent d’agir ainsi.
Mais il est aussi communiste ou fasciste (selon l’endroit d’où on se place), quand il s’agit d’augmenter les impôts, les lois totalitaires et antichrétiennes, pour museler la presse, pour surveiller les gens… car ses donneurs d’ordre le veulent, tout simplement.
Les termes de droite et de gauche sont obsolètes mais il est vrai que tout est fait dans les grands médias pour maintenir les gens dans cette illusion de la « démocratie » qui n’existe pas.
JLA
Le nabot élyséen ira bientôt les chercher en enfer.
louis
@ jean explique très bien la réalité mais certains s’obstinent encore à parler d'”union des droites” et s’apprêtent à revoter N.Sarkozy aux prochaines élections, après quoi il confiera des ministères à D.Cohn Bendit ou à Besancenot.A moins que les “donneurs d’ordre” ne désignent un Strauss Kahn à la place du si impopulaire Nicolas ?