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L'Eglise : Foi

Miracle eucharistique en Pologne

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

"L’évêque de Legnica, Mgr Zbigniew Kiernikowski, a annoncé par le communiqué ci-dessus, daté du 10 avril, la reconnaissance d’un miracle eucharistique dans l’église Saint-Hyacinthe de la ville.

Le jour de Noël 2013, une hostie était tombée par terre au moment de la communion. Elle fut mise dans de l’eau, comme on le fait de plus en plus, afin qu’elle se dissolve. Mais au lieu de se dissoudre il apparut des taches rouges. Mgr Stefan Cichy, qui était alors l’évêque de Legnica, nomma une commission pour étudier le phénomène. Un fragment de l’hostie fut prélevé et envoyé au laboratoire de médecine légale. Lequel a conclu qu’il s’agissait d’un fragment de muscle strié « très similaire au myocarde avec des altérations qui apparaissent souvent pendant l’agonie ». L’analyse ADN a conclu qu’il s’agit de myocarde humain.

En janvier dernier, le nouvel évêque, Mgr Kiernikowski, a envoyé ces conclusions à la congrégation pour la doctrine de la foi. Et, conformément aux recommandations reçues de Rome, il a demandé au curé de la paroisse que soit aménagé un endroit approprié pour l’adoration de la « Relique ».

Il conclut : « J’espère que cela servira à approfondir le culte de l’Eucharistie et aura un effet en profondeur sur la vie des gens qui se trouveront en face de la Relique. Nous voyons le Signe mystérieux comme un acte extraordinaire d’amour et de bonté de Dieu, qui vient vers hommes dans une suprême humiliation. »"

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11 commentaires

  1. Le S.B. avait relaté en 2013 un fait très similaire en Amérique latine, avec les mêmes constatations biologiques.
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/06/miracle-eucharistique-%C3%A0-buenos-aires.html

  2. Le divin coeur de Notre Seigneur.
    Adoremus.

  3. Cette technique de “dissolution” a beau être admise, n’est pas entièrement satisfaisante. Peut-on faire volontairement “disparaître” le Corps du Christ en dissociant les molécules d’amidon, de gluten, d’oses, etc. – sous l’apparence desquelles Il se manifeste – et en les mettant en suspension dans l’eau.
    Jadis l’enfant de chœur avec son plateau, et la communion dans la bouche, évitaient que les hosties ne tombent à terre…

  4. Et voila pourquoi la table de communion doit revenir et a genoux et respect ,voila aussi pourquoi les autels doivent retournez a leur place.

  5. I y a un précédent publié par l’abbaye St Joseph de Clairval, un miracle datant du 12 octobre 2008 dans une ville de Pologne : Sokolka. L’abbaye relate en 1er le miracle de Buenos Aires et celui de Sokolka ensuite. Je les joins ci-dessous :
    “Lettre mensuelle de l’Abbaye St Joseph de Clairval
    28 octobre 2015
    Fête des saints apôtres Simon et Thaddée
    Ce numéro relate des miracles eucharistiques, celui de Lanciano en l’an 750, celui de Buenos Aires en 1996, et celui de Sokołko (Pologne).
    Concernant le miracle de Buenos Aires, ci-dessous extrait de la lettre de l’Abbaye :
    « A partir d’octobre 1999, des analyses sont faites sur des échantillons de l’hostie. Elles aboutissent à la déclaration faite en 2005 par le docteur Frédéric Zugibe, expert en cardiologie et pathologiste médico-légal : “la matière analysée est un fragment du muscle du cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. Le ventricule gauche du cœur agit comme une pompe qui envoie le sang à travers tout le corps. Le muscle est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Cela indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant ; ils ont besoin d’un organisme vivant pour se maintenir. Donc, leur présence indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. De plus, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine.” »
    A la suite des analyses effectuées sur le miracle de Buenos Aires, des comparaisons ont été effectuées avec les analyses des reliques de Lanciano. Extrait de la lettre :
    « D’autres experts ont procédé à la comparaison des rapports de laboratoires établis à la suite du miracle de Buenos Aires avec ceux élaborés pour le miracle de Lanciano. Ces scientifiques, qui ne connaissaient pas la provenance des échantillons, conclurent que les deux rapports des laboratoires concernaient des échantillons de matière provenant, semble-t-il de la même personne. »
    Ci-dessous, l’intégralité du miracle de Sokołka :
    « En confirmation de la foi de l’Église, le Seigneur a voulu donner au monde, en 2008, une nouvelle preuve de son amour par un autre miracle eucharistique qui présente des caractéristiques tout à fait semblables à celles du miracle de Buenos Aires. Le 12 octobre de cette année, le Père Jacek Ingielewicz célèbre la messe à l’église Saint Antoine de Padoue, à Sokołka (Pologne) en présence de 200 personnes. Pendant la distribution de la Communion, une hostie tombe à terre. Le Père Jacek la ramasse et la met dans un petit vase liturgique en argent qu’il remplit d’eau pour que l’hostie se dissolve, puis il place le tout dans un coffre-fort à la sacristie. En effet, après qu’une hostie s’est complètement dissoute, le corps du Christ n’est plus présent.
    Informé par le Père Jacek, le Père Stanislaw Gniedziejko, curé de la paroisse, laisse le vase dans le coffre-fort pendant deux semaines. Il constate alors, que non seulement l’hostie ne s’est pas dissoute dans l’eau, mais qu’une forme évoquant une tache de sang est apparue. “Bouleversé, je ne savais que penser de cela, affirmera le Père Stanislaw, mes mains tremblaient quand je refermai le coffre. Je pouvais à peine parler.” Il décide d’en référer au métropolitain de Byalistok, la ville voisine, Mgr Edward Ozorowski. Quand celui-ci vint à Sokołka, on lui montre l’hostie qu’on a déposée sur un corporal. Il y voit, outre une tache de sang, quelque chose qui ressemble à une substance organique. Cela ressemble, fait remarque le Père Jacek, à la nature des tissus que “beaucoup de nous ont analysés dans nos cours de biologie.”
    Le 5 janvier 2009, l’évêque demande à deux professeurs de médecine à l’Université de Bialystok, Maria Elizabeth Sobaniec-Łotowska et Stanislaw Sulkowski, d’effectuer une analyse d’une parcelle de l’hostie. Tous deux ont travaillé dans le domaine de l’histopathologie pendant plus de 30 ans. Le Père Andrzej Kakareko, chancelier de la curie métropolitaine de Bialystok, remet à chacun des experts un échantillon de l’hostie. L’étude est menée à l’Institut de pathologie de l’Université. Lorsque les échantillons ont été prélevés, la partie demeurée intacte de l’hostie restait intimement liée au tissu à analyser, sans avoir rien perdu de sa blancheur. Les deux spécialistes, après avoir travaillé séparément, arrivèrent à la même conclusion : ce qu’on leur a remis provient du tissu d’un muscle cardiaque humain, encore en vie, mais à l’agonie. Le professeur Sulkowski déclare avoir observé la présence “de nombreux indicateurs typiques bio-morphologiques des tissus du muscle cardiaque”, ainsi que des dommages visibles sous la forme de petites ruptures des fibres du tissu. Il ajoute : “Ces dommages ne peuvent être observés que dans des fibres vivantes et ils sont des signes de spasmes rapides du muscle cardiaque dans la période qui précède la mort.”
    Le professeur Sobianiec-Łotowska confirme : “Il s’agit du tissu du muscle cardiaque en vie.” Après réflexion, elle manifeste sa stupéfaction devant le fait d’un tissu resté vivant après avoir été séparé de l’organisme dont il était partie intégrante ; c’est un “phénomène incroyable !” Elle explique : “Pendant longtemps, l’hostie est restée immergée dans l’eau, puis, déposée sur le corporal ; donc le tissu devrait avoir subi le processus d’asphyxie, mais cela n’a pas été observé lors de nos tests… L’état actuel de nos connaissances en biologie ne nous permet pas d’expliquer scientifiquement ce phénomène.” Très intriguée également par la liaison du tissu cardiaque avec l’hostie consacrée, elle déclare que “ce phénomène extraordinaire de l’inter-absorption du tissu du muscle cardiaque et de l’hostie, observé au microscope et également par transmission électronique, prouve qu’aucune intervention humaine n’a pu avoir lieu”. En effet, la structure des fibres du myocarde et la structure du pain sont en occurrence si étroitement liées qu’on ne peut admettre une intervention humaine pour réaliser cela (déclaration du professeur M. Sobianiec-Łotowska dans le rapport “Le miracle de l’Eucharistie de Sokołka”, Lux Veritatis 2010). D’autre part, le sang de l’hostie a les mêmes caractéristiques que celui du Suaire de Turin et du miracle de Lanciano (groupe AB). »
    Depuis 2009, les pèlerins affluent à Sokołka, de toute la Pologne, mais aussi de Biélorussie et de Lituanie. L’hostie miraculeuse est exposée à la dévotion des fidèles dans une chapelle de l’église Saint-Antoine. Le miracle a été officiellement reconnu par Mgr Ozorowski.”
    Bonne lecture et que Dieu soit glorifié et la foi des fidèles confortée. Amen

  6. @C.B.
    Bergoglio était évêque à l ‘époque. Espérons que ce message, cette grâce infinie que le ciel lui a accordée, ne lui aura pas été dispensée en vain.

  7. @Malleus
    j’allais le dire !!!!!!!

  8. Dimanche dernier, le laïc qui m’a donné la communion a fait tomber l’hostie au sol. Il m’a demandé s’il pouvait me la donner et j’ai fait le signe que oui. J’ai vraiment été choquée. Je crois que maintenant, j’irai à la messe dans les petites communautés. Plus le temps passe et plus ça se dégrade, nous avons maintenant droit à un baptême à chaque messe ! Ras le bol !

  9. Je ne peux m’empêcher de réagir à 2 de ces commentaires qui se révoltent et à espérer plus d’unité et de charité dans notre Église. Si justement il y avait eu une table de communion, point de miracle ! Alors réjouissons nous de cette manifestation d’amour de notre Seigneur plutôt que de râler encore sur les méthodes qui étaient tellement mieux avant !
    Alléluia ! Un baptême par dimanche ! Comme vous avez de la chance de voir la famille de Dieu grandir ainsi chaque semaine. Accueillez les dans la joie plutôt que de râler sur votre messe qui va durer plus longtemps !
    Amen

  10. Oui bien sûr ! un baptême chaque dimanche et on ne revoit jamais plus ni les baptisés, ni les parents, c’est comme la communion privée …. je n’en rajouterai pas, mais je ne vais pas aux Messes conciliaires qui sont des représentations dignes des protestants ; même si j’ai dû parfois aller dans ces églises qui ressemblent à des temples, mais j’ai toujours reçu la Ste Eucharistie directement sur la langue et faisant une génuflexion avant ! c’est quand même NOTRE SEIGNEUR, que l’on reçoit, et pas un morceau de pain.

  11. Vous oubliez Perrine que les voies de Dieu ne sons pas les nôtres et qu’il se peut très bien pour que nous retournions a la table de communions il nous face savoir qu’il soufre de ce que nous faisons de sa présence dans l’hostie,il est bien dit contraction et souffrance alors que le cœur battait.Durant des millénaires l’Eglise le savait l’hostie sanglante n’est pas d’aujourd’hui et c’était pour cela que la communion était a la table avec le servant de messe tenant le plateau sous la main du prêtre et lui seul donnait le sacrement.

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