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Culture de mort : Avortement

Menace sur la clause de conscience des médecins : le Parlement veut contrôler l’accès effectif à l’avortement

Menace sur la clause de conscience des médecins : le Parlement veut contrôler l’accès effectif à l’avortement

D’Alliance Vita :

Un amendement au projet de loi Santé visant à contrôler l’accès effectif à l’interruption volontaire de grossesse a été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, sans débat ni proposition de prévention.

Cet amendement dispose que le gouvernement doit remettre au Parlement, dans un délai de 6 mois après la promulgation de la loi, un rapport sur «  l’accès effectif à l’interruption volontaire de grossesse et sur les difficultés d’accès rencontrées dans les territoires, y compris celles liées aux refus de pratiquer une interruption volontaire de grossesse par certains praticiens. »

En ligne de mire, la clause de conscience des professionnels de santé que certains entendent faire supprimer. En effet, des amendements avaient été déposés contre l’avis du gouvernement en commission des affaires sociales pour supprimer cette clause spécifique concernant l’acte d’avortement. Si ces amendements ont été rejetés, cette demande de rapport est une manière de revenir par la fenêtre et de mettre le corps médical sous pression de manière particulièrement injuste. En effet, comme l’a rappelé Alliance VITA, la France détient un fort taux d’IVG avec plus de 210 000 avortements par an. C’est l’absence d’une réelle politique de prévention de l’avortement qui devrait alarmer les responsables politiques, plutôt que la stigmatisation des professionnels de santé qui agissent selon leur conscience.

Alliance VITA demande qu’un rapport soit effectué sur les situations qui conduisent les femmes actuellement à l’avortement et sur les conséquences de cette pratique pour favoriser les politiques de prévention adaptées. Un sondage IFOP publié en 2016 a révélé que 89% des Français jugent que l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes et 72% estiment que la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l’interruption volontaire de grossesse.

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5 commentaires

  1. J’ai quand même du mal à croire qu’on peut “forcer” un médecin à faire un avortement quand il ne le veut pas.

  2. Il faut vérifier que rien n’entrave la bonne marche du génocide en cours et que le rythme d’élimination du peuple français se maintiens.
    Lutter sans relâche contre tout ce qui peut gêner ou enrayer le processus.

  3. Être contre la peine de mort, toutes les peines de mort, et encore plus résolument quand on sait que le condamné est innocent !

    Que notre monde est rétrograde ! Le serment d’Hippocrate, probablement du IVème siècle avant J.-C. énonçait déjà : « … je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté. »

    On peut se demander quel serment mortifère et diabolique les futurs médecins devront prononcer dans quelques années …. Pas celui d’Hippocrate, c’est sûr !

  4. Ce n’est pas une question de serment. En 2019 (eh depuis de nombreuses années grâce aux échographies entre autres) on sait que le foetus est un petit Homme qui ressent des émotions. Les médecins le savent encore mieux que nous. Tuer un petit Homme dans le ventre de sa mère s’appelle en réalité in infanticide prénatal dont les coupables s’ils ne se repentent pas devront rendre des comptes à la justice Divine.
    Ce sera alors terrible pour eux car l’enfer est éternel. Il convient de prier pour leur conversion et à ce sujet vous pouvez vous associez aux”40 days for life” qui consistent à prier pendant 40 jours devant les avortoirs aux EU pendant le Carême (dernier jour le dimanche des Rameaux). et /ou faire dire des messes pour sauvegarder les bébés et convertir les coupables.

  5. mais il peut y avoir toutes sortes de pressions indirectes

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