Selon le Figaro, Dominique Strauss-Kahn se serait vu proposer par Nicolas Sarkozy le poste de… premier ministre en remplacement de François Fillon :
"C'est un proche de Dominique Strauss-Kahn qui raconte l'histoire. Il y a deux mois et demi environ, «le président de la République a demandé à DSK s'il voulait être son premier ministre». Le directeur, socialiste, du Fonds monétaire international a décliné l'offre. «Si cela était arrivé, ça nous aurait achevés totalement», ajoute ce responsable du PS."
Après Bernard Kouchner, Jack Lang et Michel Rocard, on se demande si Yves Cochet ne va pas se voir proposer le poste de ministre de la famille (voir ici)…
Philippe Carhon
Vues des publications: 42
le Roi Sebastien
Premier Ministre de la France, c’est pas suffisant pour DSK
Ce qu’il veut, c’est être le Roi du Monde
Jean
Puisque,apparemment, il voudrait placer Fillon en orbite pour la présidence de la Commission européenne… (Je pense qu’il le craint pour 2012 ; il lui restera aussi à placer Villepin en Alaska).
http://www.forumdesforums.com/modules/news/article.php?storyid=24623
jeffmoveone
Cela devient de la cohabitation décidée!Pourquoi alors avoir voté?
Benoît
Et pourquoi pas Besancenot ou Laguiller comme premier sinistre (euh ministre…).
Solange
Dommage que Strauss n’ait pas accepté. Un jour ou l’autre, ce flirt avec la gauche se retournera contre Sarkozy et il faut que cela arrive avant 2012, année où, comme par enchantement, Sarkozy va redevenir de “droite”. Sarkozy aime la gauche, les idées de la gauche, les personnages de la gauche. Y aura-t-il enfin un homme d’Etat de droite en FRance ?
Malleus
Un témoin DIRECT de la scène m’a dit qu’il avait vu les deux hommes déjeuner ensemble dans Paris en 2005. Ces deux là sont unis par des liens et des projets qui dépassent les catégories du microcosme politiocard hexagonal.
Nabulione
La France va finir au caniveau…
gc
Désormais, la fusion entre l’UMP et le PS est totale. Il ne faudra plus dire UMP, ni PS, mais UMPS ! En URSS et en Chine…, il n’y avait plus qu’un seul parti, il restait la France. C’est chose faite.