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Pays : Espagne

Madrid : manifestation-monstre contre les négociations avec l’ETA

La capacité de mobilisation du camp conservateur espagnol force le respect : ce sont hier jusqu’à un million de personnes (photos) qui se sont rassemblées au centre de la capitale espagnole pour s’opposer aux négociations que va ouvrir le gouvernement de Zapatero avec le groupe terroriste marxiste-léniniste ETA.

Les manifestants, parmi lesquels les dirigeants de l’opposition et des familles de victimes, ont réclamé le désarmement des terroristes et la "vérité" sur les attentats islamistes du 11 mars 2004, car ils soupçonnent que l’ETA en a été prématurément blanchie.

Photo

On note avec amusement le dégradé des estimations de participation :

Les organisateurs parlent de plus d’un million de manifestants;

El Pais (quotidien de gauche espagnol) annonçait le chiffre de 200.000… 15 heures avant le début de la manifestation !

– Reuters ne prend pas trop de risques : il parle de "centaines de milliers";

– Une fois n’est pas coutume, la palme revient à l’agence AP, reprise par le fil news de TF1 : les manifestants étaient "des dizaines de milliers"… 20.000, peut-être ?

Henri Védas

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10 commentaires

  1. La droite et l Eglise ont aussi beaucoup plus l habitude ds manifestations qu ici grace notament aux manifestations cntre l ETA ces derniers années, tout spécialement lors de l affaire Miguel Angel Blanco
    Un très bon instrument aussi est a leur service sur internet: hazteoir
    Disons globalement que les conservateurs espagnols sont beaucoup moins intimidés, mais également plus réprésentatif de l ensemble de la société qu’ici, a cela s ajoute leur unité, les glorieuses années Aznar d une droite sans complexes et juste et des médias de droite

  2. C etait Max le fou !

  3. Cette manifestation a remporté un immense succés,il convient de préciser les deux slogans qui ont accompagné celle-ci :Nous voulons savoir la vérité sur les attentats du 11 mars et on ne négocie pas avec les terroristes. Ces fameux attentats restent toujours obscurs, la thèse officielle est un fatras de mensonges,de manipulations, de fausses preuves ,de faux témoignages.Il semblerait que la participation d’ETA est plausible, la trame islamiste est construite de toute pièce par la police et certains services secrets.

  4. Rabassa, avez vous des éléments? si oui, partagez les. Si non, ce message est du vent.

  5. Ma seule théorie concernant l’Espagne se résume à mes passages annuels , lors d’un week-end de novembre , avec un verre de “calimuccho” dans chaque main ( 1/3 coca , 1/3 brique de vin rouge , 1/3 glaçons ) en train de crier “Contra ETA , mitrailleta “………du bon slogan métapolitique ! ;-)))

  6. La version officielle du 11 mars, un grand mensonge à trois niveaux.
    Tout ce qu’on nous a raconté sur les attentats de Madrid du 11 mars 2004 est, de prime abord, invraisemblable. Au début, dans le but de gagner les élections, on insistait sur al Qaida. Celle-ci écartée , après on imputa l’attentat à des groupes terroristes islamistes internationaux ( G.I.A, Groupe combattant islamique marocain etc..) . Enfin on fait allusion maintenant à « des cellules locales d’intégristes islamistes sur internet ». En fait il n’y a personne pour croire que trois groupes différents « les pelanas de Lavapiés » dont les relations entre eux se révèlent être plus qu’incertaines , aient été capables de commettre un des attentats les plus sophistiqués de l’histoire.
    Ils ne savaient pas fabriquer des bombes , et encore moins au moyen de téléphones mobiles , ils étaient incapables de prévoir les tâches, de planifier, de faire les essais, de surveiller et de contrôler les horaires. Il est encore moins croyable qu’ils passent dans l’histoire du terrorisme pour être les premiers attentats suicide qui ne tentent pas de provoquer le plus grand nombre de victimes d’infidèles.
    En admettant que l’investigation judiciaire puisse être considérée comme ayant été faite sérieusement, nous nous trouvons avec un second niveau d’étonnement. 34 des 40 suspects étaient indicateurs et/ou contrôlés par la Police, Garde Civile et Intelligence Service. La question qui se pose est évidente : Pourquoi l’attentat n’a t’-il pas été arrêté à temps ?
    Il y a seulement deux options :
    – ou bien une négligence monumentale
    – ou une conspiration monstrueuse.
    Sans encore penser à l’horrible seconde option et en supposant que seulement nous nous trouvons devant la première, qu’a t’-on fait pour délimiter les responsabilités des divers fonctionnaires impliqués ? Si en principe, la culpabilité retombait sur l’ancien gouvernement, pourquoi le gouvernement actuel non seulement se refuse à continuer à faire des recherches, mais il a récompensé avec des augmentations une grande partie des cadres impliqués ?
    Enfin, le summum de la gravité , de nombreuses recherches journalistiques affirment que les trois preuves capitales ont été FALSIFIEES par des éléments des corps de Sécurité de l’Etat .
    Un sac à dos avec bombe qui apparaît dans un commissariat après sans doute s’être promené dans tout Madrid sans que les détecteurs aient rien détecté dans la gare du Puits ! A l’intérieur un dispositif qui ne pouvait exploser, basé sur un téléphone mobile avec une carte qui n’était pas nécessaire mais qui conduisait opportunément à une tête de turc islamique peu d’heures avant les élections. Une fourgonnette Kangoo qui est visitée par des policiers et des chiens , déclarant qu’elle était VIDE et où apparaissent 61 objets , parmi lesquels des restes d’explosifs quand elle est examinée dans le commissariat de Canillas.
    Une Skoda Fabia qui apparaît plusieurs mois après, à 20 mètres de la Kangoo, malgré que les policiers qui ont inspecté la zone, assurent que le 11 mars elle ne se trouvait pas là-bas.
    Si ce qu’affirment les médias est faux, pourquoi ne sont pas en prison les journalistes qui ont propagé de semblables calomnies ? Et au moins en admettant la possibilité que cela s’avère certain, pourquoi n’avoir pas appelé les témoins pour comparer les deux versions.
    Nous devons avoir confiance dans les rouages de l’Etat de Droit, entre autres choses parce qu’il ne reste pas autre chose à faire mais peut-on affirmer que l’instruction sommaire du 11 mars a été menée à bien, de façon honnête, indépendante et professionnelle ou plutôt pouvons-nous conclure que le juge a été systématiquement trompé, induit en erreur , téléguidé par des forces obscures intéressées à ce que personne ne sache jamais qui furent les auteurs intellectuels du plus grand crime de l’histoire récente de l’Espagne.
    Ce qui est en jeu ici ce n’est pas la plus ou moins grande responsabilité de l’un ou l’autre des parti politiques mais ce sont les assises même de notre démocratie.
    De façon totalement indépendante beaucoup de citoyens exigent que le sujet soit traité à fond, advienne que pourra, aussi douloureuses que puissent être les conclusions.
    La vérité nous rendra libres, le mensonge fera de nous des asservis.(vassaux).

  7. Une impudique chaîne de mensonges
    L’instruction des attentats de Madrid le 11 mars 2004 a montré que l’officier supérieur des TEDAX (le Corps de Désactivation d’Explosifs espagnol) a manipulé les analyses que la Police Scientifique avait effectuées aux explosifs juste après les attentats. La manipulation visait à cacher que l’explosif de la fourgonnette trouvée à Alcalá et celui du sac à dos de Vallecas étaient différents.
    Tandis que le sac de Vallecas contenait que du plastic (Goma-2), le fragment d’explosif trouvé dans la fourgonnette d’Alcalá contenait aussi de la METHENAMINE, un composant utilisé dans quelques explosifs militaires, comme le T-4 (cyclonite). Cette tromperie était révélée par la Guardia Civil un an après la massacre, même si jusqu’à maintenant cela n’avait pas été connu de l’opinion publique.
    Le recel
    Il y a plusieurs genres de dynamite, comme le Titadyne ou la Goma-2. Il y en aussi plusieurs sous-genres différents de Goma-2, dont la Goma-2 ECO, assez connue. Tous ces types et sous-types de dynamite ont une composition chimique différente. Particulièrement, la Goma-2 ECO est fabriquée avec cinq composants : nitrocellulose, nitroglycol, nitrate d’ammonium, dibutyl phtalate et carbonate de calcium.
    À peine les trains explosés, les démarches policières commençaient pour élucider qu’est-ce que s’était passé. Parmi elles, le service de Police Scientifique, qui était en charge des analyses chimiques des explosifs trouvés. Après la miraculeuse découverte d’un sac à Vallecas, la Police Scientifique avait la tâche d’analyser et comparer trois échantillons différents :
    1. Les restes d’explosif trouvés dans la fourgonnette d’Alcalá.
    2. L’explosif trouvé dans le sac de Vallecas.
    3. L’échantillon de Goma-2 ECO envoyé par les TEDAX comme « échantillon de référence » (patron).
    Même avant la finalisation de ces analyses, le chef des TEDAX, M. Sánchez Manzano, a envoyé un rapport préliminaire daté le 12 mars, où il affirmait textuellement : « Dans les tests analytiques, pas encore finis, les résultats obtenus jusqu’à présent confirment qu’il s’agit [l’explosif de Vallecas] de la même substance que celle trouvée dans la fourgonnette Renault mentionnée ci-dessus, qui correspond elle-même avec l’échantillon de référence de dynamite Goma-2 ECO ». C’est-à-dire, les tests ne sont pas encore finis, mais M. Sánchez Manzano ose assurer, le 12 mars, que les trois échantillons sont identiques, et qu’il s’agit de Goma-2 ECO.
    Le chef des TEDAX devait être assez pressé, car il pouvait juste attendre quelques heures pour connaître le rapport que la Police Scientifique allait publier ce jour là, dont les conclusions ne confirmaient précisément pas ce que M. Sánchez Manzano avait prédit.
    L’analyse effectuée indiquait, en effet, que le sac de Vallecas contenait uniquement de la Goma-2 ECO. Par contre, l’explosif de la fourgonnette d’Alcalá et l’échantillon « de référence » contenaient aussi de la METHENAMINE en plus des composants habituels de la Goma-2 ECO.
    L’importance de cette découverte était énorme :
    1. D’abord, la METHENAMINE n’est pas un composant de la Goma-2 ECO, mais elle l’est de quelques explosifs militaires (comme la cyclonite, également connue sous le nom d’hexogène ou RDX). Cela pourrait indiquer l’utilisation d’un mélange d’explosifs dans les attentats du 11-M.
    2. Puis, les analyses montraient que l’explosif du sac de Vallecas était différent de celui de la fourgonnette d’Alcalá ; cela confirme définitivement les soupçons sur l’origine du sac « miraculeux », et sur toute la chaîne d’investigations qui ont conduit à sa découverte.
    3. Finalement, un fait inexplicable : la présence de METHENAMINE dans le fragment remis par les TEDAX comme « échantillon de référence » ouvre la possibilité de que les substances remises pour les analyses étaient en fait deux fragments du même explosif, trouvé dans la fourgonnette, et pas un vraie échantillon « patron ».
    Dans son rapport numéro 173-Q2-04 du 12 mars 2004, la Police Scientifique exprime d’une façon claire et explicite la différence entre les trois échantillons, en indiquant que ces échantillons sont coïncidents « hormis concernant la METHENAMINE », qui n’est pas retrouvée dans l’analyse du sac de Vallecas. Ces résultats des analyses ont été soigneusement cachés à l’opinion publique, qui devait faire face, deux jours plus tard, à un rendez-vous électoral crucial.
    La manipulation
    Mais il fallait informer forcement au juge, et dès ce moment-là la chaîne de manipulations commence. Dans le rapport envoyé au juge par M. Sánchez Manzano le 16 mars, le chef des TEDAX affirmait que l’explosif de la fourgonnette, celui de Vallecas et l’échantillon de Goma-2 ECO sont identiques, et il énumère les composants pour le juge : nitrocellulose, nitroglycol, nitrate d’ammonium, dibutyl phtalate, METHENAMINE et carbonate de calcium. Bref, M. Sánchez Manzano décide d’ajouter lui-même la METHENAMINE manquante de l’explosif de Vallecas.
    Sur ce rapport, M. Sánchez Manzano exécute une double manipulation : d’un côté, il recèle au juge que la Police Scientifique avait trouvé des différences entre les échantillons, et au même temps il le fait croire (au juge Del Olmo) que la METHENAMINE est un composant de la Goma-2 ECO, en esquivant aussi des questions incommodantes sur possibles explosifs militaires.
    Grâce à cette double manipulation, la « vérité officielle » était bien bâtie devant l’opinion publique et le juge. Désormais, tout le monde accepterait que l’explosif utilisé pour les attentats « était » Goma-2 ECO. En fait, les rapports ultérieurs de M. Sánchez Manzano au juge, ne font que « citer » le nom du sous-type de dynamite, sans approfondir sur dangereuses explications concernant la composition chimique des échantillons trouvés dans le sac et dans la fourgonnette.
    La fuite en avant
    Cette manipulation devait être finalement démasquée, mais pour cela il a fallu attendre un an. La première alarme s’est mise à sonner en janvier 2005, quand le juge a reçu un rapport de la Guardia Civil, concernant un ensemble de cartouches de dynamite ramassés à Asturias. L’analyse des cartouches de Goma-2 ECO démontrait la présence des cinq composants habituels dans cet explosif. Bien sûr, il n’y avait aucune trace de METHENAMINE.
    Pour finir le coup, le juge Del Olmo a reçu, le 21 mars 2005, un rapport élaboré par la Comandancia de Toledo de la Guardia Civil, en charge des investigations sur un attentat failli sur les voies de l’AVE (le TGV espagnol). Dans ce rapport, la Guardia Civil demandait, d’une façon assez sibylline, des informations policières sur la détection de METHENAMINE dans les explosifs de Leganés : une manœuvre astucieuse pour que le juge repérait le point fondamental de la tromperie.
    Après vérifier la documentation qu’il avait, le juge Del Olmo a détecté les contradictions, et il a demandé M. Sánchez Manzano l’éclaircissement de ce sujet le 5/4/2005.
    Dans son rapport de réponse du 20 avril 2005, M. Sánchez Manzano se voit attrapé dans le piège bâti autour de ce sujet, et choisit la fuite en avant. Il reconnaît que dans le sac de Vallecas il n’y avait pas de METHENAMINE, mais il explique cette erreur comme « un erreur de transcription ». Une erreur très providentielle, bien sûr. Cette « erreur de transcription » avait favorisé que le juge considérait, pendant un an, que tous les échantillons correspondaient au même genre d’explosif. Avec certaines situations, et sur certains sujets, on ne peut pas permettre telles « erreurs de transcription ».
    Puis, M. Sánchez Manzano admet que la METHENAMINE n’est pas un composant de la Goma-2 ECO (alors, pourquoi avec son premier rapport, a-t-il permis que le juge croyait que la Goma-2 ECO contient de la METHENAMINE ?). Cela déjà admis, le chef des TEDAX se trouve forcé à expliquer la découverte de METHENAMINE sur l’échantillon « de référence » destiné aux analyses. Et quelle est l’explication donnée par M. Sánchez Manzano ? Voilà, « il s’agit évidemment d’une substance polluante extérieure, différent de la composition originaire ». Assez particulier pour une explication ! M. Sánchez Manzano nous dit que la Police Scientifique permet que les échantillons à analyser soient pollués. En plus, il ne s’agit pas d’une pollution quelconque : « par hasard », les échantillons de dynamite sont pollués par des composants d’explosifs militaires. Si c’était vrai, la conclusion incontournable devrait être l’invalidation des analyses, car… qui peut nous garantir que le reste des substances détectées pour les analyses ne sont pas des « substances polluants » ?
    Mais il y a encore plus : face à la question du juge concernant l’importance de la METHENAMINE pour l’identification du type d’explosif, M. Sánchez Manzano reconnaît qu’il s’agit d’un composant utilisé pour la fabrication de cyclonite (un explosif de type militaire), mais il ajoute sur-le-champ que « [la METHENAMINE] n’est pas une substance explosive elle-même » et pourtant « on peut déduire qu’elle ne peut être jamais importante pour l’identification de substances explosives, et pour cette raison elle n’a jamais été utilisée, mentionnée ou tenue en compte dans les rapports rédigés par cette Unité » . C’est-à-dire :
    1. Premièrement, M. Sánchez Manzano affirme, avec pas mal de légèreté, qu’il n’a « jamais utilisé, mentionné ou tenu en compte » la METHENAMINE dans ses rapports, parce-que cela n’est pas important. Ça alors ! Si on se souvienne des « erreurs de transcription » utilisées pour ajouter de la METHENAMINE à un des échantillons, et pour que le juge croie que tous les échantillons d’explosif étaient identiques, cette affirmation de M. Sánchez Manzano se révèle assez effrontée.
    2. Deuxièmement, le chef des TEDAX dit qu’un des composants de certains explosifs militaires « n’est pas important » pour savoir quel type d’explosif utilisé dans les trains. Oui, c’est logique, cela ! On peut imaginer que ce qu’il essaie de dire est qu’il s’en fichait des composants retrouvés après les analyses, parce-que, en tout cas, il devait dire qu’il s’agissait de Goma-2 ECO.
    Conclusions
    Cette série de rapports dresse deux questions fondamentales. Puisqu’il y avait de la METHENAMINE dans la fourgonnette d’Alcalá, de quel type d’explosif s’agissait-il, étant donné qu’il ne pouvait pas être de la GOMA-2 ECO ? Encore plus important : si dans la Goma-2 ECO il n’y a pas de la METHENAMINE, comment expliquer la présence de cette substance dans le fragment remis par los TEDAX comme « échantillon de référence » ? Est-ce que par hasard ce fragment-là n’était pas extrait d’un cartouche de Goma-2 ECO ? Y a-t-il des autres marques de dynamite, dont un des composants soit la METHENAMINE ?
    Concernant les explosifs des trains et ceux trouvés dans autres scénarios mis en relation avec le massacre, essayions de résumer l’état présent des investigations. Dans les trains et dans la maison de Morata de Tajuña, on n’a pu trouver que des composants génériques de la dynamite, donc nous ne pouvons pas affirmer catégoriquement le genre de dynamite utilisé pour les attentats : c’est-à-dire, il n’y a pas de données analytiques pour déterminer si ce qui a explosé dans les trains était de la Goma-2, du Titadyne ou d’autre. En fait, en deux sur les dix explosions on n’a pu pas du tout identifier aucune substance explosive, comme informait le journal ‘El Mundo’. En ce qui concerne l’étrange appareil trouvé sur les voies de l’AVE, ce qu’on a trouvé était de la Goma-2 pure (comme dans le sac de Vallecas).
    Ce que nous savons déjà est que l’explosif du sac de Vallecas et celui de la fourgonnette d’Alcalá ne coïncident pas : tout signale qu’une des deux pistes (nous verrons laquelle dans le chapitre suivant) était juste un leurre.
    Et on a éclaircie aussi une autre chose. Le sujet qui nous occupe mets en évidence les essais de manipuler le juge Del Olmo depuis le même 11 mars 2004. M. Del Olmo a dû supporter des rapports manipulés, des détentions absurdes, des délais non justifiés pour la livraison d’information, recel de données, fausses attributions de responsabilité à personnes innocentes… mais jusqu’à présent on n’avait pas pu montrer d’une façon si claire la chaîne structurée de mensonges qu’on vient de relater.
    Celles-ci ne sont pas les seuls mensonges de M. Sánchez Manzano sur le 11-M. Le chef des TEDAX a manqué à la vérité pendant la Commission d’Investigation, quand il a dit que les sacs détonés par les TEDAX n’avaient pas été faites exploser, mais qu’ils avaient explosé par accident pendant les essais de désactivation. Cela n’est pas vrai : les TEDAX ont explosé de façon contrôlée tous les appareils, comme montrent les arrêts du juge Del Olmo et les dépositions des policiers présents. M. Sánchez Manzano a menti aussi dans les ultérieures rapports sur le sac de Vallecas envoyés au juge, où il a caché pendant quatre mois que le sac n’avait pas explosé tout simplement parce qu’il était prêt pour ne pas exploser : depuis le 12 mars on disposait d’une radiographie montrant l’existence de deux câbles non branchés dans le sac.
    Les lecteurs se souviendront de comment pendant ces journées fatidiques (11-14 mars 2004), on a accusé sans arrêt au Gouvernement ‘populaire’ de mentir à l’opinion publique, en allégeant qu’ils recelaient que l’explosif utilisé était de la Goma-2, un type de dynamite que la bande terroriste ETA n’utilisait depuis longtemps.
    Or, c’est vrai qu’à partir du 11 mars il y a eu des mensonges et des manipulations sur le sujet des explosifs ; mais l’instruction démontre que celui qui a menti et manipulé n’était précisément pas le ministre Acebes.
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    11 M-ensonges connus
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    Une impudique chaîne de mensonges
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    June 2006
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  8. 11 M-ensonges connus
    Madrid, jeudi l´11 mars 2004, les Espagnols souffrons l´attentat terroriste le plus sanglant de notre histoire.
    11 M-ensonges ” qu’on nous a compté de l’attentat :
    1.- On nous a dit que les terroristes étaient islamistes fanatiques,appartenant à Al-Qaeda mais les accusés sont, la plûpart délinquants communs et presque tous eux confidents ou contrôlés par les forces de sécurité.
    2.- On nous a dit que les terroristes laissèrent dans la célèbre fourgonnette Renault Kangoo d’Alcalá un sac avec l’explosif, mais les chiens qui l’ont inspectionné n’ ont pas trouvé rien d´étrange.
    3.- On nous a dit que, dans la fourgonnette sont apparus finalment de nombreux objets lesquels éprouvaient l’implication des terroristes dans le massacre mais quand les premières polices ont fait l´inspectíon du véhicule en Alcalá ils n´ont pas vue aucun de ces objets.
    4.- On nous a dit qu’ une bombe n´a pas éclaté et qu´elle fut trouvé presque 20 heures plus tard dans un commissariat de police, mais il y a beaucoup d’indices qu’on indiquent que, en réalité, cette bombe na pas été trouve dans les trains.
    5.- On nous a dit que la faille de la bombe put être dut a une erreur des terroristes tandis que les indices indiquent que l’engin fut construit d’ un façon délibérée pour ne la faire pas éclater et ainsi elle put servir de preuve accusatoire.
    6.- On nous a dit que les terroristes laissèrent le jour de l’attentat un véhicule Skoda fabia en Alcalá, qui s’est trouvé trois mois plus tard, mais il y a des évidences demontrant que la voiture ne se trouvait pas le jour de l’attentat dans le lieu où ellel serait plus tard trouvée.
    7.- On nous a dit que les terroristes utilisèrent le Skoda fabia pour réaliser l´attentat mais il n’y a pas de preuve indicant que les terroristes etaient parfois dans cette voiture sauf des vêtements et des effets trouvez dans son intérieur d’une façon assez suspecte.
    8.- On nous a dit q’un groupe d’islamistes mit les “sacs des bombes” dans les trains, mais au contraire qu’à New York ou Londres, les Caméras de surveillance ne réussirent pas de régistrer l’image d’aucun d’eux.
    9.- On nous a dit qu’en Leganés s´est produit un echange de coup de feu intense de presque une heure entre les terroristes et la police mais, après l’explosion, on s´est trouve seulement que cinq cartouches et aucun trou de balle dans les environs.
    10.- On nous a dit que les terroristes de Leganés provoquèrent l’explosion pour se suicider tuand le plus grand nombre possible de ” infidèles” , mais ces “islamistes”ont eu la délicatesse d’ attendre que tous les voisins sortissent de l’édifice avant de ” le faire éclater”
    11.- On nous a dit que le cas était clair et résolu, mais chaque jour apparaissent de nouvelles informations que contredisent la véracité de la version officielle.
    _________________

  9. La force d’Internet: une nouvelle conduite sociale.Les victimes du terrorisme convoquent une manifestation pour exiger l’éclaircissement du 11M.
    Ils s’augmentent les doutes et soupçons sur la version officielle de l’attentat du 11 M à Madrid. Aussi l’Association de Victimes du Terrorisme, AVT, met en étoffe de jugement la version officielle de l’attentat et, en conséquence, il convoque une manifestation pour exiger l’éclaircissement des nombreux points obscurs, qu’ils augmentent un jour après l’autre. La concentration aura lieu le 10 de juin à 18,00 heures dans la “Plaza de Colón” de Madrid avec la devise “nous Voulons savoir la vérité.” Selon les porte-parole de l’AVT, derrière plus de deux ans des attentats “sont nombreuses les doutes et les points d’interrogation qu’ils pèsent encore sur l’investigation du cas.”
    Cet acte, au qu’il prevé l’assistance d’un élevé numéro de personnes, il a attiré l’adhésion de nombreuses organisations sociales entre lesquelles il convient de souligner les associations d’internautes qui sont en train d’enquêter les détails du massacre. Ces associations, qui ont marqué l’existence de nombreuses contradictions, inexactitudes et preuves fausses dans la version officielle des faits, arriveront en masse à la concentration exhibant le symbole qu’il les identifie au long et large du réseau: un flamboyant pion noir sur fond blanc qu’il représente à tous ceux qu’ils cherchent de cette façon le triomphe de la vérité, la dignité des citadins et la mémoire des victimes. Sa couleur noire symbolise à cette masse critique de citadins qu’il se mobilise de façon désintéressé depuis l’anonymat derrière ces idéaux.
    De sa part, quelques associations d’internautes ont dénoncé la passivité, manque d’intérêt et attitude pusillanime, quand non de dissimulation délibérée d’information, de la part de la majorité des médias espagnols en tout ce concernant l’investigation populaire du 11M. Quelques membres de ces collectifs a marqué que “celui que constituerait motif de grave crise politique et institutionnelle dans d’autres pays, dans l’Espagne est étouffé ou méprisé par presque tous les médias dans une attitude très peu d’accorde avec ses importantes responsabilités sociales.”
    Les journalistes qu’ils désirent s’accréditer et informer sur la manifestation peuvent envoyer un message avec ses données au [email protected]

  10. On doit savoir qu’Aznar a entrepris aussi des négociations avec l’ETA dans son premier mandat. Il n’est pas meilleur que Zapatero.

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