La question de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne resurgit dans la campagne des élections européennes en France, l'UMP étant accusée, à sa gauche comme à sa droite, de double langage. Nicolas Sarkozy et son parti sont critiqués par le Front National, le Mouvement pour la France, comme par le Parti socialiste, de chercher à attirer l'électorat conservateur en professant une opposition de façade à l'adhésion à terme de la Turquie.
Philippe de Villiers, qui a souhaité faire du 7 juin "un référendum" contre l'entrée de la Turquie, dénonce un "mensonge" de l'UMP. De même, Jean-Marie Le Pen accuse le président et son parti de mentir délibérément. Argument principal: quand il présidait l'UE en 2008, M. Sarkozy, a ouvert deux nouveaux chapitres dans la négociation avec Ankara. Enfonçant le clou, M. de Villiers a rappelé que "Sarkozy avait fait sauter le référendum obligatoire" avant tout élargissement, que Jacques Chirac avait instauré.
Le porte-parole du PS Benoît Hamon a également accusé M. Sarkozy de "mentir".
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Guillaume de Thieulloy
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Kelkin
Oui, j’ai espère un moment que la France serait simplement raisonnable vis a vis de la Turquie, mais encore une fois ce n’était que mensonge.
Tristesse…