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France : Politique en France

Louis de Bourbon se déclare prêt à monter sur le trône

Dans Paris-Match de juillet, le prince Louis de Bourbon déclare :

"Vous vous voyez monter un jour sur le trône de France ?

B Si les Français m’appellent, je ne me déroberai pas. Mais je ne revendique rien. […] Je me sens prêt. Ce sera un changement de vie important, bien sûr, mais les grandes responsabilités ne me font pas peur. […] Je vois une monarchie constitutionnelle à l’espagnole, avec un roi qui fait office d’autorité morale, d’ambassadeur de son pays à l’étranger, garant de l’unité du pays, rappel de l’Histoire. […] Le comte de Paris a intenté un procès à mon père pour contester son titre de duc d’Anjou et ses armes “pleines” [les trois fleurs de lys], et la Cour de cassation lui a donné tort en 2003. Depuis, les choses sont claires, et comme je viens d’avoir un héritier mâle, je le présente à la France. […] Aux célébrations des quatre cents ans de la mort d’Henri IV, j’ai revu le prince Jean, le fils d’Henri d’Orléans, et ça s’est très bien passé entre nous.

La France a-t-elle vraiment besoin d’un roi ?

Pourquoi pas ? Pour moi, la ­monarchie est une forme de continuité, un lien avec l’Histoire. C’est une notion évolutive, moderne. Avec la mondialisation, on perd parfois le nord… La monarchie est un repère. Vous ne pouvez pas vous construire un futur si vous ne connaissez pas votre passé. […] Prenez le général Franco. C’est mon arrière-grand-père. Ma grand-mère maternelle, dont j’étais très proche, était sa fille unique. Le gouvernement espagnol actuel fait tout pour effacer son héritage. On abat des statues, on rebaptise des rues, et c’est regrettable. Franco a créé la classe moyenne en Espagne, il a créé des forêts, des lacs et des routes, il a empêché que le pays n’entre dans la guerre et que le communisme s’installe. Evidemment il y a eu la guerre civile, mais il ne l’a pas voulue. Il ne faut pas gommer l’Histoire. Ce n’est pas parce qu’on n’aime pas la monarchie qu’il faut la faire oublier. Sans elle, Versailles ne serait pas là !"

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49 commentaires

  1. moi qui suis monarchiste à fond, je ne vais pas bouger le petit doigt pour installer une “monarchie constitutionnelle à l’espagnole” ! Mieux vaut une bonne république avec un pouvoir fort.

  2. Nous aimerions que Dieu veuille le retour de son lieutenant, le Roi de France parmi les siens.
    Le mériterions-nous vraiment après l’atroce meurtre de l’enfant-Roi, suivant celui de ces parents?
    Et sans l’Eglise, pourrions-nous le recevoir ce Roi ?
    Pour Monsieur le Duc d’Anjou!

  3. ses parents

  4. La France reviendra à la Monarchie comme le mari infidèle revient vers son épouse. Mais je ne vois pas de retour dans la continuité. On ne passera pas de la république à la Monarchie. Peut-être devra-t-on passer par un régime intermédiaire. Un califat par exemple. Pour que les Français se rendent compte de la valeur d’un Roi très chrétien.
    Quant à Franco, il est, avec Churchill, le seul à avoir dit non à Hitler. On a un peu tendance à l’oublier.

  5. […] nous voyons clairement que le roi d’espagne et loin d’étre trés chrétien et encore moins un bon catholique; Il suffit de voir les trahisons morales! Votre monarchie gardez là vous!

  6. Tous ces propos, fort louables par ailleurs,démontrent bien que ce prince a le coeur bien ancré en Espagne. Nous l’invitons donc à y rester et à lui préférer un prince français.
    [Il a la nationalité française. MJ]

  7. A MJ, il y a beaucoup de gens en France, qui ont la nationalité française, sans particulièrement aimer la France, pour ma part je pense que ce Monsieur en fait partie. Je l’ai d’ailleurs entendu s’exprimer avec un très fort accent espagnol, ce qui ne conviendrait certainement pas à un roi de France.

  8. On a donc le choix entre “couscous” et/ou “paëlla”…!Prions pour que la Providence, qui n’a jamais abandonné notre Pays, nous trouve un bel et bon “produit du Terroir”…Patience

  9. ” Peut-être devra-t-on passer par un régime intermédiaire. Un califat par exemple. ” (RL)
    ET peut-être aura-t-on résolu l’énigme Louis XVII d’ici là …

  10. Je trouve inadapté la référence à Franco. Tout n’est pas mauvais chez lui comme on nous le fait croire maintenant certes, mais de là à se référer autant à lui…
    Oui à une monarchie constitutionnelle, pourquoi pas, à condition que le roi est un pouvoir (et non seulement une autorité) moral et que celui-ci soit soumis à la DSE.

  11. N’espérez rien qui soit du rêve ou du fantasme!
    Relisez entre autres La Franquerie et surtout l’interprétation de l’Apocalypse de Bartélémi Holzhauser et laissez faire Notre Père qui mieux que quiconque sait ce qu’il nous faut et saura nous le faire mériter!
    Car pour le moment, la France ne le mérite pas.
    Laissez les petits hommes et les hommes petits s’inquiéter, s’agiter et croire encore qu’un parti politique (fut-il de la pseudo extrême-droite) peut faire la moindre des chose!

  12. La France aura bien un roi : le Grand Monarque, il existe de nombreuses prophéties sur sa venue notamment après la destruction de Paris.
    A cette époque la France, comme d’autres pays européens, sera en guerre civile et envahit par des forces étrangères.
    Lisez les prophéties de la Salette…
    Sur l’identité du futur roi, Dieu seul connait son identité et où il se trouve.

  13. Le général Franco a été le dernier grand defenseur au pouvoir du (vrai) catholicisme en Europe, on a donc ici un bel hommage à cet homme qui a voulu recréer une Espagne catholique comme au temps de Isabelle la Catholique.
    Pour revenir aux propos de Louis de Bourbon, je suis d’accord avec Bergstein, il vaut mieux une République Française forte et fière de son histoire qu’une monarchie ploutocratienne incapable d’imposer sa morale (regardez Jean-Charles 1er en Espagne…)

  14. L’idée royale est considérable, cependant est-ce qu’un monarque est strictement parlant un roi ? certains historiens, dont Régine Pernoud faisaient et font la distinction entre la monarchie, en gros depuis charles VII, et la royauté comme au temps de Saint Louis.
    ce qu’il nous faut c’est un symbole, un résumé de ce qu’il y a de sacré dans la société, mais qui ne relève pas exclusivement du prêtre. la monarchie a disparue, certes dans la révolution: les séditions et les massacres, mais qu’est-ce qui a disparu ? la monarchie n’avait-elle pas déjà fait disparaître le roi derrière la figure d’un pater familias, d’un état personne, depuis l’époque classique a grand coup de droit romain ?
    qu’est-ce donc qui a disparu ?
    ni la bourgeoisie, vieille comme le bas-moyen-âge, ni la volonté de puissance qui pousse les “grands” a se figurer être le soleil de leur temps en faisant sentir leur puissance.
    il me semble que nous avons besoin d’un roi, pas d’un monarque. pas d’un roi des français ou même d’un roi de France qui se prendrait pour un particulier fortuné, or c’est ce que nous donne à contempler tous ces magazines où sont mis en valeurs pierres fines, propriétés splendides et robes de couturiers.
    Est-ce que la monarchie espagnole constitue un exemple ? vraiment ? pas plus que l’anglaise, je ne vois là de personnages princiers qui fassent de l’ombre au plus noblement roturier des saints. saint Louis est mort sur un lit de cendre, tout à la fois pieux, cultivé, aimant et guerrier.
    de quoi parle-t-on ? de réhabiliter Franco, dans un pays qui n’est ni sa patrie, ni l’objet de son pouvoir ? ces faits sont encore trop récents et lointains pour constituer une légitimation de qui que ce soit ici.
    Je ne souhaite pas le retour d’une adulation des princes, car cette adoration indue est de nos jours déjà multipliée par cent et mille par tous les magazines et toutes les émissions télévisée à propos de gens de toutes sortes. Cela de tout temps n’a jamais fait progresser la probité et la sainteté.
    nous n’avons pas besoin d’un roi de ce monde qui règne sur nous, nous n’avons pas besoin d’autre chose que du règne de Dieu, qui est celui de la Charité et non de la domination.
    plus que d’une constitution ou d’une institution de musée, un vrai roi a besoin d’un peuple enraciné, car comme le prêtre tourné vers l’autel le roi, n’est jamais que le plus en avant parmi son peuple et non le maître, car en pays catholique il n’y a qu’un seul maître, et c’est la Charité, amour en personnes.
    où est le peuple de France ? il n’y en a pas ou bien peu. le peuple est façonné par les lois et les institutions que mettent en place ces lois. Un roi est l’arbitre de ces choses pour un peuple donné. que-sert donc de se dire prêt à régner ? s’il n’y a personne à haranguer et pour qui faire prompte justice ?
    un roi restaure, instaure lois et institution par la force dont il est le dépositaire. la force se reçoit, par prévarication ou par autorité. cette personne a-t-elle la force, sous quelle forme et par quelle autorité.
    si c’est par l’injustice -chose subtile à se dissimuler – craignons que nous n’ayons les pires maux en partages.
    Si cette personne pense pouvoir être roi et non monarque, qu’elle médite le premier livre de Samuel et spécialement la vie des deux premiers rois d’Israël.
    Nous n’avons jamais cessé d’avoir un roi, malgré la chute de tous les monarques, et ce roi est notre Dieu.
    c’est de lui que tout procède en fait de force et d’autorité.
    Et pour être roi il faut pouvoir comprendre et expliquer ce que cela peut vouloir dire.
    tous ceux qui pourraient venir et se saisir du pouvoir, ne seront jamais que l’intendant du Christ roi de la société de la charité.
    Aussi ce n’est pas le décolleté bien trop profond et pour cela vulgaire, de la personne qui est au côté de ce prince, qui fait son prestige, mais bien plutôt l’indice d’une non élection divine.
    un particulier prisonnier des conventions de la société qui l’entoure n’en est pas le directeur.
    si la royauté tombe des mains de ceux qui pensaient pouvoir la saisir, cela ne veut pas dire que la Providence n’y veille. Dieu n’a pas abandonné ses amis, si il a abandonné les monarques à leur démesure.
    nous n’avons plus que faire après deux cent ans de folie “moderne”, de grands animaux de cours qui cherchent comme tous ceux qui aspirent à vivre selon l’esprit du monde, à impressionner et à flatter leur personne comme impressionner, flatter et combattre celle de tous ceux qui passent à leur porté.
    ni condottière, ni courtisan, ne se trouve entre amis dans le ciel empyrée.
    nous avons besoin d’un saint, et comme la sainteté n’est pas héréditaire, je préfère méditer sur la royauté selon Saint Thomas d’Aquin, avant que de rêver de manière colorée à une belle cérémonie rivalisant avec le couronnement de la reine des anglais.
    Que serait un roi sans peuple qui le considère comme juste et équitable devant Dieu ? l’appendice des puissants du jour ? une manière de légion d’honneur décernée à ce qui limite l’autonomie de notre pays ?
    un roi est un symbole, parce qu’il n’est pas seulement symbolique, il est un chef, une tête, c’est assez dire qu’il commande sans se prendre pour le pied et la main. il fait parti d’un cérémonial, celui que l’on doit dans toute société laissez exister, pour bien marqué les choses importantes qui ne saurait être bafouées. (les corps intermédiaires, les institutions régaliennes garantes de l’équilibre de la société,les choses naturelles et belles, et spécialement la justice et l’équité).
    On peut dire que l’on ne s’appartient pas et en faire une marque distinctive, aussi ne croit-on à la valeur de quelqu’un que lorsque ses actes ne sont pour lui qu’une manière différente de dire mêmement ce que c’est que la bonté et la vérité.
    Si cette personne prétend vraiment être Roi en France il ne faut pas qu’elle commence par vouloir se situer par rapport à la “mondialisation”, mais par rapport à Dieu et au pouvoir politique qu’Il donne ou refuse.
    le roi n’est pas le VRP de la monarchie constitutionnelle, qu’il parle publiquement affaires publiques, conflits politiques, qu’il explique les enjeux macro et micro économique, qu’il nous montre sa vision de la situation et ce qu’elle implique.
    mais surtout, oui, vraiment, qu’il ne parle pas comme un journaliste de journal télévisé ou un ingénieur en communication.
    on ne conquiert pas en séduisant, car on avilit alors ceux que l’on touche. un roi est avec nous, il n’est pas notre grand frère, et nous ne sommes pas des enfants, (ou des “amis”, selon l’esprit détestable d’une haine déguisée en politesse) soit il nous aime en pair, soit il ne règnera jamais.
    vous qui pensez être fait pour être roi, pensez d’abord à garantir à l’Eglise une indépendance nécessaire en toute équité loin de la servilité de clans, et des puissances internationales et discrètes.
    Renverser le règne du constructivisme politique, idéologique, industriel et moral est une grande tache, il faudrait l’accomplir pour avoir un peuple sur lequel régner, le comprenez -vous ?
    n’oubliez jamais que selon la sagesse, les puissants seront puissamment examinés au jour du jugement et que dans l’autre vie toutes les préséances vont absolument toutes à la Charité.
    nulle gloire de ce monde ne descend avec vous dans la tombe.
    Alors qui êtes-vous ? un nouveau saint Louis, ou la personnification de la gloriole d’un clan de particuliers ?

  15. Commentaires consternants de certains de vos lecteurs:
    Le prince Louis est largement plus français qu’Henri IV, qui ne fut pas le plus médiocre des Rois de France! c’est le moins qu’on puisse dire!

  16. Rom Dylie : “il vaut mieux une République Française forte et fière de son histoire qu’une monarchie ploutocratienne incapable d’imposer sa morale”
    Ne faites pas l’erreur de Thiers qui a renoncé au monarchisme par pragmatisme en croyant pouvoir instaurer une république bourgeoise ! Les idées révolutionnaires sont inscrites dans ses gènes et ne cesseront de remonter à la surface, même si certains hommes peuvent en atténuer les effets ! Si les loges se sont vidées sous De Gaulle, elles se sont remplies après lui.

  17. L’un des avantages d’une monarchie, c’est qu’il éviterait ce type de discussions constructives…
    Ma foi, je crois que les lecteurs du salon Beige sont bien trop impregnés de démocratie.

  18. Certains attendent le “Grand Monarque” (je le fut par le passé), mais la France n’est pas la seule concernée par ce “mythe du roi caché”, du “roi perdu”. Ce qui relativise fortement ces mêmes prophéties.
    Les royalistes français(tout comme les catholiques avec le pape) sont devenus des républicains qui s’ignorent.On ne choisit pas son roi…On le reçoit! Charles VII et Louis XIV n’étaient pas des parangons de vertus et pourtant Dieu s’est adressé à eux.
    Louis XVI et le comte de Chambord, n’étaient pas opposés à une monarchie constitutionnelle. Tout dépend de ce que l’on met sous ce nom. Effectivement si c’est pour avoir un roi fantoche et manipulé par les partis. Mais une constitution peut garantir au roi de réels pouvoirs.

  19. 0 Lusso et Senex
    Louis est français de nationalité. Mais surtout Henri IV ne l’était pas, et tous nos rois, à de rares exceptions près étaient fils et petits fils de mères étrangères et épousaient des étrangères, qui leur donnaient des héritiers à moitié ”étrangers”.
    Vous semblez oublier que les Bourbons d’Espagne sont d’origine ”étrangère” à l’Espagne, puisqu’ils sont issus de la famille royale de France, descendants de Louis XIV ”espagnol” par sa mère : vous ne songeriez pas à dire que cette dynastie doit renoncer au trône d’Espagne de ce fait. Pas plus que d’autres princes capétiens, comme les Bourguignons ou les Anjou, qui régnèrent eux aussi sur des royaumes où ils étaient des dynastes ”étrangers”, ou encore les Bourbons d’Italie. Le raisonnement s’applique à la France, dont les lois fondamentales fixent la règle de succession : fils aîné ou descendant légitime d’un roi ou prince issu des capétiens et catholique, sans condition de ”nationalité”.

  20. Le prince Louis a la nationalité française? On sait ce que vaut maintenant cette formalité administrative…En plus, il fait l’apologie de Franco, grand chrétien, comme chacun sait, qui ne savait plus trop faire la distinction entre les salves des pelotons d’exécution et les litanies de la Sainte Vierge!Comme argument pour justifier ses prétentions au trône de France, on trouvera mieux que celui qui consiste à glorifier un personnage pour le moins équivoque qui n’appartient pas à notre histoire nationale.

  21. @RL
    Franco, le seul à avoir dit “non” à Hitler? Et la Légion Condor,qui s’est distinguée par des bombardements de populations civiles pendant la guerre d’Espagne, d’où venait-elle? De Papouasie? La division Azul, qui combattait le bolchévisme sur le front de l’Est,a-t-elle été envoyée par un homme qui a dit “non” à Hitler? Merci de bien distinguer, dans les commentaires, l’apologétique et l’histoire, et de ne pas dire n’importe quoi sur Franco, même si on l’aime très fort!L’histoire est l’art de la nuance par excellence. On peut éprouver de la sympathie pour tel ou tel homme de l’histoire, mais de là à déformer les faits, il y a un pas à ne point franchir. Nous souffrons assez de l’histoire “officielle” pour ne pas nous mettre à adopter ses méthodes.

  22. Le Général Franco si décrié est révélé par cette assertion :” qui est mon arrière grand-père ” : en effet ceci est la preuve des sentiments patriotiques rares de cette personne ,qui pour lui succéder a préféré Juan Carlos au mari de sa propre fille !
    Combien de nos politiques seraient capables d’agir ainsi ?
    N.B.ceci en dehors de toute justification du choix ou du retour de la monarchie chez nous !

  23. Le roi ne se choisit ni ne peut refuser la mission à lui attribuée par la Providence à travers les lois immuables de succession.
    La concept moderne de “nationalité” est absolument étranger à ces lois.
    De même le roi de France ne peut être constitutionnel.
    Il conviendrait néanmoins de ne pas juger trop sévèrement les éventuelles maladresses d’un jeune prince dans un monde malade : nous prétendons vouloir un roi, mais nous sommes imbibés jusqu’à la moëlle de l’orgueil démocratique !
    Le Marquis de la Franquerie ?
    Sans doute guère à condamner… mais à consommer avec modération !

  24. L’argument sur Versailles à la fin de l’entretien est léger… Si la monarchie, c’est Versailles, alors franchement… ne faisons plus de politique mais plutôt de l’horticulture ou de la déco…

  25. 1- Il n’y a aucune énigme pour Louis XVII, il est mort au temple point final.
    2- Il n’y a pas à discuter sur la légitimité du Prince, c’est le premier sur la liste.

  26. Pour avoir notre Franco, il nous faudrait avoir d’abord une Eglise qui ose soutenir un régime catholique.

  27. Le prechi precha de “lacontrerevolution..” est un peu fatiguant ! Je ne suis pas dans un slaon pour entendre des sermons …
    En ce qui concerne les rois de France au regard du principe nationalité ils l’étaient bien peu, car pour la plupart issus d’allliance avec des Cours étrangères, principalement espagnoles et autrichiennes.
    La mise au point de Mgr d’Anjou sur les prétendants Orléans est très claire; déboutés par une décision de justice cette famille s’obstine à sa prévaloir ce à quoi elle n’a pas droit.
    cf un post precedent relatif à un prétendu “duc d’Anjou” Orléans.
    Quant aux propheties diverses et variées, elles sont un peu comme les promesses electorales tant qu’elles n’ont pas été validées par la ste Eglise…
    Les apparitions de La Salette sont reconnues mais pas les innombrables “secrets” qui en découlent.

  28. Entièrement d’accord avec HB,
    Pour ceux qui veulent essayer de comprendre ce qui nous arrive, lisez les prophéties et révélations aux âmes choisies, Notre Père du Ciel ne châtie pas sans prévenir (car Il va châtier nos infidélités). Il nous a envoyé MARIE en beaucoup d’endroits et nous avons continué à vivre loin de Dieu.
    Il serait grand temps de nous convertir, au lieu d’essayer, encore une fois, de nous en tirer seuls ! Dans l’état actuel de nos pays, nous sommes allés si loin dans le mal et les mauvaises lois, que Seul le Seigneur peut nous en sortir SI NOUS LUI DEMANDONS SON AIDE. Il est encore temps !
    Mettons donc notre confiance en Lui et commençons par nous sanctifier : chaque âme qui s’élève, élève le monde ; votons correctement (sans oublier les sages conseils de notre pape sur ce qui n’est pas négociable) et continuons, du mieux possible notre devoir d’état, sachant que c’est Dieu qui donne la victoire à Son heure.
    Quant au prétendant royal, celui qui est annoncé, pour gouverner après la tempête, sera l’envoyé de Dieu et Lui seul le connaît : lire les livres de l’Abbé ROBERDEL sur Marie Julie Jahenny, édit. Resiac.

  29. “Je ne revendique rien”.
    C’est peut-être justement çà le problème….

  30. Quant aux commentaires soulignant la mauvaise “francitude” du prince, çà me fait bien rire!
    Croyez-vous que nos rois, nos reines étaient aussi “bons français” que Justin Bridou?
    Evidemment non, mais ils savaient qu’ils faisaient partie de la même famille catholique et européenne, aussi étaient-ils tous cousins.
    Quant à moi, si un roi revendique le trône de France, je me moquerai bien qu’il soit français ou non. Le problème de sa légitimité ne sera pas là.

  31. “Louis de Bourbon se déclare prêt à monter sur le trône”
    Il viendra…celui que l’on désigne sous le nom de “Grand Monarque”…
    Mais avant…
    “La France deviendra mahomète…niant la divinité du Christ..”
    Marie Julie Jahenny (1850-1940).
    “La France tombera très bas.
    Plus bas que les autres nations, à cause de son orgeuil et des mauvais chefs qu’elle se sera choisie.
    Elle aura le nez dans la poussière.
    Il n’y aura plus rien…c’est la Sainte Vierge qui viendra la sauver…”
    Marthe Robin au Père Finet(1936).
    “Paris sera brûlé et Marseille engloutie”
    Le secret de la Salette (1846).

  32. Les Rois de France étaient peut-être étranger par leur mère mais jamais par leur père !
    De plus, pour ceux qui disent donc que nos Rois venaient en partie de l’étranger c’est une fumisterie, la loi salique à été instauré à l’époque pour éviter et c’était le prétexte pour éviter que la couronne tombe à un souverain étranger !
    Les lois fondamentales ou autres, se sont progressivement constitués dans le but d’en arranger certains, rien ne nous empêche de nous interroger aujourd’hui sur leur validité et leur bien fondé !
    Louis truc muche, descendant d’un dictateur (franco) et d’ancêtres ayant régné en espagne n’a plus de droits sur la France !
    Des étrangers ont formidablement servi la France, car ils avaient le coeur français, lui ne fait que parler d’espagne… alors qu’il y reste…
    Dieu dans son infini bonté nous redonnera un Roi et lui seul le désignera…. en tout cas si les bourbons ne sont plus au pouvoir c’est que Dieu les en a écarté…
    Le Roi que Dieu choisira aura surement rendu service à la France… ce qui n’est pas le cas des prétendants actuels…

  33. @ thechouan
    “1- Il n’y a aucune énigme pour Louis XVII, il est mort au temple point final.”
    Libre à vous de croire aux bobards républicains. Mais vous permettrez à ceux qui connaissent les circonstances de ce “décès”, de ne pas partager votre enthousiasme sommaire et expéditif…

  34. Le prochain roi sera celui qui ramassera le pouvoir et ,la force primant dans notre bas monde ,il aura l’onction de tous ;Souhaitons, prions qu’il soit catholique !

  35. Lusso : en effet, Franco s’est servi de Hitler mais ne lui a rien apporté.
    Lorsque le second a voulu passer par l’Espagne pour envoyer ses troupes en Afrique du Nord, le premier a fermement refusé.

  36. Cher Babar,
    le duc d’Anjou est l’héritier de la couronne française, c’est un fait juridique reconnu par les plus hautes autorités judiciaires.
    Les Orléans sont des prétendants et le “prince” Jean n’est même pas l’aîné de sa branche; or la dévolution de la couronne respecte l’ordre de primo-geniture mâle, entre autres, comme celui de catholicité.
    On ne peut pas renoncer à une couronne car ce n’est pas un bien propre.
    Les renonciations imposées à Louis XIV sont nulles. Le Roi n’est pas au dessus des lois fondamentales du Royaume.

  37. Eh ben, mes aïeux !
    Déjà 36 commentaires et de nombreuses gauloiseries !
    “Vive le Christ, 1er roi de France”
    Deo Gratias !!!

  38. @lm de wlt,
    Vous dites que mes “préchi-précha” vous fatigue. il ne s’agit pas pourtant de ma part de sermons, mais de ma propre réflexion, détaillez donc la vôtre si ces questions politiques vous intéressent au lieu d’être si peu urbain et je vous l’assure, blessant.
    je ne partage pas avec vous toutes les distinctions faites autour d’un monarque, puisque si vous me lisez bien je distingue royauté et monarchie.
    Je ne souhaite pas le retour d’un monarque, mais d’un roi, si cela est nécessaire, quant à se disputer autour de jugements judiciaires pour assurer la légitimité de tel ou tel, cela me semble complètement surréaliste.
    certain attendent un monarque comme d’autres ont rêvé du retour de l’âge d’or au moment où précisément la monarchie sombrait complètement. ni la monarchie, ni l’état mondial ne procurerons un bonheur que seul Dieu ordonne et présente et dont nous sommes pour nous même responsable.
    j’ignore la valeur des prophéties, ce que je perçois ici c’est que nous nageons en plein rêve, ce qui n’est le propre d’aucun homme politique réel et efficace.
    est-ce que nous sommes imprégnés de démocratie ? et bien, dirais-je pourquoi pas ? qu’appelle-t-on ici démocratie ?
    je ne rêve pas d’un père tutélaire, reproduisant l’image du père, il n’est pas très sain de confondre car je n’adule ni prince, ni décorum. je ne suis pas infantile, je suis une personne adulte vivant dans une société qui ne croit bien souvent qu’à l’hypocrisie et à la rapacité, alors que je ne suis ni candidat à la folie, ni une bête fauve.
    certains pensent que l’on doit se conformer aux us et coutumes d’une dynastie qui ne règne plus, si roi il y a, et bien il possède la force et l’autorité nécessaire pour restaurer et maintenir la société. et s’il ne l’a pas et bien c’est qu’il n’est pas le roi.
    aduler un régime politique comme on doit vénérer Dieu est une faute morale et peut-être même dans les conscience un péché mortel, espérer un roi-bourgeois, un roi pour avoir un roi est donc une folie.
    le roi n’a aucune légitimité éternelle, ce qui compte c’est que la société soit humaine, régie par les principes de la charité, qui dans l’ordre politique et social se traduit en justice et en équité, et sur le plan personnel en droiture. tout le reste est littérature.
    il y a ceux qui n’aiment pas la morale en politique, ce qui est la marque même de la déraison et il y a ceux qui considèrent que la déroute morale est aussi parfois une conséquence politique.
    être intéressé à la chose publique pour tout un chacun n’est pas une faute de goût mais une nécessité. les rois ne furent pas tous des saints, est-ce donc là une marque de fabrique ? ils ont donc une responsabilité dans la déroute de ce pays.
    Tout le monde ne peut comprendre au même degrés les subtilités et les enjeux ? sans doute, mais c’est alors qu’intervient la nécessité d’hommes politiques responsables, instructeurs, justes et avisés.
    la notion de sujet du roi est une notion qui a varié au cours des âges, je ne suis pas l’esclave d’un prince ou la chose d’un potentat. si je dis monseigneur à un prince, cela m’écorche la bouche, car devant Dieu il n’y a pas de seigneur mais des amis, relisez donc Saint Jean.
    cet ordre ancien est mort, car il se résumait plus dans de nombreux aspects qu’à de l’égoïsme. lisez Pascal dans le résumé qui existe de ses leçons sur la condition des grands.
    Alors oui, assez de ces animaux de cour, de ces êtres qui se pensent supérieurs parce que la Providence les charge eux et les leurs de responsabilités, de facilités sociales et économiques et culturelles. Supérieurs ils le seront peut-être, mais la supériorité oui, ne passe que par l’amour supérieur, la Charité surnaturelle (savez-vous profondément de quoi il s’agit ? pardonnez-moi mais j’en doute, vous ne connaissez que la sonorité et la couleur affective poussiéreuse et détestable associé à cela en votre esprit, sinon vous ne parleriez jamais de la sorte.) On ne se repose pas sur les lauriers d’autrui. Leur nom est illustre, peut-être, mais ce n’est pas nécessairement le fait de leur personne, et il n’y a pas de noblesse par correspondance. aucune. par contre il y a des trésors accumulés, matériels ou non, que l’on dilapide en moins d’une génération.
    la noblesse n’est pas la thésaurisation marchande, elle ne se dilapide pas lorsqu’on s’est en faire la dépense.
    il n’y a pas de monarchie éternelle, il n’y a que la Charité qui le soit. Peut-être dissociez-vous royauté et catholicisme ? pour ma part ce n’est pas le cas, car quel que soit le régime, il faut sauver son âme et nous ne sommes pas tous des ermites. c’est la société des hommes qui est première sur la royauté.
    quant à la monarchie elle a bâtie des guerres et des palais, et possède encore de nos jours les plus renommés des noms de maîtresses et de concubines. La France est un grand pays, mais surtout parce qu’elle est un pays, aucun élément du corps social, fut-il prince, ne peut sans forfanterie illusoire et ridicule prétendre être la raison de son existence.
    aussi louis XIV n’arrivera jamais à l’escarboucle des chaussures de saint Louis en fait de grandeur et de gloire.
    le crime de démocratisme n’existe pas; lisez donc Saint Thomas; il ne s’agit pas de reproduire un régime qui n’existe plus,pour un peuple qui n’existe pas, il s’agit d’être réaliste en partant du fait que vous et moi avec tous les autres, sommes la société présente.
    la démocratie est selon Aristote le plus dégradé des régimes ? mais alors ne confondons pas respect des gens, principe de subsidiarité, respect des personnes, et adoration de clans. la société n’est pas un conglomérats de clans, la cité politique est autre chose que la somme d’intérêts bien compris.
    un roi n’a pas tous les droits, et si l’on ne renvoie pas un roi, cela n’est pas mon fait, mais Dieu a voulu que dans cet instant qui est le nôtre il n’y ait pas de roi pour arbitrer la société des hommes.
    et pas de monarque pour être tenté de confondre sa personne et la cité.
    si je dis citoyens, vous croyez me voir encocardé et plébiscitant un régicide ou répétant la leçon de la communale. le citoyen est le membre de la cité politique, et notre pays est aussi une polis, une cité d’hommes régie par des lois.
    il n’y a là nulle allégeance à une révolution antichrétienne. mais un constat sur la réalité humain qui remonte au moins aux grecs.

  39. Le duc d’Anjou a raison: il y en a marre de ceux qui gomment l’histoire pour se donner une image lisse.

  40. Le Prince Louis de Bourbon, Duc de Bourbon et d’Anjou, est le Chef de la Maison de France, descendant aîné des Capétiens qui ont fait la France. Qui peut se prétendre plus Français que lui ?
    Il est marié validement, père de deux successibles.
    Il est disponible pour la France.
    Lorsqu’un gouvernement aura remis de l’ordre dans notre pays, les Bourbons seront la ressource pour couronner l’édifice et pérenniser une vaste rénovation nationale.

  41. Voici ce qu’écrit Raoul Auclair dans son très beau livre HISTOIRE et PROPHÉTIE , paru en 1973 aux Nouvelles Éditions latines. C’est au tout début du douzième et dernier chapitre de l’ouvrage. Ce chapitre est intitulé « Les soixante-dix rois du royaume de France ». J’en donne un très court extrait, un peu long pour un blog, mais qui reste compréhensible. Tout d’abord brève récapitulation des Dynasties, puis un bref commentaire synthétique de Raoul Auclair, sous le rapport du symbolisme des Nombres :
    L E S D Y N A S T I E S
    I. – (1) MÉROVINGIENS 18 rois
    (à partir de Clovis)
    II. – (2) CAROLINGIENS 12 rois
    Total 30 rois
    Capétiens ayant régné du
    temps des Carolingiens 3 rois
    III. – CAPÉTIENS
    (3) Capétiens directs 15 rois
    (4) Valois 7 rois
    (5) Orléans 1 roi
    (6) Valois-Angoulême 5 rois
    (7) Bourbons 8 rois
    36 rois
    Le Grand Monarque 1 roi
    37 rois
    Total 40 rois
    R o i s d e F r a n c e : 30 + 40 = 70 rois
    Tout d’abord trois races, la Mérovingienne, la Carolingienne et la Capétienne, qui impriment le sceau du Ternaire dans l’unité du destin monarchique de la France.
    Mais l’empreinte du Septénaire s’y décèle également, la troisième race se ramifiant en plusieurs branches qui portent à sept le nombre des dynasties.
    Toute architecture divine, celle des cieux ou celle des royaumes, est marquée au coin de la « ressemblance ». L’Apocalypse en dresse le secret mais complet témoignage. Si donc le Ternaire est gage d’authenticité, le Septénaire impulsion formatrice, dans le Duodénaire tout organisme et toute organisation trouvent leur équilibre et acquièrent leur plénitude. Or, ne sont-ils point douze, les rois de la seconde race, et trente-six, soit le triple duodénaire, ceux de la troisième ?
    Enfin, et plus éloquemment encore, quoique avec plus de mystère, tenant compte de Celui qui doit venir, le nombre des rois capétiens, depuis leur avènement dynastique, serait porté à trente-sept, qui EST LE NOMBRE DOUZE dans l’acception mystique des nombres-premiers .
    *
    La France des Carolingiens, et plus encore celle des Mérovingiens, était une France toute floue, indécise et flottante, encore que ce fût, de toutes les nations de l’Europe, celle qui naquit avec le plus de constance. Ce n’était toutefois qu’un Royaume enfant qui ne vint à l’âge de raison qu’avec l’avènement des Capétiens. Aussi bien, nous va-t-il falloir, tantôt, observer en cet endroit une coupure ; mieux que cela, une mutation, une discontinuité.
    Le Duodénaire étant l’expression de la Forme accomplie et le Septénaire la Puissance informatrice, s’étonnera-t-on, à contempler la première Race, d’y mieux discerner la marque de celui-ci que la présence de celui-là ? Il y eut, en effet, dix- sept rois à compter de Clovis, DIX-SEPT ÉTANT LE NOMBRE SEPT en cette même suite absolue des nombres où trente-sept est l’équivalent de douze.
    Un dix-huitième roi [Après un interrègne de cinq années sous la domination de Pépin-le-Bref (737-742), Chilpéric, souverain fantôme et dernier monarque de la race de Clovis, fut fait roi et défait par celui qui était déjà le premier roi carolingien], fort à part de ses prédécesseur nous ramène par le biais, vers le Duodénaire. Mais gageons que sa vertu fut surtout d’imposer la nécessité de TRENTE rois en cette première France.
    Chose singulière, mais en tout point admirable, et si bien faite pour dérober les arcanes de cet auguste plan, ce sont des monarques placés en dehors des séries dynastiques qui permettent, ne nuisant point au nombre parfait des séries, de concourir au nombre parfait de l’ensemble. C’est ainsi que nous voyons, outre ce dix-huitième roi mérovingien, trois rois capétiens qui régnèrent du temps des Carolingiens [Eudes (888-898) ; Robert 1er (922-923) ; Raoul (923-936)].
    *
    Enfin sied-il de rappeler ces douze rois, situés eux aussi « en dehors » : douze rois mérovingiens qui régnèrent en France bien que ne régnant pas sur cela qui était déjà la France et que l’on n’inclut pas d’ordinaire, avec juste raison, dans la royale théorie des monarques français. [voir tableau des MÉROVINGIENS] (non reproduit ici).
    *
    Ainsi les deux premières Races qui jalonnent les étapes de l’établissement du Royaume, ont un total de trente rois. A partir d’Hugues Capet, la France enfin, la France désormais affirmée, va compter trente-six rois. Si l’on tient compte des trois Capétiens qui occupèrent le trône quand régnaient encore les Carolingiens, cela fera, pour la troisième Race, trente-neuf souverains. Assurément, le dernier et tellement promis qui doit paraître à la Fin, ne saurait ne point venir. Voudrait-on que l’absence du Quarantième faussât une aussi stricte économie ? L’intervention de la Providence, en cette harmonie, s’impose avec tant d’évidence qu’on se refuse à croire qu’elle puisse, à ce terme, interrompre une ordonnance établie avec cette rigueur et ne point poser la clef de voûte qui retiendra ce splendide édifice.
    QUARANTE souverains de la troisième Race, et en tout, ô prodige, SOIXANTE-DIX rois !
    A la suite de ce qu’écrit Raoul Auclair (1906-1997) qui est le fils spirituel de Léon Bloy (1846-1917), je voudrais ajouter un point qui me semble important. Léon Bloy a écrit que « la race des Bourbons a été rejetée ». Cela me semble fort juste. Elle a été rejetée en 1830, date à laquelle Marie est apparue à la rue du Bac .Je rappelle que Marie est la Reine de France. En 1830, Marie nous fait rentrer dans un « NOUVEAU MONDE » lorsque, le 27 novembre 1830, à 17h30 rue du Bac, Catherine Labouré entend ces paroles que la Reine de France prononce en offrant à Dieu le globe de la Terre surmonté de la Croix : « Ce globe que vous voyez représente le monde entier, particulièrement la France … et chaque personne en particulier. »
    Or, 1830 est l’année de la fin du règne du dernier « oint » et soixante-neuvième roi de France : Charles X.
    Le Grand Monarque est un Roi, tout a fait réel, totalement homme. Mais ce n’est pas un « fin de race », mais un « début de Race », destiné à nous faire rentrer dans un Nouveau Monde : “une terre nouvelle et des cieux nouveaux”.
    Veuillez m’excuser d’avoir été si long, M. Janva.

  42. VIVE LE ROI !

  43. Droal +1 !!!
    Pour solange, lm de wt et d’autres, différentes dynastie ont fait la France ! Quant celles-ci étaient épuisés elles ont été changés à grands coups de pieds dans le fion ou parce que c’était des molassons ! Le temps des bourbons est révolue ! Ceux qui ont régné, rendons leur hommage, les autres non !!
    Nous pouvons rappeler qu’il s’en fallut de peu pour qu’Henri IV ne monte pas sur le trône ! Peut-être que si cela avait été le cas la France serait encore profondément catholique !

  44. Vive le roi et les petits princes!
    Je bois à leur santé et prie pour la France, donc pour eux.

  45. A Mr Janva: aurais-je oublié de valider mon deuxième commentaire ou l’avez-vous censuré?
    Merci pour votre réponse
    [Je ne le vois pas dans ma base. MJ]

  46. Je n’ai probablement pas validé mon commentaire, j’y soulignais qu’Henri IV ne constituait pas pour moi l’exemple du bon roi et surtout du roi très chrétien tant il passa son temps à changer de religion.

  47. @Solange,
    vous dites que les bourbons pourront consolider ce qu’un gouvernement aura mis d’ordre dans notre pays.
    Je le souhaiterais aussi, mais les notions de gouvernement et d’ordre sont si étroitement liées, avec celles de loi et de peuple, que je crains que les choses ne se passent jamais ainsi.
    vous décrivez une séquence souhaitable d’évènements. mais la réalité c’est que rien ne se déroule de manière linéaire, mais de manière simultanée et en interactions permanentes selon des principes qu’il faut isoler par des définitions précises pour comprendre.
    Napoléon III, a commencé par être président. Napoléon Ier par être premier consul. est-ce qu’un prétendant au trône de France devrait se présenter aux élections ? mais au bout du compte à t-on de cette manière un roi ou un monarque ?
    la vraie difficulté est de savoir ce qu’une république appellerait roi, si jamais venait à l’idée de la majorité d’un parlement d’amender la constitution du pays pour instaurer un roi.
    une telle idée de viendra jamais dans les conditions actuelles, car il n’y a plus de députés monarchistes massivement présents au parlement pour permettre une telle chose en France.
    Vous dites que telle personne, descendante des dynasties précédentes semble conforme et disponible.
    mais disponible à quoi ? pour qui ? et pour quoi faire ?
    je crains que la notion de roi ne soit très floue pour ceux qui tiennent de telles espérances, ainsi s’explique la multitudes de querelles parmi les tenants de telle ou telle personne.
    je comprends que mon propos vous paraisse odieux peut-être, mais il faut se poser toutes les questions et faire face aux objections pour savoir comment et pourquoi on doit agir, sinon on risque de poursuivre une chimère ou pire d’être la dupe de soi-même, par confort affectif et au dénie de la réalité que Dieu nous donne.
    ce prince se dit disponible, à qui s’adresse-t-il au parlement ? à ses fidèles ? a-t-il un intérêt total pour le pays et les gens ou se contente-t-il de faire les unes et les manchette de la presse à reportages. Un roi n’est pas disponible, il est nécessaire ou il n’est pas.
    Cela implique son action et non d’abord sa propre mise en représentation. Le roi n’est visiblement roi que lorsqu’il est oint dans la cathédrale de Reims.
    Charles VII ne se pensait pas disponible lorsqu’il était replié dans Bourges, il doutait de sa légitimité, mais il ne se disait pas qu”il était disponible, il avait mis toutes ses possibilités dans la défense. C’est la parole et les actes de sainte Jeanne d’Arc qui l’on sortit de cette question de légitimité, d’une part parce qu’elle était envoyé par Dieu, ce qui était évident par ses paroles, et ses actes et d’autres part par ce que Dieu non plus ne dissocie jamais ses paroles et ses actes.
    Il lui fait savoir qu’il est légitime et dans les faits tout se passe exactement comme il l’avait dit. il n’a pas trouvé ailleurs que dans l’action concrète et l’attention à Dieu la réponse à son questionnement.
    Je voudrais qu’un prince légitime selon l’ordre de la Charité se présenta, mais je ne confonds pas les coutumes des hommes, et même la conformité aux sacrement de mariage, avec cet ordre.
    ce qui fait la valeur des rois ce n’est pas autre chose que leur correspondance avec l’ordre surnaturel de la charité, non seulement en privé mais aussi en tant que politique à responsabilité royale.
    c’est pour s’ être écarté eux-même de la charité sur le plan privé (Charles VII est le premier de ces rois à avoir eu une concubine officielle ) et y avoir nécessairement entraîné leur peuple que le pouvoir arbitral et décisionnaire de la royauté échappe toujours. cela est évident dans les livres de Samuel. La même chose s’est produit à Versailles.
    Croyez-vous que les sociétés de pensées, auraient eu une emprise réelle sur la société française si le roi avait été irréprochable en privé comme dans son action politique ?
    Ce renversement d’ordre politique n’est pas simplement mystérieux, le mal n’est pas souverain en dépit des apparences, c’est souvent les forces et les êtres de ce monde qui obéissant à l’ordre qui leur est impartie dans la création , qui tout en continuant leur action renverse celui qui s’est cru démesurément autre chose qu’un être fait par et pour l’amour surnaturel, (qu’il en sache le nom ou pas).
    je relisais encore dimanche dernier le testament politique de saint Louis à son fils Philippe tel que le rapporte joinville, le roi préférait voir son pays gouverné par un étranger juste que par un fils légitime injuste.
    ce qui est premier c’est la Charité.
    tous ceux qui l’oublient se croient intelligents parce qu’il suivent le sachant ou non les leçons politiques de Machiavel, ( pour qui la fin pourvu qu’elle soit réputée de grande valeur, justifie tous les moyens) et non celles d’études et de pratiques politiques marquées au coin de l’intelligence surnaturelle.
    je sais que ma sensibilité m’indique parfois intuitivement plus que ce qu’une analyse discursive expose, mais ne tombons pas dans l’illusion, toutes les intuitions ne sont pas bonnes, et lorsqu’on en trouve une qui semble importante nous ne pouvons nous dispenser d’essayer de la comprendre en en faisant l’analyse, par une réflexion qui ne doit pas exclure les objections. c’est une question de probité tant intellectuelle que morale.
    si un roi se présente, cela ne suffit pas, il faut encore qu’il soit une bonne chose pour la société.
    Notre société est très différente du XVIIIe, parce qu’à présent on enseigne que tout est arbitraire, relatif ( c’est à dire constitué de fonction et de relation et de leur description, à l’exclusion d’un être autonome et consistant), nos méthodes de directions d’entreprises, nos méthodes d’apprentissages, le commerce, l’économie, notre cuisine même (c’est cela la “nouvelle cuisine”), la manière dont on élabore et enseigne le droit, à peu près tout par ce que l’on appelle “éducation”, est à présent régie (au sens fort du mot) par cela.
    Si un prétendant à la royauté se présente, et bien il devra d’abord changer cet ordre là, qui constitue la loi même des lois qui sont votée au parlement ou constitue l’intelligence des décrets, décisions et autres actes technocratiques de nos institutions.
    ce ne sont pas des lois que l’on vote, étrangement sans arrêts au parlement, mais des applications techniques, le roi lui agit à un autre niveau, il est le garant, le régisseur, sur sa vie et par sa force que l’esprit même des lois n’est pas hors la Loi.
    aussi ce n’est pas un simple coup de balai législatif, ou le renvoi urgent de certains hauts fonctionnaires, ce n’est pas l’envoi simplement de l’armée dans les zones de non-droit ou le rétablissement de frontières économiques, juridiques et géographiques raisonnables qui pourra changer le problème de la modernité, mais une puissance de travail, une
    force personnelle et des amitiés tellement solides que cela ne peut être que plus qu’exceptionnel.
    cela en fait ne peut être que surnaturel.
    Et par ce mot, n’entendez pas magique, ou occulte, ou une rêverie romantique. le mot de surnaturel a un sens précis comme tous les mots de la langue française, pour peu que l’on s’arrache à des dictionnaires et des discours changeants, construits (constructivisme) selon une vision du monde qui est une guerre faite à la transcendance. (la “relationalisation”, la “fonctuarisation”, de tout ce qui fait la culture, bien plus avec les méthodes globales d’enseignements, la netteté de l’intelligence dans son usage, touche aussi le langage et donc le moyen d’analyser même une intuition juste, )
    Aussi ce n’est pas d’un monarque constitutionnel dont vous et moi avons besoin, mais d’un politique capable de saisir l’opportunité à la manière d’un roi et non autrement.
    et ce politique comme tel ne s’improvise pas.
    Que ce soit le fait d’un seul homme est impossible, il n’y a pas de bon gouvernement sans conseil.
    le Christ, notre seul vrai Roi, n’a besoin que de gens qui soient fidèles à eux-mêmes, car l’ordre qui est en nous, renversé dans le bon sens car racheté par la croix n’est pas bâtie de toutes les façons sur le mal, mais est le Bien.
    Etudiez les prophéties est intéressant, mais plus encore étudier, le droit, la stratégie, cultiver l’art d’être des parents et des époux justes et bons, connaître la morale, étudier la logique, l’histoire, les sciences, la cuisine, les langues étrangères, et la grammaire, acquerrir des savoirs pratiques, étudier la foi catholique à travers les catéchismes intangibles et les docteurs de l’Eglise (car eux vous donneront le sens du Magistère, ce sentire cum ecclesia, qui fera toujours défaut aux faux prophètes), c’est cela qui établira dans votre vie et pour votre génération le Règne public et visible du Christ-Roi.
    et ce n’est que sous un tel Roi, que le régime changera pour le bien.
    Alors peut-être y aura-t-il un homme pour ne pas trahir l’amitié qui seule établie la société véritable.
    Le degré de complexité est tel dans les institutions et les doctrines qui gouvernent la société présente, que vous ne pouvez même pas exclure que l’on berce certains dans des rêveries politiques chimériques, que l’on invente des associations et des prophétie (à la manière du marketing viral) juste pour éviter qu’un tel homme ou un ensemble d’hommes se présentent avec un peuple d’amis assez unis pour tout d’un coup contre toute attente il fasse l’histoire.

  48. @ lm de wlt,
    Rome a tout à fait reconnu valide le secret de La Salette : c’est l’évêque de Grenoble, CONTRE l’avis du pape et des cardinaux présents, qui s’y est opposé…
    Seule l’immense mansuétude de Léon XIII l’a empêché de le punir… alors même que les cardinaux présents l’engageaient à le faire !
    D’un autre côté, on peut largement supposé que cet évêque, ainsi que tout le clergé qui l’a soutenu, était la cible des déclarations de la Sainte Vierge… ce qui explique largement l’hostilité de cette partie du clergé à ne reconnaître que la partie des apparitions qui les confortaient…
    La déclaration de la Sainte Vierge est toujours d’une brûlante actualité…
    Mélanie, priez pour nous !
    Priez pour nous, ô notre Mère, afin que nous ayons un clergé à la hauteur du magnifique sacerdoce qu’ils portent !

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