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Culture de mort : Euthanasie

L’Ordre des médecins encourage l’euthanasie

L'Ordre des médecins des Pyrénées-Atlantiques a décidé de ne pas porter plainte devant la chambre disciplinaire du Conseil régional de l'Ordre contre l'urgentiste de Bayonne soupçonné d'euthanasie.

Son président, le Dr Marc Renoux, a indiqué qu'il se "désolidarisait" de cette décision prise à la majorité à bulletin secret, expliquant qu'il la "respectait" mais affirmant qu'il en avait "honte" car elle "bafoue le droit".

Si vous avez des parents âgés à conduire à l'hôpital pour un malaise quelconque, il est désormais conseillé de se méfier.

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16 commentaires

  1. Ponce Pilate fait des émules.C’est scandaleux ,mais pas étonnant quand on sait le grand nombre de médecins qui fréquentent les loges pro-mort.C’est une honte pour tout le personnel de santé.Jeunes ou vieux,en entrant aux urgences, perdez toute espérance.Faites bien votre testament….

  2. L’on peut imaginer aisément que les membres qui en font partie, sont aussi frères de Loges….

  3. Autre information toute aussi intéressante diffusée à 13hres (Antenne 2): Un chirurgien dentiste de La Rochelle qui refuse de soigner un malade du Sida par crainte des risques de contamination de lui même et de ses autres patients fera, selon le porte parole du conseil de l’ordre de Charente, l’objet de poursuites devant la commission de discipline de ce même conseil.
    Je ne me prononce pas sur le bien fondé de la position de ce dentiste, il a cependant très justement renvoyé ce patient vers le CHU mieux équipé qu’un praticien libéral pour prévenir les risques. Je constate seulement la différence de traitement réservée aux uns et aux autres.
    Pauvre pays.

  4. Bafoue le droit, bien sûr, mais bafoue surtout la loi morale la plus élémentaire “Tu ne tueras point…”.
    Mais la gangrène du corps médical (heureusement, il y a des exceptions) est bien plus avancée que l’on pense. Le jour n’est pas loin, il est peut-être déjà venu, où plus personne ne pourra faire confiance aux médecins. Son ordonnance est-elle pour mon bien ou pour m’endormir en douce ? Sa seringue contient-elle mon salut, ou ma mort ?
    Et le serment d’Hippocrate, allègrement bafoué par ces docteurs de merde ?

  5. Ou au contraire, si vous avez des parents dont vous attendez impatiemment un bel héritage, il est désormais possible de les confier…
    Bienvenue au XXIème siècle: progrès et modernisme qu’ils disaient!

  6. “le Conseil du désordre des médecins”, autre avatar et non des moindres , de la révolution, mère de la “religion du Progrès contre l’humanité.

  7. Décision futile et sans impact pour 3 raisons :
    – dans des faits aussi graves, de toutes manières, l’interdiction définitive d’exercer sera prononcée comme peine accessoire par les Assises (le contraire est impensable vu que les crimes ont été commis dans l’exercice de la profession)
    – le conseil départemental n’est pas le seul à avoir l’initiative des poursuites ordinales. le procureur et le préfet l’ont aussi, donc l’Etat pourra de lui même initier des poursuites ordinales (de toutes manières superflues!).
    – une condamnation judiciaire pour des faits aussi graves doit forcément entraîner la radiation de l’Ordre par décision administrative de l’Ordre, sans qu’il y ait de procédure disciplinaire, au nom du critère de moralité indispensable à l’inscription comme au maintien sur le tableau de l’Ordre.
    Il y a 100% de chances que cette affaire aboutisse à une condamnation lourde, car les victimes n’ont nullement manifesté leur volonté d’euthanasie, ou alors pas de manière répété. Pire, le fait que l’admission en soins palliatifs fut acquise, et le contexte invraisemblable de ces euthanasies (= dans le service d’urgences, c’est à dire sans aucun contact précédent avec les patients ni leur famille) sont aggravants et font réellement passer Bonnemaison pour un “ange de la mort” et non pour une personne ayant suicidé les gens à leur demande.
    Et même si Bonnemaison bénéficie d’une impudente clémence de la part de la Justice, il est tout bonnement impossible qu’il conserve son droit d’exercer.

  8. Ce n’est pas d'”euthanasie” qu’il s’agit en l’espèce mais bien d’exécution de malades en fin de vie.

  9. Vous vous scandalisez beaucoup pour pas grand chose. Si votre inquiétude est de revoir Bonnemaison “euthanasier” des gens au fond d’un service d’urgence, sans leur consentement, détrompez vous. Il perdra de toutes façons son droit d’exercer et ce pour 3 raisons :
    1. Dans une affaire pareille, l’interdiction définitive d’exercer sera de toutes façons prononcée comme peine accessoire par les Assises. Le contraire est impensable vu que les faits ont été commis dans l’exercice de la profession. Pire il a “soulagé” les gens sans leur consentement voire sans les connaître (contexte des urgences, etc.), donc il est beaucoup plus proche de l'”ange de la mort” que du gentil médecin qui soulage SES patients en fin de vie.
    2. Le conseil départemental de l’Ordre n’est pas le seul à avoir l’initiative des poursuites. Le Préfet, le directeur de l’ARS et surtout le Procureur l’ont aussi. Si ces poursuites sont vraiment nécessaires (et elles ne le sont pas, cf. la suite), elles seront lancées.
    3. Si Bonnemaison est condamné au pénal pour des faits aussi graves que l’homicide, il sera de toutes façons radié administrativement en raison du critère de moralité pour l’inscription et le maintien au tableau de l’Ordre. On ne peut pas exercer en étant condamné pour meurtre. Si le conseil départemental passait outre, il suffirait d’UN médecin pour faire un recours au TA ou au Conseil national pour casser la décision d’inscription.
    Pour ces 3 raisons, il est impossible que Bonnemaison ne soit pas radié ou interdit définitivement d’exercer.
    Maintenant, sur le fond : les procédures disciplinaires sont futiles dans les cas aussi graves. C’est comme si on se scandalisait qu’un élève de Terminale ayant massacré un camarade au lycée ne soit pas traduit devant le conseil de discipline du lycée : le simple fait qu’il soit incarcéré l’exclut déjà du lycée!
    Les poursuites à l’ODM doivent être réservées aux faits mineurs, aux faits non qualifiables pénalement, et aux affaires prescrites (la prescription n’existant pas en matière ordinale). Quand l’ODM accepte de poursuivre dans un contexte où des poursuites pénales existent déjà, il suspend de toutes façons sa décision au jugement pénal, car il a l’autorité de la force jugée sur l’instance ordinale.
    C’est ça qu’il faut garder à l’esprit en voyant une telle décision… elle n’est pas nécessairement une acceptation de ces actes, mais tout simplement un constat que les faits sont si graves que la procédure disciplinaire est futile et vaine, l’affaire devant rester dans les mains de la Justice. Dans des cas pareils, les médecins doivent se désaisir du droit de juger leurs pairs, et confier le soin de faire justice aux magistrats et aux jurés.

  10. j’ai encore ma grand-mère, mon père et mes beaux-parents…. et l’hôpital le plus proche de chez nous (nous habitons tous la même ville)…………….c’est Bayonne ! Cela va virer à l’angoisse chaque fois qu’ils auront un problème de santé !! 80% des soignants ayant manifesté en faveur de l’assassin !

  11. Je connais une grand-mère néerlandaise qui s’est installée voici 15 ans en France, de peur d’être “piquée comme un chien” (ce sont ses propres termes) dans son pays d’origine.
    Maintenant, elle n’a plus qu’à trouver des cieux moins favorables à l’Etat nazi, pardon, l’euthanasie.

  12. Il y a bien longtemps déjà que je ne fais plus confiance à certains médecins, ils ont le stylo facile pour marquer les médicaments, il faut bien plaire à ces pôvres labos, sinon ils feraient faillite!!!!! donc je trie et je recherche ceux qui sont pro-vie mais il est vrai qu’à l’hôpital c’est un autre problème.

  13. Pour ma part, je ne me ferai pas soigner dans les Pyrénées-Atlantiques : trop dangereux !

  14. @ Thomas SXB,
    Que ce médecin ne puisse plus exercer serait une bonne chose mais ce qui est inquiétant c’est la prise de position des autres soignants qui ont marqué leur soutien à 80%, et ont mis à l’écart (parfois en insultant) la dizaine d’infirmières qui ont dénoncé ces meurtres. Dans l’histoire, celles qui se cachent, celles qui sont suivies médicalement et psychologiquement ce sont celles qui ont fait leur travail !! Honnêtement !

  15. Des médecins tueurs cessent d’être médecins, ils deviennent tout simplement des tueurs sophistiqués.

  16. Un de mes enfants est décédé dans ce département et surprise j’ai retrouvé des détails de son autopsie sur internet….le “médecin” en avait fait profité un tiers..alors que moi-même je n’en avais pas eu connaissance, ma plainte auprès de l’OdM n’a pas abouti…ce médecin étant parait-il très malade..Un de ses confrères m’a dit que j’avais à faire à une langue de P…Pauvre département….

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