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Homosexualité : revendication du lobby gay

L’homofolie du Conseil de l’Europe

Dans un article, le secrétaire général du Conseil de l’Europe, Terry Davis, s’insurge contre l’homophobie, en comparant un peu rapidement les homophobes aux… nazis ! Il accuse notamment :

"des maires, des parlementaires et mêmes des ministres – sont les premiers à exprimer et promouvoir des idées homophobes. Beaucoup d’individus ayant une autorité morale approuvent, voire encouragent la haine contre les gays et lesbiennes".

Le commissaire aux Droits de l’Homme, Thomas Hammarberg, constatant que les "politiques homophobes sont en recul" puisque de nombreux pays autorisent le mariage et l’adoption (!), fait des propositions :

"[L]a Cour s’est prononcée contre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle dans l’octroi de la responsabilité parentale. La Cour s’est montrée plus prudente sur la question de l’adoption […] Mais, l’approche la plus évidente sous l’angle des droits de l’homme est que les homosexuels devraient avoir les mêmes droits que les autres adultes d’être considérés comme des candidats à part entière lorsque sont prises des décisions quant au meilleur parent adoptif d’un enfant avec un tel besoin. […]

Il faut prendre d’autres mesures pour protéger les droits de l’homme des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles : […]
Il faudrait revoir l’enseignement de l’histoire pour mettre sous un éclairage objectif les crimes nazis contre les membres de la communauté LGBT, de même que d’autres aspects du traitement injuste dont ils sont les victimes ;
L’enseignement scolaire devrait inclure une information objective sur l’homosexualité et encourager le respect pour la diversité et les droits des minorités ; […]
• Les tribunaux, les médiateurs et les autres institutions indépendantes de défense des droits de l’homme doivent s’attaquer en priorité à la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle."

Michel Janva

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5 commentaires

  1. Et on apprend que sur sa photo officielle de Président de la République Française,ce ne serait pas sur un arrière plan de drapeau national français que figurerait N. Sarkozy , mais devant un drapeau européen : ainsi, sur le plan du symbole, comme de la réalité de son pouvoir, les choses sont claires.
    A noter : aux USA, état fédéralisé,les gouverneurs américains des états américains, ainsi que leurs équipes, lieutenant gouverneur, attorney général, secrétaire d’état, etc….se font photographier devant le blason de l’état, uniquement.
    Sans la bannière étoilée, à laquelle pourtant sont tant attachées les citoyens américains.
    Cela prouve que dans la CE, M. Sarkozy, président de la République Française, état théoriquement souverain, a moins de pouvoirs dans l’Union, que M. Schwarzenegger, gouverneur de Californie, état non souverain, membre d’une fédération, n’en a aux USA.

  2. Ce davis et cet hammarberg résument le type même du politicien complétement amoral, qui utilise l’émotion pour répandre partout la face hideuse du vice.
    Je ne suis pas représenté par de tels individus; leurs discours sont pervers et immoraux.

  3. Est-ce qu’il restera un peu de temps aux enseignants, tribunaux, médiateurs et autres institutions indépendantes de défense des droits de l’homme pour s’occuper des choses sérieuses ??? ;-)

  4. “La déshumanisation des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT) n’a pas disparu avec la fin du régime nazi qui a arrêté quelque 100.000 personnes en raison de leur orientation sexuelle présumée et envoyé plus de 10.000 d’entre eux dans les camps de concentration. Les groupes d’extrême droite continuent d’inciter à la haine et à la violence à leur égard. Dans les débats publics, les vieux « arguments » contre les homosexuels ont la vie dure. Dans ces conditions, il est extrêmement important que les hommes politiques, les chefs religieux et les autres guides d’opinion se battent pour le principe selon lequel tous les individus ont des droits de l’homme, quelle que soit leur orientation sexuelle.”
    Également disponible sur le site du Commissaire, sur http://www.commissioner.coe.int ».
    L’auteur du texte sous prétexte de droits de l’homme veut imposer une idéologie.
    Il tente, parce que les nationaux-socialistes auraient (cela est contesté) lutté massivement contre l’homosexualité, de sacraliser les comportement homosexuels.
    Il donne des injonctions idéologiques aux “chefs religieux”, il faut non seulement qu’ils confessent l’idéologie de ce Monsieur, mais qu’ils se “battent pour”. Est-ce sous peine de prison, ou de destitution par ce Monsieur ? Et la liberté religieuse dans tout cela ?
    Je raffolle aussi du raisonnement selon lequel il serait dénié leurs droits humains aux “homosexuels”. Vous êtes “homosexuel”, alors on vous tue, où est-il allé chercher ça ?
    “Il faut prendre d’autres mesures pour protéger les droits de l’homme des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles”
    Comme si le droit à la vie, ou à la liberté d’opinion et d’expression étaient en jeu. Le droit des enfants est évidemment totalement passé sous silence par ce “commissaire”.
    Sans doute au nom de son idéologie va-t-il prôner l’interdiction de la bible
    Lévitique XVIII, 22
    “22 Tu ne coucheras pas avec un homme comme on fait avec une femme : c’est une abomination.”
    A moins qu’une lecture liberticide de l’article 9 de la Convention Européenne des droits de l’homme ne soit à l’origine de ce totalitarisme :
    “Article 9 – Liberté de pensée, de conscience et de religion
    1. Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, l’enseignement, les pratiques et l’accomplissement des rites.
    2. La liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.”
    On arrive ainsi à limiter voire anéantir la liberté religieuse, au nom de concepts vides de sens juridiques comme “homosexuel” ou “orientation sexuelle”. Car aucun des ces deux mots n’a de définition légale. Faudrat-il un brevet d’homosexualité ?
    On arrive à lier les populations et les gouvernements au profit d’associations privées qui promeuvent la débauche.
    On agite l’épouvantail du nazisme (sans aucune preuve) dans l’espoir de fermer la bouche aux opposants, car le nazisme est un délit. Moïse n’a rien à voir avec le nazisme. Les agissements de voyous avinés n’ont rien à voir avec Moïse. Les insultes, coups et blessures (etc.) doivent être réprimés, où est le problème ?
    En route vers la servitude, la suppression de la liberté de pensée, par l’affaissement intellectuel et au nom des droits de l’homme, qu’on viole en réalité sans vergogne.

  5. Premièrement, une lecture a contrario de :
    “Beaucoup d’individus ayant une autorité morale approuvent, voire encouragent la haine contre les gays et lesbiennes”
    Donc, doit-on en déduire que ceux qui réclament à tue-tête le mariage et l’adoption homosexuelles, n’auraient, de leur propre aveu… aucune autorité morale ?
    Deuxièmement, une information objective sur l’homosexualité dans l’enseignement scolaire… : abordera-t-elle la réalité du rapport homosexuel devant les élèves du secondaire ?
    [voir à ce sujet, relayé par e-deo et extrait du blog de David Fontey : une jeune Américaine de douze ans choquée par la vision… en classe… du film “Brokeback Mountain”
    http://davidfontey.blogspot.com/2007/05/homofolie-lecole.html ]
    Enfin, n’y a-t-il pas un fossé entre l’idéologie NS, ses agissements (dont l’étoile rose) et l’expression objective et philosophique de ce que l’homosexualité “pourrait” être “contre-nature”, et de ce qu’elle pourrait “préjudicier” au salut de quelqu’un ?
    Est-ce haïr quelqu’un que de désirer son salut ?
    Blanche de Castille aimait son fils et c’est pour cela qu’elle disait qu’elle préférerait le voir mort que coupable d’un seul péché mortel ; Monique et Clotilde n’applaudissaient pas aux erreurs et égarements de leur fils et mari, mais elles priaient avec persévérance pour leur conversion ; Monique, par songe, savait que Augustin devait venir à elle et non l’inverse ; et nul ne doute que la poutre où elle siégeait représentait la solidité de sa foi.
    Je serais dès lors heureux d’être voué aux gémonies pour avoir citer le chapitre 18 de la Genèse, le Lévitique, saint Paul, saint Augustin… sans haine aucune mais parce que je crois que ce qu’ils ont professé est la vérité.
    D’ailleurs, nul ne s’y trompe : saint Augustin est enseigné en philosophie, y compris en Terminale (aurais-je mal lu le chapitre VIII du livre III des Confessions ?), et nul n’irait prétendre qu’on y enseigne les thèses du national-socialisme !
    Donc, je veux adhérer à ce qu’enseignaient ces saints et prophètes admirables à la famille desquels j’espère humblement appartenir… Rien à voir avec Goebbels ou Himmler !
    Par ailleurs, en quoi la vérité de l’Eglise, si elle n’était pas la vérité, serait-elle plus mauvaise que celle du monde ? N’a-t-elle pas le droit, elle aussi, à une libre expression ?

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