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L’homme ne peut trouver le vrai bonheur que dans le respect de la Loi naturelle

Extrait de l'homélie prononcée le 25 octobre par le père Bernard Domini, modérateur de la Famille Missionnaire de Notre-Dame, à propos du mariage et de la famille :

"(…) J’ai rappelé à la Messe d’hier soir l’une des dernières prophéties de Sœur Lucie de Fatima : la bataille finale entre le Seigneur et le règne de Satan portera sur le mariage et la famille. Nous sommes dans le temps de cette bataille finale. Les idéologues du Gender veulent imposer à tous les Etats du monde la déconstruction de la famille, la défiguration de l’amour, la désacralisation de la vie. Mais ils échoueront car la Vierge Marie a écrasé la tête du serpent !

Les Médias, pendant les trois semaines du Synode qui se conclut en ce moment, ont laissé croire que l’Eglise allait enfin changer les lois du mariage et de la famille et s’ouvrir aux valeurs de la post-modernité et du « meilleur des mondes » ! Mais l’Eglise ne changera pas car Jésus ne change pas, l’évangile ne change pas, Dieu ne change pas !

Si l’Eglise ne change pas, elle n’en est pas moins une Mère miséricordieuse, qui se penche sur tous ses enfants qui souffrent, qui voit avec un cœur serré tant de familles blessées, divisées, recomposées. Que de drames familiaux aujourd’hui ! Comment venir en aide à ces familles ? En leur rappelant le beau plan de Dieu sur la famille, l’amour et la vie et en les invitant à s’ouvrir au Cœur Miséricordieux de Dieu. Rien n’est impossible à Dieu ! Jésus a conquis le cœur de Marie Magdeleine, de la Samaritaine et de la femme adultère. Toutes les trois se sont converties. Dieu leur a beaucoup pardonné parce qu’elles ont beaucoup aimé Jésus ! Voilà la bonne nouvelle que nous devons proclamer en cette prochaine année sainte de la Miséricorde ! Paul VI, dans l’Encyclique Humanae Vitae, avait dit que l’homme ne peut trouver le vrai bonheur que dans le respect de la Loi naturelle dont Dieu est le fondement.

Rappeler la loi de Dieu, ce n’est pas condamner les pécheurs mais leur ouvrir la porte du Salut, de la vraie liberté et de la joie dans l’Esprit Saint (…)"

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8 commentaires

  1. Tout est dit. Merci père Domini.

  2. A envoyer à tous nos évêques, à afficher sur les portes des églises, bref à diffuser partout en surlignant la dernière phrase…parce qu’il y en a marre d’entendre la promotion du relativisme au sein même de l’Eglise !

  3. Si “les Médias ont laissé croire que l’Eglise allait enfin changer les lois du mariage et de la famille”, qui en est le principal responsable? Je vous laisse deviner.

  4. Le chef de l’Eglise va-t-il entendre raison face à l’évidence ou va-t-il donner un coup de poignard dans le dos au Christ?

  5. L’homme ne peut trouver le bonheur que dans le respect de la loi EVANGELIQUE.
    Ainsi l’Eglise a-t-elle toujours parlé, car en raison du péché originel et du péché actuel qui affecte les hommes, la loi naturelle ne peut être suivie dans la grâce de la loi évangélique.
    Poursuivre le respect de la loi naturelle sans la loi évangélique, c’est l’hérésie du NATURALISME.

  6. Rien dans les résultats du synode, bien au contraire, ne vient conforter une option d’ouverture de la communion aux divorcés remariés (ne pratiquant pas la continence).En effet :
    1. Le synode n’a pas permis de dégager la majorité requise en faveur d’une ouverture de la communion aux divorcés remariés (ne pratiquant pas la continence).
    D’abord, le mot même de communion n’apparait pas dans le texte final du synode !
    Par ailleurs, le nombre de ceux qui ont voté pour l’adoption des numéros 84, 85, 86 spécialement concernés par cette question (sans qu’elle soit explicitement dite comme on vient de le noter) ne dépasse que de peu la majorité requise et même pour le 86 d’une voix seulement en incluant celle du pape qui a voté pour ! Or il est évident que parmi ceux-là, beaucoup ne veulent pas aller jusque là, mais acceptent une évolution pastorale n’incluant pas la communion.
    2. Le synode n’a pas non plus permis de dégager, en faveur de cette ouverture, des pistes susceptibles de la justifier, bien au contraire.
    En témoigne de manière flagrante le texte des numéros consacrés aux divorcés remariés.
    Le texte synodal met l’accent sur deux orientations, d’ailleurs déjà présentes dans le 84 de Familaris consortio. La première, faisant l’objet de son n° 84 (remarquons la rouerie délicate d’avoir donné le même numéro qu’à celui de Familiaris consortio ci-dessus évoqué)…), est de promouvoir, pour que les personnes concernées ne puissent se sentir séparées de l’Église, toutes les formes possibles de leur participation à la vie ecclésiale. La deuxième orientation, faisant l’objet de son n°85, est de porter toute l’attention nécessaire à l’accompagnement des personnes intéressées dans un travail de discernement, en conscience, sur les situations et les responsabilités en cause. Le n°86 préconise le développement d’un dialogue avec un prêtre qui puisse conduire à la formation d’un jugement correct, en conscience, sur les conditions d’évolutions possibles quant à la participation à la vie de l’Église.
    Il doit être observé que le texte synodal ne mentionne pour autant nullement une quelconque possibilité d’évolution de la discipline dans le sens d’une ouverture de la communion, aussi limitée et adaptée au cas par cas fût-elle, aux personnes divorcées remariées ne pratiquant pas la continence.
    Il est vrai que cela est impossible, selon l’Écriture et l’enseignement constant du Magistère ecclésial ! Qui plus est, toutes les références sur lesquelles s’appuie le texte synodal pour fonder et éclairer ses préconisations vont dans le sens contraire.
    Ainsi la référence à Familiaris Consortio en son n°84 est à cet égard particulièrement significative, certes par l’autorité de son auteur qui n’est autre que saint Jean-Paul II lui-même, qualifié par notre Saint-Père actuel de pape de la famille, et canonisé à la veille de l’ouverture de l’étape finale du synode, mais aussi par le fait que l’exhortation apostolique post – synodale de Jean-Paul II avait, dans son paragraphe 84, énoncé déjà les attentions pastorales à promouvoir vis-à-vis des divorcés remariés mais avait redit l’impossibilité d’ouvrir l’accès à la communion aux personnes vivant en adultère.
    Quant au Catéchisme au n°1735, qui se rapporte à l’imputabilité et à la responsabilité des actes commis, on ne saurait en tirer l’ouverture à la communion puisque le même Catéchisme, en son n° 1650, exclut cette possibilité!
    Enfin, au 2a de la Déclaration du Conseil Pontifical pour les textes législatifs, qui parle aussi de l’imputabilité des actes, c’est pour déclarer qu’en ce qui concerne la définition des conditions requises pour que le péché en cause entraine l’impossibilité d’admettre à la communion celui qui l’a commis sans toujours se repentir ou qui continue de le commettre, c’est la compréhension objective seule, et en aucune manière l’imputabililité subjective qui doit être retenue.
    Ainsi donc, prétendre INTERPRETER LE TEXTE SYNODAL comme susceptible d’ouvrir la voie, moyennant un approfondissement ultérieur, à des OUVERTURES AU CAS PAR CAS DE L’ACCES A LA COMMUNION POUR DES DIVORCEES REMARIES (NE PRATIQUANT PAS LA CONTINENCE) relèverait, puisque toutes les références que contient ce texte vont en sens exactement inverse, relèverait de la MALHONNETETE LA PLUS GRAVE qui puisse être eu égard à la gravité extrême du sujet concerné.

  7. Regardez combien depuis VATICAN II apparaît le Mot REPENTIR, dans les Catéchismes de l’Église Catholique. A croire que je suis sans péché, voyez les files innombrables de personnes faisant la queue devant le Confessional. Ça coûte cher ? Mais combien chez le psy, à se laisser manipuler…

  8. Bien résumé!
    Vivre en accord avec La Loi Naturelle ; c’est l’unique solution.

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