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France : Société

L’heure des comptes pour Pfizer et son insolent président ?

L’heure des comptes pour Pfizer et son insolent président ?

De Pierre-Antoine Pontoizeau pour le Salon beige:

Le professeur Delfraissy vient de livrer le pot aux roses dans une intervention sur France Info. Ce n’est pas un vaccin, c’est un médicament qui protège. Voilà un aveu. On a donc inoculé à leur insu à des milliards de personnes bien portantes un « vaccin-médicament » pour quelques dizaines de milliards d’euros, en pensant protéger une infime minorité des populations des risques de formes graves.

Delfraissy avoue que c’est un « vaccin-médicament »

L’aveu du professeur Delfraissy est glaçant. Comment peut-on continuer à soutenir une stratégie vaccinale pour un produit qui n’est pas un vaccin ? Comment peut-on dénommer un passe vaccinale quand on sait que le produit n’en est pas un ? Comment peut-on soutenir d’obliger à une thérapeutique des millions de français qui ont donc été abusés, alors qu’ils n’avaient rien ? Et maintenant, le réemballage marketing des thérapeutiques déjà connues va donc satisfaire encore la cupidité de quelques laboratoires.

On touche au summum du cynisme. En effet, après avoir dit qu’il n’existait pas de médicament, après avoir imposé des pseudo-vaccins pour des milliards d’€uros, les mêmes experts, sans remord ni impression d’être décrédibilisés, soutiennent que des médicaments des mêmes laboratoires vont pouvoir soigner les malades. Incroyable.

Farage demande des comptes aux escrocs

Dans le même temps, le leader politique Nigel Farage, inspirateur du Brexit, vient d’annoncer que les enquêtes sur la réalité des décès liés au Covid aboutissaient à 17.371 décès et non les 153.000 recensés avec excès. Cela donne moins de 9.000 décès Covid par an dans un pays où environ 600.000 personnes meurent chaque année pour 67 millions d’habitants. Nigel Farage interroge donc la folie des 400 milliards de livres dépensées en indemnités économiques liées aux confinements absurdes et aux conséquences destructrices des décisions sanitaires sur la santé, les souffrances, les retards éducatifs et les restrictions insensées des libertés. Il appelle au débat public et à l’examen critique de ces folles décisions : destructrices et ruineuses.

Les « complotistes » avaient raison car désintéressés

Tout ce que nous avons écrit depuis des mois sur les faits connus dès l’origine s’avère fondé. Ce n’est pas un vaccin, c’est à peine un médicament qui pose alors des problèmes juridiques en matière de responsabilité et de médecines illégales des Etats en violation de tous les droits et conventions. Ce sera demain un autre fait. Il est interdit d’inoculer un médicament à un bien portant sans diagnostic ni ordonnance. Cela a été fait sur des milliards de « victimes » de cette escroquerie. Les professeurs sans aucun conflit d’intérêt avaient bien évidemment raison. Tout se dévoile et Delfraissy ne peut plus dire autre chose tant les faits sont là. En effet, des dizaines de millions de Français contractent les derniers virus, vaccinés ou non-vaccinés. C’est la déroute.

Le président de Pfizer Albert Bourla perd ses nerfs

Et dans le même temps, ces jours derniers, le président de Pfizer, en voyage en Israël, se croit en position d’accuser ses détracteurs d’être des criminels. Le laboratoire le plus condamné par la justice américaine pour des milliards de dollars pour publicités mensongères, corruptions, etc. serait autorisé à nous traiter de criminels ; lui qui a peut-être plusieurs dizaines de milliers de morts sur la conscience, et qui a soigneusement préparé les clauses de ses contrats, le dédouanant, pense-t-il, de toute responsabilité. Fascinant d’audace. Les réactions sur les réseaux sociaux montrent que la cupidité choque quand elle devient à ce point violente et amorale.

Joseph Stiglitz donne la réponse : seul l’argent compte

A y réfléchir, toute personne raisonnable commence à comprendre le puzzle. A cet égard, je relisais dernièrement La grande désillusion du prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz. Le prestigieux économiste y étudie les décisions des institutions financières internationales dont le FMI et la Banque Mondiale. Sa conclusion est terrible. Jamais, dit-il, les politiques économiques imposées aux Etats n’ont servi à redresser ces Etats et à protéger ou développer les populations. Stiglitz dit que les décisions sont de ce point de vue incohérentes, illisibles. Mais il nous livre lui aussi le secret.

Il suffit de faire l’hypothèse que ces politiques ont pour but l’enrichissement des banques, des bailleurs et créanciers qui veulent à tout prix retrouver leurs fonds et profiter de la situation pour être des prédateurs économiques, jusqu’à laisser exsangues les pays conseillés par les institutions. Là, toutes les décisions deviennent intelligentes et cohérentes. C’est en effet leur but.

La cupidité criminelle est le seul moteur

Nous sommes en train de découvrir qu’il n’y avait pas de raison à ruiner nos pays par des confinements inutiles. Nous apprenons que le vaccin n’en était pas un mais qu’il aura permis de piquer des milliards de personnes pour des milliards de revenus.  Je suis tenté d’adopter la méthode de Stiglitz. A qui profite cette gigantesque escroquerie ? A des acteurs économiques qui veulent absolument contraindre les démocraties d’adopter des systèmes informatiques de contrôle des populations qui représentent des revenus considérables avec des laboratoires enrichis à coup de milliards, eux aussi.

Les Etats peuvent ruiner leur système de protection sociale, s’endetter et affaiblir le système immunitaire de milliards de personnes. C’est une aubaine, il faudra prêter, encadrer, soigner encore. Stiglitz a raison de dire que le capitalisme est devenu fou. C’est la lèpre qui dévore l’Occident et ses Etats jusqu’à consumer les populations. Ces entreprises vendent toutes de l’addiction : addiction aux jeux, addiction aux réseaux sociaux, addiction aux médicaments, etc. Le consommateur addicte est un esclave de ces mafias capitalistes.

L’enjeu de la présidentielle, une position claire

Si Nigel Farage a une fois encore le courage d’exiger un débat politique libre et franc, nous attendons que les leaders politiques qui prétendent à la fonction présidentielle soient rapidement clairs à ce sujet. La dépense de plus de 300 milliards devra trouver des responsables et des payeurs, mais certainement, ni les Français, ni la sécurité sociale. Les corrupteurs devront être les payeurs et cette fois, il s’agira de démanteler ce capitalisme cupide. Sinon, nos candidats seront comme leur illustre prédécesseur Sarkozy, un complice qui ne sanctionna pas le système bancaire américain à la hauteur de son crime économique.

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10 commentaires

  1. Un médicament ? Qui aggrave l’épidémie…
    Ce n’est pas la notion que j’ai d’un médicament.

  2. Le mieux est de parler de “passe carcéral”,
    Il n’a rien de vaccinal ou sanitaire…

    • Bien vu pour un régime d’apartheid. Les vaccinés sont des gens qui ont ‘le sang pur’. Spike circule en eux, leur sang devient bleu, ce sont des nobles qui reçoivent alors un privilège alors que les manants regardent avec les vaches les TGV passer.

  3. Je ne suis pas certaine que la cupidité soit leur seul moteur … il y a aussi : étendre leur pouvoir sur les populations par fichage, puçage, sinon pourquoi chercheraient-ils à faire du 100% d’injectés ?

    • je crois qu’il y a aussi le fait d’habituer la population au fait qu’il y a désormais des “bons citoyens responsables”, les vaccinés c’est-à-dire ceux qui obtempèrent aux injonctions gouvernementales, et les “mauvais citoyens irresponsables”, les non-vaccinés. on nous habitue à l’idée qu’en fonction de notre degré d’obéissance aux mesures de l’Etat on est plus ou moins citoyen, on a plus ou moins de droits (de circuler, de faire des choses). il sera désormais facile de donner plus de droits à ceux qui roulent en voiture électrique ou qui satisfont à n’importe quelle nouvelle mesure validée par des scientifiques complaisants, qui sont désormais les garants du seul discours réputé “rationnel”.

      • Très bien senti. C’est la réalité classique du bouc émissaire, de l’exclusion païenne du lépreux. Le pharisien change de trottoir quand il aperçoit un samaritain et l’oblige même à ne pas entrer dans une pièce où il est. Les sangs spikés se croient supérieurs car la gouvernance mondiale leur fait croire cela. Alors qu’en réalité ils sont des ‘sangs contaminés’ au spike, des transhumanisés, des Trans souvent en transe pour jouer sérieusement leur rôle de supplétifs de la police d’Etat.

  4. ASSUÉTUDE, pas addiction !!!!!

  5. L’Eglise institutionnelle serait donc complice.

  6. Qu’en pense le Pape qui fait vacciner à outrance? Il ferait mieux de s’occuper du délabrement de l’Eglise auquel il contribue. Et les évêques suiveurs invétérés de ce gouvernement de pieds nikelés qu’en pensent-ils?

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