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France : Société

L’extrême-gauche criminelle fait plier la justice

Lu dans Présent :

"Ce mardi, devait débuter le procès de neuf militants d’extrême-gauche accusés d’avoir mis le feu à une voiture de police – occupée par deux policiers – le 18 mai 2016 sur le quai de Valmy, à Paris. L’agression avait eu lieu lors d’une manifestation de policiers dans la capitale, ces derniers dénonçant une énième fois leurs difficiles conditions de travail et le laxisme judiciaire à l’égard de ceux qui les agressent régulièrement.

Les deux fonctionnaires de police s’en étaient sortis indemnes mais les neuf agresseurs risquaient initialement la cour d’assises pour tentative de meurtre sur policiers. Le parquet avait finalement abandonné ces charges criminelles dans ses réquisitions du 12 mai.

Rendez-vous était pris à la XIVe chambre correctionnelle à 13 h 30 et les « antifas » étaient nombreux. Trop nombreux, si bien que tous – et même les journalistes – n’ont pu entrer dans la salle pour assister au procès. Ils se sont donc mis à hurler, à l’extérieur, pour empêcher la tenue de ce dernier. L’argument était pourtant fallacieux : ils réclamaient une salle plus grande parce que le procès était public. Sauf qu’un procès public est un procès où l’on accueille du public, et non pas où il est nécessaire d’accueillir tout le public. Mais leurs hurlements incessants ont fait effet : le procès a finalement été suspendu : il devait donc reprendre le lendemain dans une autre salle, plus grande. Avant d’être suspendue, l’audience avait déjà été interrompue deux fois en raison des protestations des avocats de la défense. […]"

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9 commentaires

  1. La justice a sans doute pu “plier” sans trop d’effort.
    Elle a l’échine souple dès qu’il s’agit de la gauche.

  2. Elle s’abaisse d’autant plus facilement qu’il s’agit de “juger” les enfants de la caste au pouvoir.S’agissant de jeunes de la Manif pour tous le traitement, tout le monde le sait, aurait été tout autre. C’est ça le pays des droits de l’homme, implacable avec les faibles, comprehensif avec les forts.

  3. Avant, il y avait les sans-culottes et les tricoteuses ; maintenant, ce sont les antifas.

  4. Parmi les gens qui sont jugés il y a les deux arrière-petits-fils de Georges Bernanos.
    Curieusement, leur mère a pris la parole pour dénoncer le report de ce procès, qui pense-t-elle donnera moins de temps pour leur défense. A voir.

  5. « Je crois dans la démocratie, mais la démocratie ce n’est pas la rue »
    N’est-ce pas Macron qui a fait cette déclaration ?
    Les juges ne doivent pas être informés de sa déclaration.

  6. Que se passe-t-il quand la justice de gauche juge les brigades de tabasseurs “anti-fas”?
    Tout ça me paraît “normal” en normalie de gauche.

  7. Maurice :
    Macron a aussi pu dire cela en songeant à deux autres cas :
    – les actuelles manifestations contre la réforme du code du travail ;
    – et celles qui ne manqueront pas de se produire en cas de projet de loi sur la PMA/GPA.

  8. Dans le récit fiction d’un pays purement imaginaire,ce serait les juges eux-mêmes qui auraient susurré que pour que le procès puisse être suspendu, il fallait agir ainsi.

  9. Les Français doivent comprendre qu’ils sont grugés par le pouvoir politico médiatique qui a pour instrument la (l’in )justice.

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