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L'Eglise : Benoît XVI

“Les propos du pape ne sont pas rétrogrades ; ils sont prophétiques !”

Mise au point de Mgr Tony Anatrella dans Famille Chrétienne :

Que vous inspirent les réactions à la déclaration du pape sur le préservatif ?

Anatrella " Je les trouve atterrantes !  M. Juppé et Mme Bachelot ont-ils seulement lu ce qu’a dit Benoît XVI. Le pape n’a jamais dit que l’Eglise interdisait aux personnes contaminées par le sida (souligné par nos soins) d’utiliser un préservatif. C’est vraiment le prendre pour le dernier des imbéciles ! Ce qu’a simplement dit Benoît XVI – et qui ne fait d’ailleurs hurler que les Occidentaux – c’est que le problème du sida ne se résoudra pas uniquement avec le préservatif. La pandémie du sida est aujourd’hui avant tout un problème de comportement et d’éducation des consciences avant d’être un problème sanitaire. Évidemment l’utilisation du préservatif est utile quand la vie est en jeu, mais le rôle de l’Église est avant tout de répéter que la meilleure prévention contre le sida c’est d’éveiller les consciences à une sexualité adulte et responsable. Cela n’exclut pas le discours sanitaire, ça le complète. L’Eglise appelle à une « humanisation » de la sexualité », à prendre conscience que la sexualité doit être ordonnée à sa fin : le don de la vie de l’homme à la femme, de la femme à l’homme et à des enfants. A cause de cela, elle pense que la sexualité doit s’exprimer dans le cadre d’une relation amoureuse engagée dans une vie conjugale et familiale. Le discours du pape n’a rien de régressif, il est prophétique !

L’Eglise n’interdit donc pas systématiquement l’usage du préservatif ?

Dans un livre que j’avais publié en 1995 qui s’appelait L’amour et le préservatif et qui vient d’être réédité chez Flammarion sous le titre L’Église et l’amour, je cite un texte du cardinal Ratzinger, publié en 1989, dans lequel – après avoir rappelé que le vrai problème c’est la question de l’éducation à la responsabilité – il explique que le préservatif est une question secondaire et de « casuistique » ; c’est-à-dire qui doit être traitée au cas par cas. Autrement dit, s’il l’on n’est pas capable de vivre dans la fidélité, dans l’abstinence ou encore s’il l’on a une sexualité impulsive et immature, mieux vaut utiliser un préservatif que de recevoir ou donner la mort. Vous savez, contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire le pape sait très bien de quoi il parle ! (…). Les réactions françaises et même européennes sont au contraire symptomatiques d’une réelle ignorance sur le sujet ! Quand j’entends des ministres ou des secrétaires d’État dire qu’on ne peut pas s’appuyer sur des « critères théologiques » pour faire une politique sanitaire, je suis effaré ! Le pape se situe d’abord sur un plan humain. Aujourd’hui, dans la plupart des pays d’Afrique touchés par le sida, il y a une forte réaction contre les modèles sexuels occidentaux accompagnés de moyens de protection puisqu’ils génèrent des conduites à risque, et qui envahissent leur population et contrarient leur sens de la fidélité et de la famille. La promotion de l’abstinence, de la fidélité conjugale et d’une éducation à une sexualité responsable font partie intégrante des politiques publiques ! Nos dirigeants savent-ils de quoi ils parlent ! "

Philippe Carhon

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17 commentaires

  1. Non, non et non.
    Les propos de Mgr Anatrella s’opposent frontalement à la parole de Dieu et à l’enseignement de l’ Eglise.
    En effet, dans sa simple matérialité (indépendamment des circonstances et de l’intention), l’usage du préservatif équivaut au crime d’Onan : faire en sorte que la semence virile soit émise ailleurs que dans le “vas naturalis” féminin.. C’est une chose abominable aux yeux de Dieu. Cela n’est jamais permis.
    La théologie morale est très claire à ce sujet. Le préservatif est en soi condamnable au plus haut point.
    Les circonstances ne rendent pas bon un acte dont la matière est mauvaise. Et donc, la volonté de ne pas contaminer son “partenaire” ne rend pas bon l’usage du préservatif.
    Celui qui contamine son partenaire commet le mal.
    Celui qui use d’un préservatif (même dans l’intention bonne de protéger son partenaire) commet le mal.
    Les deux maux ne sont pas comparables. Il est donc faut, moralement parlant, de dire qu’il vaut mieux utiliser un préservatif que de donner la mort. Dans les deux cas, ce sont des maux abominables aux yeux de Dieu. Et les Saintes Ecritures nous montrent que Dieu tolère le meurtre, mais Il n’a pas toléré le crime d’Onan (qui “laisse perdre la semence à terre”).

  2. J’ai bien peur que les propos de Mgr Tony Anatrella ne soient pas en accord avec la doctrine morale de l’Eglise. Il ne peut pas y avoir d’exception d’utilisation du préservatif. La casuistique ne peut pas être invoquée, ce n’est pas possible. Il faut être tutioriste.
    Je pense que le Salon Beige devrait faire une mise au point. Soit on est catholique, soit on ne l’est pas.

  3. “Autrement dit, s’il l’on n’est pas capable de vivre dans la fidélité, dans l’abstinence ou encore s’il l’on a une sexualité impulsive et immature, mieux vaut utiliser un préservatif que de recevoir ou donner la mort.”
    Désolé, mais ce n’est pas catholique!!!
    N’ayant pas lu ce texte, je préfère croire que le Cal RATZINGER n’a jamais écrit cette contrevérité. Mais l’aurait-il écrit, ça n’en demeure pas moins étranger au catholicisme.
    La fin ne justifie pas les moyens. Le péché “capital” n’est, ni plus ni moins, qu’un péché “mortel”. Ajouter un péché à un autre n’est qu’augmenter l’infamie et l’offense à Dieu.
    Comme à St Paul, NSJC nous dit “ma Grâce te suffit”. C’est un sophisme que de dire qu’il serait impossible d’éviter de pécher. Cette phrase : “n’est pas capable de vivre dans la fidélité, dans l’abstinence ou encore s’il l’on a une sexualité impulsive et immature”, est en fait une conception purement humaniste et propre au pseudo scientisme de la psychanalyse chère à Tony Anatrella.
    Oui, c’est peut être ringard de le dire, mais la mort de l’âme est infiniment plus grave que la mort du corps. Cela, nous ne voulons pas l’entendre, mais Blanche de Castille disait qu’elle préfèrerait voir son enfant mort que de le voir commettre le moindre péché mortel. Pouvons nous encore comprendre cela?
    J’ai sans doute fort mal exprimé le message que je voulais faire entendre, mais pour autant n’y aura-t-il donc plus un catholique censé et instruit pour faire entendre la voix de Saint Thomas?

  4. En clair, je voudrais compléter par une phrase : “la fin ne justifie pas les moyens”.
    On ne peut pas éviter un mal par la réalisation d’un autre mal.
    On peut tolérer un mal pour en éviter un autre plus grand, c’est la Tolérance. En aucun cas on ne peut être la cause volontaire de ce mal…

  5. Un petit tour dans les Ecritures Sacrées éclairera les esprits : Genèse 38, 8-10.
    Du point de vue moral, le cas du préservatif est identique (peu importe que ce soit la terre ou le plastique…).
    Et que fit Dieu ? Il fit mourir Onan ! Car (verset 10) ce fut un mal aux yeux de Dieu.
    Les commentateurs hébreux puis catholiques (les Pères de l’Eglise, les théologiens etc.) furent unanimes pour dénoncer la gravité d’une telle action.
    La synthèse est la suivante : est abominable aux yeux de Dieu le fait d’émettre la semence virile en-dehors du vas naturalis féminin.
    C’est ce principe qui éclaire l’abomination que constitue l’usage du préservatif (comme de la masturbation ou autres pratiques que l’on ne détaillera pas).
    Sur ce principe, on comprend que jamais on ne peut louer l’usage du préservatif, serait-ce dans le but louable d’éviter la mort à son partenaire.
    L’usage du préservatif n’est pas un “cas”, n’appartient pas à la casuistique : c’est un des grands principes moraux, qui transcendent tous les “cas”.

  6. L’habit ne fait pas le moine…mais d’obéir aux directives romaines en matière d’habit éclésiastique est déjà un début.
    Comme on disait dans les pensionnats de jeunes filles :
    “soignez sa tenue physique cela aide à avoir de la tenue morale” !
    Peut-être que déjà en portant l’habit !!!!!

  7. si j’ai bien compris les deux messages précédents il faudrait excommunier le cardinal ratzinger (d’après Mgr Anatrella) puisque c’est lui qui utilise la casuistique…
    être plus catholique que le pape me semble un peu difficile.

  8. Parce que j’ai davantage confiance dans le Pape que dans les marchands de préservatifs, je n’utiliserai JAMAIS cet instrument. Et a fortiori avec une personne atteinte de maladies vénériennes. Risquer ma vie pour un instant de plaisir est complètement aberrant.
    Le préservatif n’est pas sûr à 100% ! Comment peut-on donc promouvoir un moyen de protection qui ne soit pas absolument fiable. Des ruptures de préservatifs, des glissements, ou des défaut de conception sont possibles. Ce n’est pas fréquent certes, mais c’est déjà arrivé.
    Quel est le taux de fiabilité du préservatif ? Admettons 99,9%. Cela signifie que vous avez une chance sur 1.000 que le préservatif soit défaillant. Estimant à 3 le nombre de rapports sexuels hebdomadaires, cela signifie qu’au terme de 6 ans, vous avez eu 1.000 relations sexuelles. Statistiquement, vous risquez donc un accident tous les 6 ans.
    Conclusion : Le préservatif, c’est la mort !
    Et je ne parle pas du test bidon qui consiste à remplir un préservatif d’eau pour montrer que ce dernier est imperméable. Sachant que la taille du virus du SIDA n’est en aucune manière comparable à la dimension d’une goutte d’eau et qu’il est par ailleurs 4 fois plus petit que les pores du préservatif (dixit feu le Professeur Lejeune), cela devrait dissuader chacun d’y avoir recours.
    Je n’ai AUCUNE confiance dans ces artifices. Par conséquent, le Pape – et lui seul ! – a raison. La seule protection efficace repose dans la maîtrise de sa sexualité. Là, au moins, on ne joue pas à la roulette russe…

  9. Désolé, en fait la fiabilité du préservatif est pire que ce que je pensais.
    http://www.contraceptions.org/preserv/preserv2.html [section sur “Efficacité” sur la gauche]
    On y lit que le taux d’échec du préservatif est de 5% ! Super efficacité !!! Pas étonnant dans ce cas que l’Afrique soit rongé par le SIDA !
    Le préservatif, c’est la mort assurée !

  10. Peut etre que le Pape a voulut dire à ceux qui voulaient quand meme offenser Dieu de ne pas rajouter à leur peche mortel celui de meutre en contaminant autrui?
    Qu’en pensez-vous?

  11. Pas d’accord avec mgr T.A.
    Y’en a marre des gens (en particulier les ecclésiastiques) qui commentent les propos du pape pour dire qu’en fait il aurait voulu dire autre chose. Faut vraiment oser pour affirmer que le pape ne sait pas s’exprimer… surtout Benoît XVI.
    Il y aura des moments où la saine doctrine ne sera plus acceptée…

  12. Vous les blancs là, il faut cesser de croire que seuls vos intérêts comptent et que vous la connaissance infuse. Le pape a dit une chose qui va en droite ligne de la doctrine catholique.Quel homme de Dieu digne de ce nom peut faire l’apologie du préservatif, avec tout ce qu’il entraine comme travers? Surtout chez les personnes non infecté par le VIH; Pourquoi vous en faites une histoire? Non seulement vos journalistes n’ont retenu des propos du pape que ce qui les intéresse en les sortant de leur contexte mais en plus ils veulent nous imposer leurs opinions. Sachez donc qu’en Afrique on est pas heurté pas les propos du pape, qu’on le comprend et qu’on n’attend pas de lui qu’il démissionne. Et on sait bien que ce qui compte pour vous c’est que le marché du préservatif ne perde pas ses nombreux clients d’Afrique.

  13. Je crois qu’on peut commettre un mal pour éviter un autre mal. La guerre de légitime défense, la peine de mort. Ce n’est pas contradictoire avec la doctrine sociale de l’église. Quand on tue, on n’est pas excommunié. Quand on avorte, si. Pourquoi, alors qu’il s’agit d’un même acte ? Parce que le scandale provoqué par l’acte n’est pas le même ? La gravité n’est donc pas la même ? Honnêtement, le péché c’est d’abord de forniquer, si c’est dans le cas de deux êtres non mariés. Le péché mortel il est là quoiqu’il en soit. Le reste ce sont les csqces de ce péché, il s’agit de l’amoindrir autant que l’on peut. Pas en commentant un deuxième péché mortel, diriez-vous ? Mes pauvres, connaissez-vous donc le péché, n’êtes-vous pas conscient de vos propres péchés ? Le péché mortel en entraîne un autre quoiqu’il en soit, jusqu’à l’absolution, c la structure désarmante du péché. L’église à ce sujet ne nous enseigne rien bien-sûr, mais ne soyez pas con. Que diriez-vous d’un couple catholique dont l’un des deux est sidaïque ? L’abstinence bien-sûr. Mais s’ils cèdent… Réfléchissez un peu bon sang… Entre deux péchés mortels… Il n’y a pas de règles. Et justement je vous redis moi-même, relisez saint thomas.
    Tenez, saviez-vous que si j’étais dans la misère, le vol d’une pomme pour me nourrir ne serait pas un péché mortel. La complexité du péché dépasse aux pourfendeurs du dépôt comme aux insolents de la lettre que vous êtes.
    Vous n’êtes pas théologien et ça se lit très facilement. Vous ressemblez à des juristes positivistes qui utilisent l’exégèse pour justifier vos propos.
    Malheureusement, il ne peut y avoir de rêgles pour tous.

  14. Sur le même site cité plus haut, on apprend de cet organisme faisant la promotion de toutes formes de contraception que le préservatif peut se déchirer… Comme quoi, il n’ya pas que les catho qui le disent.
    http://www.contraceptions.org/preserv/preserv2.html

  15. @ludo, Yves et Awa : bien vu.
    Nota : 1. Ratzinger n’est pape que depuis 2005. on ne peut pas parler de pape à son égard avant.
    2. TA sollicite le passage cité de Ratzinger 1985 qui justement refuse de rentrer dans la problématique ‘secondaire’ et ajoute t il avec visiblement mépris de ‘casuistique’. Les mots ‘c’est à dire qu’il faut traiter au cas par cas’ sont de TA et non pas de JR. C’est vrai que la casuistique c’est le cas par cas, mais justement c’est cela que ne veut pas JR, qui en reste au fondement chrétien en la matière lequel n’est pas de concevoir une loi morale suivie d’étude de cas pour trouver des exceptions à la loi. JR prône avec raison la forme fondamentale qu’est la pratique des ‘vertus’ (au sens latin de force bonne intérieure) en l’occurrence celle de chasteté chacun selon son état (cf CEC 2337 et suiv). Et, pape, il n’a pas changé de ligne en rappelant justement la nécessaire éducation morale. La casuistique, c’est le contraire du christianisme : relire l’Evangile contre les Pharisiens.
    Ceci étant, à tout péché miséricorde, mais ce n’est pas pareil de laisser croire qu’il y a des cas, fussent ils limite et plein de bonnes intentions par ex pour des couples mariés, où le mal objectif (cas du condom qui de lui meme dénature l’acte conjugal) ne serait plus un mal.
    Le raisonnement ‘mieux vaut un prés. que de donner la mort’ (indépendamment que techniquement ce soit faux puisque le prés. n’est pas sûr) n’est recevable que dans la perspective naturaliste d’une ‘éthique simplement humaine’ et la seule en cours chez les statisticiens ou fonctionnaires d’Etat voyant les hommes commes de simples unités dans des chiffres globaux, mais certainement pas de moraliste catholique et de pasteur d’âmes. Phrase qui n’est d’ailleurs pas de JR.

  16. …Heuuuu… est-ce que la question qui se pose, n’est pas tout simplement celle-ci :
    ayant affaire à un monde fort peu chrétien, et à nombre de personnes fort peu chrétiennes,
    lorsqu’une personne a une conduite immorale, et des pratiques sexuelles immorales (multipartenariat, volage, polygamie,…),
    quelle doit-être notre attitude ?
    – dire qu’utiliser des préservatifs est un mal en soi ?
    – ou commencer par le lent travail d’expliquer ce qu’est la fidélité, l’abstinence, et expliquer et persuader qu’elles sont possibles à pratiquer par n’importe qui ?
    Car souvent beaucoup croient, ou veulent croire parce que c’est plus facile ainsi, que l’abstinence et la chasteté sont réservés à certains seulement, ou sont impossibles.
    Devant de telles personnes, donc, les voir utiliser des préservatifs n’est pas la question primordiale. Même, étant données leurs pratiques, c’est effectivement un moindre mal que d’avoir les mêmes pratiques, sans protection.
    MAIS il ne faut donc pas se lasser de leur dire, que l’usage du préservatif n’est en RIEN une justification valable à ces pratiques,
    ET leur redire que la chasteté et l’abstinence sont mieux, mille fois mieux, préférables, et possibles à mettre en pratique.
    Mais, lorsqu’on part de bien loin de la morale, on ne peut y venir que peu à peu. Or, c’est l’entraînement à l’abstinence et la chasteté, d’abord,
    et ensuite seulement l’abandon du préservatif.
    (de même que, par exemple, devant des personnes demandant comment s’en sortir avec leur chien agressif,
    je préconiserais D’ABORD un LONG travail d’éducation du comportement, de changement de ses habitudes, de maîtrise de l’animal,
    le tout AVEC la muselière…
    …et à la fin seulement, une fois des résultats obtenus, l’abandon progressif de la muselière.)
    C’est ainsi que je comprendrais les propos du P. Anatrella.
    non ?

  17. @ti’hamo.
    il ne faut pas confondre l’exposition d’une pédagogie pour que la loi morale soit vécue, pédagogie qu’il faut faire comme vous le rappelez, et l’exposition du contenu même de la loi morale. Malheureusement T Anatrella, qui se place à ce point de vue en disant ‘mieux vaut un latex que de recevoir la mort’, contredit Humanae Vitae n° 14 “En vérité, s’il est parfois licite de tolérer un moindre mal moral afin d’éviter un mal plus grand ou de promouvoir un bien plus grand il n’est pas permis, même pour de très graves raisons, de faire le mal afin qu’il en résulte un bien, c’est-à-dire de prendre comme objet d’un acte positif de volonté ce qui est intrinsèquement un désordre et, par conséquent, une chose indigne de la personne humaine, même avec l’intention de sauvegarder ou de promouvoir des biens individuels, familiaux ou sociaux.” Pourtant il aurait dû connaitre ce rappel de la doctrine classique puisqu’il a écrit un article dans le meme livre du conseil pontifical sur la famille paru chez Téqui 2005 ‘Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille’ que son collègue Fernadez Sanchez qui cite à l’article ‘principe et argument du moindre mal’ p. 875 ce numéro d’Humanae vitae justement dans le cas du préservatif face au Sida !

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