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Médias : Désinformation

Les journalistes sont plus anarchistes de gauche qu’informateurs

Les journalistes sont plus anarchistes de gauche qu’informateurs

Selon François Foucart :

[…] comment ne pas observer que les journalistes ne sont plus crédibles quand on sait que, se voulant militants pour la justice, rebelles et insolents, ils sont plus anarchistes de gauche qu’informateurs. La ligne politique suivie, naturellement parce qu’ils ont été ainsi formés et que c’est dans leur ADN, est celle de Libé, du Monde (voire de La Croix), ou encore du JT de France 2 (« Tiens, ils n’ont pas encore fait leur numéro quotidien anti-Trump… Ah si, le voilà ! »). « Empêcher les journalistes de faire leur travail, c’est empêcher les citoyens d’être informés », dit un récent communiqué syndical de journalistes. Encore faudrait-il que l’information ne soit pas hémiplégique, partisane, orientée, mais honnête. Pas neutre, mais ouverte et libre.

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9 commentaires

  1. comment croire tous ces lécheurs de babouches qui copient bêtement les communiqué de l’AFP, l’organe du pouvoir qui comme le kgb contrôle l’information. Tous des rigolos qui n’ont de journaliste que le nom et ressemblent plus à des commissaires politique du politburo qu’ à des vrais informateurs

  2. Je ne comprends pas ce post.
    Le Salon Beige, TV Libertés et Et France ainsi que Dreuz Info m’informent bien et leurs journalistes ne sont pas des anarchistes !

  3. il y en a quand m^me pas mal qui sont devenus macronien!

  4. “Les journalistes sont plus anarchistes de gauche qu’informateurs”

    Je ne comprends pas bien, peut-être pour avoir eu jadis dans ma jeunesse un intérêt pour l’histoire de l’anarchisme. Aujourd’hui, dans la décadence actuelle, quel chef voulez-vous qu’on suive ? Je parle des choses de ce monde, bien sûr.

    Alors, je ne comprends pas bien car, si les journalistes et présentateurs étaient anarchistes, nous n’aurions pas qu’une seule voix, la voix de son maître, celle de l’UE et de l’OTAN !

    Comme l’écrit Gaudete, ces gens-là sont des “lécheurs de babouches”, des suiveurs, des soumis, … Tout le contraire des gens libres qui se fichent des chefs qui n’en sont pas et pensent par eux-mêmes.

    Mais si ce dernier, ce chef, ne vaut pas de l’être, alors oui, on peut comprendre certains anarchistes.

    Certes, il faut un chef au pays, quelqu’un d’élu pour sa compétence, son autorité naturelle, son sens du bien commun, qui œuvre pour la France et les Français… Un de Gaulle par exemple (même si je sais que beaucoup ne l’aiment pas sur ce site). Il viendra peut-être des militaires, avec une droiture et un amour de la France et des Français incontestable et un respect des autres nations…

  5. Affirmation ridicule, car comme toujours l’idéologie, changeante au gré des époques, n’est qu’une façade… Cela serait d’ailleurs souhaitable que les journaleux soient réellement anars (à la professeur Choron à gauche, ou à la Serge de Beketch à droite) ; au moins seraient-ils beaucoup moins conformistes… Les journaleux des grands médias servent la soupe de ceux qui les financent ; tout le reste est du bla bla sans intérêt…
    C’est la raison pour laquelle un journaliste d’un grand média est nécessairement “une pute ou un chômeur”… Raison aussi pour laquelle les journaux satiriques à la Minute (des années 60-70…) ou à la Hara-kiri ont disparu ; la finance, qui n’aime guère la liberté d’expression, déteste aussi les esprits libres et inclassables…

    • Oui et j’en profite pour répéter que la manipulation de l’information à laquelle ces “journalistes” se livrent demande non seulement une formation solide aux techniques de manipulation mais surtout UNE SURCHARGE CONSIDÉRABLE de travail qui nécessite LE PLEIN CONSENTEMENT.

  6. À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton, ancien rédacteur en chef du New York Times, se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :

    « Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

    Qu’est ce qu’il dirait aujourd’hui de la presse française…

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