Partager cet article

Immigration

Les fonctionnaires français sont bien informés de la réalité accablante de l’immigration

Extrait d'un entretien de Douglas Murray, écrivain et journaliste britannique qui vient de publier "L'étrange suicide de l'Europe" qui connaît le même succès que l'ouvrage d'Eric Zemmour sur Le Suicide français, dans Le Figaro :

Capture d’écran 2018-04-19 à 18.33.33

Partager cet article

5 commentaires

  1. Désolé, mais le problème ne vient absolument pas des politiques. Le problème vient des Français qui votent…

  2. C’est bien trop gentil, cela prétend que les décideurs politiques n’ont pas organisé ce suicide. Ce sont des traîtres et depuis de très nombreuses décennies. Je pense que déjà la Renaissance a suscité ce genre de traîtrise, il n’y a qu’à voir l’alliance contre nature de François Ier avec le Turc. Cinq siècles de traîtrises grandissantes, et nous avons ce résultat, il ne nous reste plus que des ruines, l’autorité est entièrement aux mains des traîtres, les juges et les médecins “tuent” les innocents et “innocentent” les assassins, les administrations persécutent leurs administrés et pour ce faire font rentrer leurs bourreaux par centaines de milliers etc. Tout ceci est cohérent de Vincent Lambert à l’avortement, de Sébastien Jallamion à Arnaud Beltrame, des colonnes infernales aux colonnes de migrants. Pourquoi ne pas dire la chose comme elle est?

  3. Vous croyez donc que le vote est réellement la source du pouvoir des décideurs? Je ne pensais pas qu’il fût possible qu’il y eût encore quelqu’un capable d’y croire…

  4. Selon D Murray, “plusieurs générations de décideurs politiques ont commis des erreurs historiques ou ont été totalement incompétents”.
    Il faut cesser de tenir ce type de discours qui trompe les peuples d’Europe et fait obstacle à leur mobilisation contre l’oligarchie au pouvoir qui depuis un demi-siècle organise sciemment le grand remplacement.

  5. en réalité ce n’est pas la connaissance de la situation qui fait défaut, mais la volonté de l’admettre socialement, puisque faire cela c’est tout de même risquer un choc en retour social, économique et même physique.
    il est très difficile de connaître le degré de lucidité des fameux décideurs, d’autant qu’une oligarchie n’est pas une aristocratie même si elle s’en vante, le vieil Aristote démontrait que l’oligarchie en est la perversion et les meilleurs (ariston, le meilleur) ne sont jamais des pervers, lorsqu’on est excellent, il n’est pas besoin de tricher, de violer et de voler ce que vous possédez et obtenez haut la main.
    le vote n’est pas le problème, puisque l’on ne peut vérifier le contenu de l’urne et la probité de ceux qui la manipulent, le réel problème c’est que les lois qui régissent la cité ne sont pas intangibles, réellement sacrée, et qu’un peuple n’existe que par les lois qui le régisse. actuellement les lois ne sont que des réglementations, pour tout, et non des principes, ainsi le cadre de vie est si règlementé que les lois non écrites de Sophocle sont court-circuités par le jargon et la normalisation incessante et procédurière.
    Antigone, défie Créon et le paye de sa vie, il nous faut des Antigones, mais l’héroïsme a un coût, très réel et pas très romantique.
    Dire la vérité, c’est risquer la mort sociale, voilà pourquoi il faut se faire de réel amis, ne pas rester seul, et si on l’est fréquenter par la prière et l’étude le Dieu qui est présent partout, et particulièrement dans son humanité, dans le tabernacle.
    il ne sert de rien de plaider pour la liberté des peuples de l’europe, si l’on appartient à aucune maisonnée, à aucune patrie, à aucun idéal commun où ce Dieu n’est pas au principe et à la fin de toutes choses.
    sinon, toutes nos appartenances sont animales, limitées et illusoire, la différence entre l’europe qui fut le grand réceptacle de la chrétienté et un ramassis de gens c’est le catholicisme millénaire, il faut le reconquérir.
    comment ? en se faisant baptiser, en étudiant loin des donneurs de leçon rémunérés pour suivre une méthode et donner des connaissances tronquées ou fausses. en se faisant des amis ayant le Dieu de Jésus-Christ pour modèle et pour guide.
    nous ne sommes pas des animaux sociaux ou non, nous sommes fait pour être alter christus, le christ répandu et communiqué.
    au principe de la société réelle, il n’y a ni l’échange commercial, ni la richesse ou l’argent, mais l’amitié. et pour qu’elle perdure il faut la fonder dans l’absolu, il faut d’abord être l’ami de Dieu.
    toute politique qui met le Christ hors de la cité, et lui refuse son règne est en réalité totalitaire, homicide.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services