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Les fans de Jean-Pax Méfret

Lu dans Minute :

M "Il y avait affluence politico-nostalgique lors du concert qu’a donné Jean-Pax Méfret, le « chanteur d’Occident », samedi dernier à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de- Seine). Etaient notamment présents, honneur aux dames, Marine Le Pen, vice-présidente du Front national ; puis Martial Bild, conseiller régional (FN) d’Ile-de- France ; Alain Robert, qui fut le principal dirigeant, dans les années 1960, des mouvements nationalistes Occident et Ordre nouveau avant de participer en 1972 à la création du Front national et qui, après avoir lancé le Parti des forces nouvelles (PFN), rejoignit finalement la droite parlementaire dans le sillage de Charles Pasqua ; l’ancien député souverainiste au Parlement européen William Abitbol, qui eut un parcours semblable, à cette double différence qu’il soutint en 2002 la candidature de Jean-Pierre Chevènement et a entamé, l’an dernier, une nouvelle carrière en ouvrant un restaurant huppé dans le centre de Paris ; ou encore le député (UMP) du Tarn, Bernard Carayon, devenu un spécialiste reconnu de l’intelligence économique, et qui fit lui aussi ses premières armes dans les rangs nationalistes. Gérard Longuet et Alain Madelin, où étiez-vous ?"

MJ

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8 commentaires

  1. Il y avait aussi Louis Alliot

  2. Alain Madelin, lors de son évènement célabrant les 10 ans de la chute du mur de berlin, à la Mutualité à Paris, avait convié JPax Mefret, qui y avait même un stand.

  3. moi aussi j’y étais

  4. Bah, j’avais mieux à faire…
    Reconnaissez tout-de-même que JPM, même s’il chantait sur des sujets qui nous intéressent, n’est pas non plus un chantre actif de notre chère DSE. Il se dit même qu’il soit à chaque fois surpris de la composition de son auditorat.
    Non, ce n’était vraiment pas un rdv incontournable.

  5. J’étais présent, et ce fut un très beau concert. Bien plus réussi que celui donné au Kino il y a 4 ans. D’abord, parce que Jean Pax a retrouvé sa voix (à 64 ans, il chante encore remarquablement). Ensuite par le choix des musiciens, qui étaient ceux avec lesquels il avait enregistré ses disques il y a 25 ans. Du coup, le tempo était beaucoup plus fidèle aux interprétations d’origine, contrairement au style jazzy qui m’avait pas mal déçu lors de son retour en 2004.
    Il y avait aussi de nouvelles chansons, assez sympas, et une envie plus marquée chez JPM de continuer “Je suis toujours debout !”
    Un seul regret : ne pas avoir entendu quelques grands classiques, certes datés en dehors de leur contexte, mais inoubliables comme Les Démagos, Solidarité ou Ni Rouge ni mort.
    Un grand merci quand même à Jean Pax !

  6. Je trouve le jugement de Serval très injuste. Vous en connaissez beaucoup des chanteurs qui en concert rendent hommage aux martyrs chrétiens de la Vendée ou consacrent une chanson à Jean Paul II qui se termine par l’image du saint Suaire ? Le prêtre qui était à ma droite samedi dernier avait en tous cas l’air d’apprécier !
    Jean Pax n’a rien d’un enfant de choeur, mais les références chrétiennes sont constantes dans son oeuvre. Libre à chacun ensuite de ne pas aimer son style, mais on ne peut pas lui enlever celà.

  7. J’avoue être dur Cathelineau, et je reconnais l’aspect extraordinaire des textes de JPM en comparaison à la masse de variétoches que l’on nous sert.
    Cependant, en dehors de concerts destinés à des initiés, l’entendez-vous prendre la parole dans différents media? Il a pourtant un carnet d’adresses depuis le Fig Mag…

  8. Serval,
    JPM n’était peut être qu’une caution au Fig Mag ! Le dernier des mohicans pour vendre aux réacs ?
    Néanmoins sur le plan critique il a ce côté à la Raspail à célébrer l’héroisme et les valeurs (certes c’est bien) mais sans en retirer les tentations gnangnan de nos milieux. Il serait bon qu’il fasse des chansons sur comment les Pieds Noirs ont sauté à deux pieds dans les pires erreurs et les pires échecs avant que l’armée soit manipulée et détruite intentionnellement. Cela n’enlève rien au respect que l’on doit à ceux qui ont su se lever mais faut il oublier qu’ils ont un peu été des “gogos” ? Les jeunes de banlieues diraient aujourd’hui des “bolos”.
    Aborder ces questions alors que cette génération nous quitte éviterait aux jeunes de se faire pièger encore une fois. A mon sens c’est un enjeu d’éducation politique. Sans des réflexions matures sur ces périodes je n’entrevois pas d’avenir.

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