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France : Société / Valeurs chrétiennes : Famille

Les familles monoparentales sont une plaie

Trouvé dans Minute :

Samedi 10 avril, « ça se discute », iTélé

Ce qu’il y a de bien avec Zemmour, c’est que plus il est vilipendé, plus il en rajoute une couche. Ce samedi, il s’en prend aux familles monoparentales, familles dans lesquelles on retrouve proportionnellement le plus grand nombre de jeunes frappes:

«Je vais vous choquer, il faut sanctionner les parents. Il faut supprimer les allocations familiales pour les enfants qui deviennent des quasi-délinquants. En outre, il faut trouver un moyen financier, social, pour limiter les familles monoparentales. Je sais que l’on va hurler, mais les familles monoparentales sont une plaie. Aux Etats-Unis, les Républicains ont supprimé certaines allocations aux mères seules et l’on a constaté une recrudescence de la conjugalité!»

Rien ne remplace une authentique politique familiale : à quand la remise en cause du divorce et du Pacs ?

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46 commentaires

  1. Il y a des familles qui vivent en couple, mais l’un d’eux se déclare monoparental ou parent isolé pour toucher les allocations spécifiques. Les CAF en principe font la chasse à cette “incivilité” que nommerais escroquerie.

  2. Zemmour a raison. Au lieu de mettre des cameras partout, il faut mieux reconstituer la famille traditionnelle.

  3. OK si la monoparentalité est volontaire….

  4. et on fait quoi si la monoparentalité est du a un décès. on supprime aussi les allocs …
    j’apprécie beaucoup zemmour mais il faut éviter de trop généraliser.

  5. Vraiment votre titre est indélicat, scandaleux même.
    [Oui Eric Zemmour a l’art de choquer.
    Mais voici ce que dit la DSE :
    “L’introduction du divorce dans les législations civiles a alimenté une vision relativiste du lien conjugal et s’est largement manifestée comme une « véritable plaie sociale ».”
    MJ]

  6. Vous faites bien de heurter de temps en temps, cela nous réveille sur des sujets pour lesquels on finit pas devenir fataliste et ne plus les remettre en question.

  7. et la monoparentalité subie (décès, abandon) ? Franchement…

  8. et les veufs ? et les femmes qui se sont fait plaquer avec 4 enfants du jour au lendemain (j’en connais) ?

  9. reste plus, à notre ami eric zemmour, qu’à se convertir au saint catholicisme

  10. Un article intéressant sur National Review Online, sur les familles monoparentales comme première cause de la pauvreté (et donc la première justification de l’étatisme) aux US:
    http://article.nationalreview.com/430875/understanding-illegitimacy/robert-rector?page=1

  11. @ Tom
    Evidemment, en cas de décès, c’est différent.

  12. Que le divorce soit une plaie sociale, n’entraîne pas que les familles monoparentales en soit une (de plaie sociale).
    Songez à ce que vous écrivez, c’est au mieux très maladroit, et scandaleux (songez par exemple que cela encourage la recomposition de familles, par exemple, par exemple). Je ne veux ni ne peux m’étendre, mais pour parler franchement, je vous dirais que vous dépassez les bornes de la bienséance et errez dans des zones où le bon sens n’a plus cours. Désolé de vous le dire crument.
    Peut-être trouverez-vous l’erreur qui vous fait écrire ce titre dans cet adage : “jugez des autres d’après vous-même”, ayez de l’imagination.
    [Le titre est une citation du propos de Zemmour.
    La famille monoparentale nuit au bien commun de la société. Les enfants ont besoin d’un père et d’une mère (je ne parle pas ici des cas de veuvages). Or l’Etat encourage le divorce et la séparation par de multiples moyens. Comme le dit Zemmour, “il faut trouver un moyen financier, social, pour limiter les familles monoparentales”.
    Que cela vous choque me désole, mais ne change rien à la réalité.
    MJ]

  13. Arme à double tranchant. L’aide aux mères ou aux futures mères seules ou abandonnées est, techniquement, une aide aux « familles monoparentales », or c’est là une des réponses nécessaires au drame de l’avortement et aux situations personnelles douloureuses.
    Sans doute le problème vient-il du fait que ces aides qui sont de l’ordre de la nécessaire charité aient été confisquées par l’Etat et qu’elles soient par conséquent considérées comme des “droits”. Si je divorce, j’aurai “droit” à tant, ça va,je peux y aller !
    La mise sous condition des allocations familiales, qui compensent (très mal) la charge financière attachée à la présence d’enfants au foyer est une idée qui refait régulièrement surface. Or il ne s’agit pas d’une prime aux “bons parents”. Le supprimer en cas de condamnation pénale peut se concevoir, mais en ayant à l’esprit que cela poserait le principe d’une sorte de droit de regard étatique qui pourrait chercher à s’étendre (notez que la suppression des allocs est déjà possible en cas de non-respect de l’obligation d’instruction). Là encore, c’est le genre de dossier où il faut essayer de bien soupeser les avantages et les risques…
    Rendre beaucoup plus attrayant le mariage légitime sur le plan fiscal, aider la famille au plan du logement, rendre beaucoup plus difficile le divorce et instituer – même à la laïque – une préparation aux responsabilités familiales me paraît plus urgent. Mais difficile dans la logique des droits égaux pour tous qui met sur le même plan toutes les formes de vie commune et qui rend si facile la séparation-répudiation dans le cadre du pacs…
    Sur tous ces points néanmoins, bravo à Zemmour d’avoir mis les pieds dans le plat. Cela oblige à réfléchir publiquement.
    Amitiés
    Jeanne Smits

  14. Curieux que ce que dit Zemmour provoque ici tant de réactions.
    Argument hypocrite du décès: il est facile de prévoir le cas d’aide pour les veufs ou veuves, qui constituent une ultra minorité.
    Concernant les personnes qui se font “plaqué”, c’est également un faux argument, puisque la personne qui est parti reste redevable de la subsistance de sa famille.
    Arrêtons l’assistanat aussi dans ce domaine. Les effets bénéfiques seront largement supérieurs aux effets négatifs. Bien sûr il fautr allier cela à une politique de prévention très efficace: formation à la vie conjugale, aide en cas de difficultés, domaine qui est aujourd’hui un néant absolu des autorités publiques de ce pays, mais ou heureusement les chrétiens sont très actifs (Cap Mariage, Elle & Lui, sessions Cana…)

  15. La famille monoparentale par choix est en effet très perturbante pour les enfants, & je suppose qu’il faut distinguer moralement d’office ceux-ci de ceux qui subissent cette solitude (veuvage ou abandon).
    En revanche, l’Etat amalgame tout le monde, que ce soit pour les allocations (une veuve touche l’allocation parent isolé) ou pour les statistiques, ou dans la scolarité des enfants.
    Le scandale, décrit par Zemmour, est là : trions, et si la monoparentalité choisie est un fléau social, traitons-le comme tel. Ca permettrait peut-être d’aider mieux la veuve et l’orphelin.

  16. Je n’en rajouterais pas car Jeanne Smits a dit mieux que moi le danger de supprimer des aides qui peuvent aider des mères à faire le choix de garder leur enfant et de renoncer à un IVG “choisi” pour des raisons financières.
    Par ailleurs, je souligne aussi qu’il n’est pas toujours agréable de se voir, en tant que veuve ou orphelin, mis dans le même panier que les familles monoparentales si l’on peut dire. Comme le dit Laetitia de M, l’Etat amalgame tout le monde et cet amalgame est parfois une douleur supplémentaire dans le deuil. Ce n’est pas là l’important, certes, mais je tenais à en témoigner.

  17. Bien sur qu’être mère célibataire est une galère. J’ai une admiration profonde pour celles que je connais et qui ont préféré garder leur enfant en sachant très bien qu’elles auraient beaucoup plus de mal, l’homme étant ce qu’il est, à trouver un conjoint ensuite. Il y a là des trésors ignorés de courages, de sacrifices et de sainteté.

  18. Je suis d’accord avec Zemmour d’autant qu’en Belgique beaucoup de “couples” se déclarent monoparentale pour toucher un maximun d’allocation , ils vivent séparément dans des logements sociaux qui pourraient étre libérer au profits de personnes dans le besoin .

  19. Je ne soutiens pas Eric Besson, mais il avait dit que le maire savait quels parents élevent bien leurs enfants ou non, même si certains enfants dérapent.

  20. Je n’ai pas compris la moitié des commentaires postés ici…
    Certains se permettent d’affirmer des choses alors qu’il sont dans l’ignorance la plus totale.
    “La famille monoparentale nuit au bien commun de la société.”
    => Ha bon ? Je n’ai pas l’impression d’avoir nuit à qui que que ce soit, ni à quoi que ce soit. Ma mère serait donc une des responsables d’un des nombreux maux de notre société ?
    Ma mère, comme sûrement beaucoup d’autres parents seuls, a travaillé deux fois plus pour subvenir aux besoin de sa famille, elle ne s’est pas contenté des allocs.
    “Les enfants ont besoin d’un père et d’une mère”
    “La famille monoparentale par choix est en effet très perturbante pour les enfants”
    => Pas sûre. Surtout quand la “monoparentalité” dure depuis toujours. Quand elle résulte d’un décès ou d’une séparation, c’est différent.
    Je n’ai JAMAIS vécu avec mon père (je le voyais juste de temps en temps, tous les 3-4 mois entre 8 et 11 ans). C’est ma mère qui m’a élevée, c’est avec elle que j’ai grandi (pareil pour ma soeur plus âgée)…et très franchement…je n’ai jamais ressenti un quelconque manque.
    Alors, peut-être que plus tard, j’aurai un rapport à l’homme un peu particulier…mais je ne me sens pas différente d’une autre fille qui a eu la “chance” de vivre avec son père et sa mère…
    Vivre avec un seul parent n’a pas fait de moi une délinquante et je ne suis pas plus “perturbée” qu’un autre enfant (j’ai 19 ans, donc je ne suis plus vraiment une enfant ! :) ).
    Je peux même vous dire que, par exemple, c’est dans une famille très catholique, que vous appelez “traditionnelle” que j’ai vu une amie faire une très grave dépression, découvrir son homosexualité, toucher au cannabis, à l’alcool, elle est piercée, tatouée…
    C’est dans une autre famille “traditionnelle”, beaucoup moins catholique, que j’ai vu une autre amie toucher au cannabis, se mettre minable avec l’alcool…
    Ces deux personnes avaient une mère et un père.
    Et des délinquants dans des familles “tradi” (mais pas forcément catho), j’en ai vu énormément aussi.
    Zemmour dit : “En outre, il faut trouver un moyen financier, social, pour limiter les familles monoparentales.”
    => Et comment veut-il réussir une telle prouesse ? En forçant les gens à se mettre en couple ? En les forçant à se marier ? Interdire le divorce, et donc forcer deux personnes qui ne s’aiment plus, ne se supportent plus à vivre encore ensemble ? Et comment les enfants vivront une telle situation ? Ca ne perturbent pas les enfants de voir leurs parents de disputer sans arrêt ?
    Cordialement.
    [Voici un extrait de la DSE sur ce sujet :
    “La famille, communauté naturelle au sein de laquelle s’expérimente la socialité humaine, contribue d’une manière unique et irremplaçable au bien de la société. En effet, la communauté familiale naît de la communion des personnes: « La “communion” concerne la relation personnelle entre le “je” et le “tu”. La “communauté” dépasse au contraire ce schéma dans la direction d’une “société”, d’un “nous”. La famille, communauté de personnes, est donc la première “société” humaine ».
    Une société à la mesure de la famille est la meilleure garantie contre toute dérive de type individualiste ou collectiviste, car en elle la personne est toujours au centre de l’attention en tant que fin et jamais comme moyen. Il est tout à fait évident que le bien des personnes et le bon fonctionnement de la société sont étroitement liés « à la prospérité de la communauté conjugale et familiale ». Sans familles fortes dans la communion et stables dans l’engagement, les peuples s’affaiblissent. C’est dans la famille que sont inculquées dès les premières années de vie les valeurs morales, que se transmettent le patrimoine spirituel de la communauté religieuse et le patrimoine culturel de la nation. C’est en elle que l’on fait l’apprentissage des responsabilités sociales et de la solidarité.
    […]
    Tout modèle de société qui entend servir le bien de l’homme ne peut pas faire abstraction du caractère central et de la responsabilité sociale de la famille. La société et l’État, dans leurs relations avec la famille, ont en revanche l’obligation de s’en tenir au principe de subsidiarité. En vertu de ce principe, les autorités publiques ne doivent pas soustraire à la famille les tâches qu’elle peut bien remplir toute seule ou librement associée à d’autres familles; par ailleurs, ces mêmes autorités ont le devoir de soutenir la famille en lui assurant toutes les aides dont elle a besoin pour assumer l’ensemble de ses responsabilités de façon adéquate. […]
    La nature de l’amour conjugal exige la stabilité du rapport matrimonial et son indissolubilité. L’absence de ces conditions porte préjudice au rapport d’amour exclusif et total spécifique au lien conjugal, avec de graves souffrances pour les enfants et des conséquences néfastes aussi dans le tissu social.
    La stabilité et l’indissolubilité de l’union matrimoniale ne doivent pas être confiées exclusivement à l’intention et à l’engagement des personnes impliquées individuellement: la responsabilité de la tutelle et de la promotion de la famille comme institution naturelle fondamentale, précisément en raison de ses aspects vitaux et incontournables, revient plutôt à la société tout entière. La nécessité de conférer un caractère institutionnel au mariage, en le fondant sur un acte public, socialement et juridiquement reconnu, dérive d’exigences basilaires de nature sociale.
    L’introduction du divorce dans les législations civiles a alimenté une vision relativiste du lien conjugal et s’est largement manifestée comme une « véritable plaie sociale ».
    Les couples qui conservent et développent les biens de la stabilité et de l’indissolubilité « assument (…) d’une manière humble et courageuse, la tâche qui leur a été donnée, d’être dans le monde un “signe” — signe discret et précieux, parfois soumis à la tentation, mais toujours renouvelé — de la fidélité inlassable de l’amour de Dieu et de Jésus-Christ pour tous les hommes, pour tout homme ».
    http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/justpeace/documents/rc_pc_justpeace_doc_20060526_compendio-dott-soc_fr.html#La%20valeur%20du%20mariage
    MJ]

  21. Eloise,
    Merci pour votre beau témoignage. Cependant, un exemple ne signifie rien sur le plan général.
    Il y a évidemment des “familles traditionnelles” où les enfants ont de gros problèmes (il serait intéressant de savoir pour quelle raison, car il est très probable qu’il existe des facteurs précis) et des familles monoparentales où les enfants s’en sortent bien.
    La question n’est pas là. La question est de savoir quel mode de comportement les autorités publiques doivent favoriser de manière générale. La DSE exprime que ce soit pour des raisons morales, économiques ou humaines, il vaut mieux un couple parental.

  22. je ne sais plus où j’avais lu, peut-être un rapport du secours catholique, que les mères célibataires était la première cause de précarité en France.

  23. Merci pour cet extrait que j’espère avoir compris.
    Mais il ne répond pas aux questions que je pose à la fin de mon commentaire. De plus ce texte se base sur la doctrine sociale de l’Eglise. Donc, à mes yeux, cela n’a pas vraiment de valeur.
    Je ne comprends pas pourquoi une famille monoparentale serait plus nuisible qu’une autre.
    “L’amour véritable”, comme je l’ai lu ici, n’existe pas qu’au sein d’un couple marié devant dieu. Les enfants élevés dans ce type de familles sont pas “mieux élevés”, ni plus “équilibré” ou je ne sais quoi d’autre.
    @ Ludovic : Evidemment qu’un exemple (le mien en l’occurrence) ne signifie pas que tous les enfants dans les familles monoparentales s’en sortent bien.
    Ce que je veux dire, c’est que l’on trouve des gosses qui ont mal tournés dans toutes les couches de la sociétés, chez les cathos, les juifs, les musulmans, familles “tradi”, monoparentales, familles modestes, pauvres, ou blindées aux as…partout !
    @ SD-Vintage : bizarre comme rapport. Que les mères célibataires soient plus touchées que les autres par la précarité soit compréhensible, mais qu’elles soient la raison de la précarité en France, j’aimerais comprendre comment c’est possible…
    [Il faut lire le rapport su Secours catholique montrant que le divorce est source de pauvreté :
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2008/11/le-divorce-est-source-de-pauvret%C3%A9.html
    “les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses à demander de l’aide et cumulent les difficultés pour se loger, trouver du travail… Le nombre de familles monoparentales n’a cessé d’augmenter au cours des dix dernières années : en 1997, le Secours Catholique aidait autant de familles monoparentales que de couples. En 2002, ces familles étaient 56% et, en 2007, 60%. 67% des enfants de 6 à 17 ans accueillis par l’association vit dans une famille monoparentale alors que les plus jeunes (moins de 3 ans) sont plus nombreux au sein des couples.”
    Plus généralement, je vous encourage à lire les posts concernant la famille :
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/valeurs_chrtiennes_famille/
    Les faits montrent que de la stabilité familiale dépend la stabilité sociale.
    MJ]

  24. Je suis étonné par le nombre de personnes, même ici, qui s’accrochent aux allocations étatiques, qui sont tout sauf du domaine de la charité.
    Quant à la confusion entre le veuvage et la monoparentalité, je crois qu’elle n’a pas lieu d’être. D’abord parce que le veuvage n’est pas la monoparentalité. Cette monoparentalité, terme barbare et si proche d'”homoparentalité” (ce qui d’ailleurs n’est pas un hasard), est un statut de plus instauré par les destructeurs de la famille. Comme l’homoparentalité, la monoparentalité n’est pas un “défaut”, ou un sous-genre, du mariage, mais bien un équivalent du mariage, un genre à part entière qui concurrence ce dernier, comme le PACS.
    La monoparentalité est donc le choix d’élever seul son enfant. Le veuvage, au contraire, est subi. La monoparentalité est un statut, le veuvage, un état.
    Je crois qu’il faut prendre garde à ne pas tomber dans le piège des mots, qui mène irrémédiablement au piège de la pensée. C’est par les mots qu’on pense : employer les mots et la logique du “système”, c’est tôt ou tard finir par penser avec sa logique, et donc perdre en efficacité, voire même en indépendance d’esprit.

  25. A Eloïse: “De plus ce texte se base sur la doctrine sociale de l’Eglise. Donc, à mes yeux, cela n’a pas vraiment de valeur.”
    Hummmm… c’est justement parce que ces propos sont ceux de la DSE qu’ils ont de la valeur. Au dessus de la DSE, il n’y a….. que la parole de Dieu!! (Saintes écritures etc)
    Un couple marié devant Dieu a plus de chances de réussir son couple et de construire une famille qui “tiendra” face à l’adversité de la vie. Prétendre le contraire, c’est nier l’utilité des sacrements, en particulier celui du mariage et de la bénédiction divine sur une famille chrétienne…
    une famille chrétienne, c’est un avantage immense et même primordial sur les autres.
    Malgré vos dires, les cas de “délinquance” chez les “tradis” (toujours cathos je le précise) sont exceptionnels… quasi nuls même. Ceci expliquant cela.

  26. @ Eloïse, MJ a répondu très bien à ma place.
    Vous écrivez “Que les mères célibataires soient plus touchées que les autres par la précarité soit compréhensible”, c’est précisément ce dont nous débattons. Moins de mères célibataires ou divorcées élevant seuls leurs enfants, moins de précarité. Il faut donc éviter le phénomène, c’est le sens de l’article.
    Quant à dire que dans tous les milieux il y a des enfants qui posent des problèmes, c’est vrai, mais pas dans les mêmes proportions. À l’école, dans les enfants turbulents, on trouve une proportion plus grande d’enfants issus de familles non traditionnelles. Qui ont également plus de problèmes pour réussir leurs études etc.. De même, l’enfant d’un couple divorcé aura plus souvent tendance à divorcer lui-même. Les références de l’auteur de l’article MJ vous en apprendront plus.
    Un couple divorcé égal deux appartements, deux voitures, une organisation économique plus compliquée, moins d’argent et moins de temps pour élever les enfants,sur un plan économique c’est aussi un désastre. Qui plus est, certaines femmes ont de la peine à se faire obéir de leurs enfants, en particulier des garçons, quand il n’y a pas de référent masculin représentant l’autorité. Mais bien sûr, ce n’est pas le cas de toutes les femmes.
    Bien à vous, en félicitant votre maman de vous avoir aussi bien éduqués
    SD

  27. Remettre en cause le divorce ne servirait à rien puisque beaucoup de couples vivent actuellement sans être mariés ni pacsés. Ce qui d’ailleurs est une liberté.
    J’ai été choquée de lire “La monoparentalité est donc le choix d’élever seul son enfant.”
    Ma mère n’a pas choisi de m’élever seule, mon père a fait le choix pour elle lorsqu’il l’a trompé et a demandé le divorce. De plus, ma mère n’a reçu aucune aide financière pour m’élever. Mon père ne versant qu’une pension de 100euro par mois, elle a bien du assumer seule…Mon père a refait sa vie et je n’ai plus de contact avec lui, pourtant je suis équilibrée et ne ressens aucun manque. Ma mère a toujours veillé à ce que je sois heureuse, et je ne pense pas que nous soyons une plaie pour la société.
    Je connais énormément de personnes dans ce cas, et croyez moi ce n’est jamais une situation voulue, ou du moins celui qui l’a voulue ne reste pas bien longtemps pour s’occuper de ses enfants…
    Une femme de mon entourage était battue par son mari, le divorce vient d’être prononcé et elle peut enfin revivre, sans lui.
    Le problème n’est pas le divorce en lui même, mais ce que les gens en font.
    De plus, j’aimerai des preuves concernant ceci : ” Malgré vos dires, les cas de “délinquance” chez les “tradis” (toujours cathos je le précise) sont exceptionnels… quasi nuls même.”
    Ca reste à voir…

  28. Sauf erreur de ma part, un enfant se fait à deux (il me semble qu’il n’y a qu’un cas connu où cela ne soit pas vrai, encore n’est-il pas admis par tout le monde, loin de là!). Normalement, l’instruction donnée aux adolescents les informe de cela.
    Donc tout enfant a un père et une mère.
    Qu’il y ait solidarité de la communauté face à un cas d’orphelin, rien de plus normal.
    Mais le fait que l’un des deux parents s’arrange pour ne pas assumer ses responsabilités n’impose pas à la société de se substituer systématiquement au parent défaillant pour aider l’autre, au motif qu’il est contraint à la monoparentalité.
    En droit, les deux parents sont tenus de contribuer à élever les enfants. Plutôt que de faire jouer une “solidarité”, n’y a-t-il pas lieu de se retourner contre le parent défaillant, ses enfants n’ont pas à pâtir de ses changements d’humeur?
    Il est peut-être utile que je précise que j’ai vécu le même genre de scénario qu’Eloïse (le “manque” qu’elle n’a pas ressenti est susceptible d’apparaître bien plus tard); je suis nettement plus âgée qu’elle…

  29. Bibliquement parlant, Saint Paul ne conseil pas aux veuves de se remarier

  30. A Aly: c’est la réalité. Je ne connais pas de tradis” délinquants qui brulent des voitures ou agressent les passants. ça n’existe pas. Et pourtant je connais bien ce milieu.
    Désolé mais aucune étude ne viendra me soutenir ou me contredire car il y en a pas d’étude sur ce sujet (de toutes façons il n’y aurait rien à dire). Donc je ne peux pas vous donner des “preuves”…

  31. @ Scat : ce texte n’a aucune valeur à mes yeux parce que je ne crois pas en dieu :) (je n’avais pas précisé, désolée)
    Nous ne pourrons donc pas être d’accord…pour moi, le mariage ne sert à rien (sauf juridiquement), il ne protège de rien. C’est juste une façon de se lier, une “preuve d’amour” inutile, selon moi :) L’expression “se passer la corde au cou”, concernant le mariage, je la prends au premier degré !
    Mais je suis jeune, peut-être que je changerais d’avis dans quelques années (mais cela m’étonnerais).
    “Un couple marié devant Dieu a plus de chances de réussir son couple et de construire une famille qui “tiendra” face à l’adversité de la vie”
    => Donc un couple de non-croyants a plus de chance d’éclater plus tard ?
    La réussite d’un couple ne dépend pas de la religion, de dieu, ou de satan qui se serait déguisé, mais des deux partenaires. Pareil pour la réussite de l’éducation des enfants.
    Ce n’est pas parce que dieu est présent dans une famille que tout va bien se passer…sauf s’il y a des données scientifiques que je ne connais pas !
    @ SD – Vintage :
    “Moins de mères célibataires ou divorcées élevant seuls leurs enfants, moins de précarité”
    => OK…et comment voulez-vous faire pour éviter les mères/pères (ne les oublions pas ceux-là !) célibataires ?
    En forçant le couple à rester ensemble ? Ca serait un peu barbare, non ?
    “Qui plus est, certaines femmes ont de la peine à se faire obéir de leurs enfants, en particulier des garçons, quand il n’y a pas de référent masculin représentant l’autorité”
    => Pas tout à fait vrai, mais pas tout à fait faux non plus !
    En ce qui concerne l’autorité, tout se fait dans l’enfance, avec 2 parents ou pas. Quand les limites sont posées, il ne doit pas avoir de soucis. Crise d’adolescence ou pas…:)
    @ C.B : je suis consciente que ce manque peut arriver…autant en profiter pendant qu’il n’est pas là ^^
    @ Aly : 100% d’accord avec votre commentaire, surtout quand vous dîtes que vivre (en couple) sans être mariés ni pacsés est une liberté ^^.
    Pour revenir sur les déclarations de sieur Zemmour, je suis d’ac avec lui quand il dit qu’il faut retirer les allocs des enfants quasi-délinquants.

  32. A relire les commentaires, beaucoup semblent sembler plus à l’aspect financier de la monoparentalité qu’à son impact psychologique et affectif.
    Quant à moi, je suis plus que convaincue que l’absence d’un des parents constitue un manque dans l’éducation d’un enfant.
    Ce manque apparaissant plus ou moins tôt et plus ou moins fortement selon les personnes.
    Je ne dis pas bien évidemment que ce manque handicapera à vie l’enfant et qu’il est voué à ne pas sen sortir car je ne crois pas à ce genre de fatalité et ce serait une insulte envers la miséricorde divine.
    Mais nier ce manque, ce besoin qu’a tout enfant d’un père et d’une mère, c’est déjà se dresser contre la loi naturelle voulue par Dieu et c’est être bien orgueilleux.

  33. @Laetitia de M : petite correction sur “les veuves ont droit à l’allocation de parent isolé”.
    Absolument pas, cette allocation étant reservée aux personnes sans ressources, une veuve qui travaille (même au salaire minimum) ne pourrait y prétendre.
    On touche ici d’ailleurs à la confusion “politique familiale” et “politique sociale” dénoncée par la DSE.
    A part les allocations familiales, toutes les aides de la caisse d’allocation familiale sont en réalité des aides sociales, puisque soumises aux conditions de ressources.
    Je suis mère d’une famille nombreuse et monoparentale , car je suis veuve , depuis 2 mois, je ne l’ai pas choisi. Je ne suis pas au foyer : je peux vous certifier qu’en tant que femme “active” aucun soutien financier ne m’est alloué par l’Etat de par ce statut de chef de famille “monoparentale” .

  34. @ Ewart : toute ma compassion vous rejoint avant tout.
    En effet ces allocations dont je parlais sont soumises aux conditions de ressources. J’en parlais moins pour les décrire que pour évoquer l’amalgame avec les autres situations de monoparentalités choisies. Cet amalgame est au minimum indécent, vous en conviendrez.
    Quant à l’aide aux veufs, quelqu’un parlait d’assistanat : on en est loin! Surtout dans le cas où on veut quand même élever un jeune enfant à la maison par exemple… En distinguant les cas, on pourrait probablement mieux aider les veufs ou les abandonnés, attitude que toute civilisation a toujours eu.

  35. A Eloïse:
    “Donc un couple de non-croyants a plus de chance d’éclater plus tard ?”
    Oui assuremment, il suffit de voir le faible nombre de divorce chez les catholiques (les vrais, pas chez les “libéraux”) et le chiffre nul (ou quasi) chez les les catholiques de tradition.
    Comme vous n’êtes pas croyante, vous ne pouvez donc pas comprendre ce que représente l’immense avantage d’une famille chrétienne qui est sous la protection divine…

  36. A Scat : Ce n’est pas parce que vous ne voyez pas quelque chose que celle ci n’existe pas…
    J’aurai beaucoup de choses à redire sur mes anciens camarades lycéens issus de familles “tradis” !
    A TFP : que faites vous des couples qui ne sont pas mariés mais qui passent tout de même leur vie ensemble ?

  37. Ce sujet soulève les passions.
    Il me semble qu’il faut beaucoup de courage et d’amour pour élever seul(e) -il s’agit souvent d’une femme- ses enfants.
    Il ne faut pas se voiler la face, c’est particulièrement difficile de devoir travailler, avoir la responsabilité matérielle d’un foyer ET d’être totalement disponible pour éduquer et veiller sur ses enfants, en étant seul(e). C’est bien pour ça qu’il est logique de consolider le mariage par tous les moyens.
    Bien sûr cela crée des difficultés pour les enfants quand ils veulent construire un foyer à leur tour : en quelque sorte, ils n’ont pas “appris d’instinct”, comment fonctionne un couple, comment toutes les difficultés sont surmontables, comment une situation qui semble bloquée finit par s’arranger. Mais aussi, ils ne sont pas figés dans l’imitation de comportements ce qui peut être un atout.
    Il leur faudra être bien conscients de ces aspects (et d’autres sans doute) : il n’y a rien qui soit insurmontable avec de l’intelligence pour identifier les problèmes et de la bonne volonté pour réussir sa vie conjugale et parentale (et si l’on rajoute la grâce du sacrement, cela aide).
    Il faut la volonté d’aimer et de respecter son engagement et cela est à la portée de chacun, quel que soit son passé.

  38. @laetita de M ,
    Merci, et je trouve également que l’amalgame est facheux.
    Songeons que la seule aide prévue pour les enfants orphelins, L’Allocation de Soutien Familial, est la même que celle prévue pour les enfants non reconnus , ou privés de l’assistance financière d’un parent. Dans le cas d’un décès la fraude n’est pas possible, tandis que dans les autres cas elle est facile et peut-être fréquente.
    Conséquence logique, les conditions d’attributions en sont complètement opaques …c’est une allocation “à la tête du client ” ( et il semblerait que je n’ai pas la bonne tête ) .
    Au final, retenez que le “parent isolé” est , aux yeux de l’état , avant tout un parent qui ne travaille pas. Par exemple , il existe des aides pour surcharge du parent de famille nombreuse : Addentum piquant de la Caf, que je cite “le parent isolé qui travaille ne peut y prétendre” . Amusant non ? Logique, il a son boulot pour se reposer !

  39. à Eloïse, pour compléter le propos de TFP.
    1/ Le couple catholique, à la différence de la +plupart+ (mais non pas tous, peut-être) des couples non croyant, n’envisage pas le divorce comme une solution éventuelle à ses problèmes.
    Il en découle un mode de gestion des problèmes de couple et des crises très différent, une pratique du pardon mutuel, une volonté forte de s’en sortir “par le haut” quels que soient les écueils.
    2/ Les couples mariés catholiques bénéficient de la grâce du sacrement du mariage. Ce point peut vous être difficilement compréhensible si vous n’êtes pas catholiques. Disons que c’est un don de Dieu qui vient à aide à ceux qui se confient en Lui, et fortifie leur union.

  40. @ TFP (et éventuellement Tonio) : Ha oui, c’est très très “difficilement compréhensible” pour moi !! Je suis quelqu’un de plutôt rationnelle, alors bon…
    Ce n’est pas parce que les “vrais” catholiques, ou catholiques de tradition (quelle est la différence ??) divorcent moins (voire pas du tout) qu’ils s’aiment plus. Se marier devant dieu (ou pas) ne signifie pas “je t’aimerai toujours, quoi qu’il arrive…”.
    “Il en découle un mode de gestion des problèmes de couple et des crises très différent, une pratique du pardon mutuel, une volonté forte de s’en sortir “par le haut” quels que soient les écueils.”
    => D’accord, alors je vais parler de sentiments. Les sentiments, ça vient, ça part, on fait des rencontres…et ce n’est pas dieu qui contrôle tout ça, enfin je crois !
    Comment gère-t-on le “je ne t’aime plus” dans un couple de catho ? On reste ensemble malgré tout, parce que l’Eglise n’accepte pas le divorce…?
    @ VD : pour élever un enfant seul(e), il faut aussi beaucoup de force :) et d’organisation !

  41. A Eloïse,
    C’est vrai il faut beaucoup de force quand on est seule.
    Si je peux me permettre, quand vous parlez des sentiments, je voudrais juste vous dire que la volonté intervient, même dans le mariage et dans la relation conjugale.
    Vous avez bien pu constater qu’avec votre Mère, parfois, il y a sans doute eu des heurts (en tous cas, moi, cela m’arrivait avec la mienne et c’est le cas avec ma fille !) : cela vous a obligé à trouver des moyens pour résoudre les problèmes et cela n’a pas fondamentalement entâché l’amour que vous vous portez mutuellement.
    D’une certaine façon, il en est de même dans l’amour que vous vous porterez, votre mari et vous. Si vous avez la volonté commune de tout surmonter, vous y arriverez. Il est faux de dire que les sentiments “ça va, ça part”. Vous aimerez toujours votre mère, vos enfants (quoi qu’ils fassent, et même si vous les désapprouvez vigoureusement).
    Cela vaut pour le mariage. On ne reste pas ensemble “malgré tout”, on reste ensemble parce que l’on veut construire et progresser ensemble, pour son bien propre et celui de sa famille. Parce que la sagesse et l’expérience montrent que cela vaut le coup de tenir dans la durée, que les coups durs n’empêchent pas de se relever et que c’est ainsi que l’on progresse. Regardez autour de vous, je ne crois pas que l’on puisse voir un seul couple qui n’ait pas dû en passer par des épreuves. Le sacrement aide car l’ordre divin est ce qui convient à l’homme, fondamentalement, que l’on y croie ou pas c’est ainsi.

  42. @ Eloïse
    Lorsque l’on se marie, même à la mairie, on ne se marie pas pour une durée limitée, “tant que l’on a des sentiments”, mais à vie – ou à mort selon la perspective que l’on adopte.
    Catholique, je ne reste pas avec ma femme parce que “l’Eglise n’accepte pas le divorce”, mais parce que +je+ ne conçoit pas le divorce comme une solution m’exemptant de l’engagement libre que nous avons pris réciproquement l’un envers l’autre. Personne ne m’a obligé à épouser ma femme, j’étais majeur vacciné, non drogué, en pleine conscience, et je me suis engagé librement, à vie. Irrémédiablement.
    Comment quiconque pourrait encore avoir confiance en moi si je ne tiens pas un engagement aussi librement pris ?
    Ceci dit pour l’aspect engagement.
    Ensuite, l’amour : il faut prendre conscience que l’amour n’est pas d’abord un sentiment. Il y a un sentiment à l’origine de l’amour. Mais l’amour est une faculté de la volonté. Je me marie parce que je veux aimer cette personne. Et j’en prends les moyens. Et j’ai plus confiance dans le choix libre et raisonné que j’ai fais en me mariant qu’à la variabilité de sentiments qui dépendent de la météo du jour, de mon taux d’hormones, de ma dépression ou de mon euphorie.
    Ce serait à creuser, j’en convient.

  43. Une dernière chose.
    Savoir que notre union est irréversible (que le divorce n’est pas une option) permet un don de soi-même sans réserve à son conjoint, une confiance totale en lui/elle. Je peux lui dévoiler mes faiblesses : elle ne s’en servira pas contre moi, mais elle pourra m’aider à grandir.
    Je n’ai pas de crainte à avoir : nous serons à jamais tous les deux ensembles. Je n’ai pas à dissimuler une partie de moi-même “au cas où”. Je peux baisser la garde, m’abandonner et me donner.
    Notre amour n’en est que plus paisible et sans angoisse. Je ne crains pas chaque matin, à chaque regard, d’être trahi.
    Seule une totale confiance et un engagement complet de toute la personne peuvent permettre un don total des époux l’un à l’autre.
    Et donc permettre à l’amour de durer malgré toutes les difficultés, ou rencontres…, de la vie.
    Enfin, excusez les lacunes, les raccourcis et les inévitables approximations : un commentaire de blog ne peut que difficilement servir de support à un exposé complet et cohérent sur l’amour et le mariage humain…

  44. Lacune ou pas, je trouve les réponses de Tonio très belles et ne saurais mieux dire.
    En effet Eloïse, je crois moi aussi que les couples vraiment catholiques (entendre ceux pour qui la foi est essentielle, qui sont réellement pratiquants et qui essaient d’appliquer la doctrine de l’Eglise intégralement) divorcent beaucoup moins que les autres.
    Non pas parce que “çà ne se fait pas”, mais parce qu’ils veulent l’éviter tout simplement.
    En fait, ce sont des couples non catholiques qui passent leur vie ensemble l’exception car si le couple ne repose que sur le sentimentalisme, au moindre coup de colère, d’offense, problème, tout vole en éclat.
    Et pour les couples non-mariés qui s’aiment toujours malgré les épreuves et restent fidèles, je crois simplement qu’en se rapprochant de l’amour vrai et de la vérité, ils sont en chemin vers Dieu, vers la conversion mais ne le savent pas encore….

  45. A Eloïse et Aly:
    je doute que vos anciens camarades de classe soient “tradis”; en général, un tradi va plutôt dans des écoles “tradis” avec 100% de “tradis”, enfin il y a des exceptions.
    Alors oui c’est vrai, un “tradi” ne tombe pas dans la délinquance… ou alors je pense qu’il n’est plus vraiment “tradi”…
    mais sans doute ne savez-vous pas ce qu’est un “tradi”?
    Un tradi est un fidèle de la tradition de l’Eglise (refus du Concile Vatican II, messe selon le rite tridentin TOUS les dimanches dans les églises des différentes fraternités qui pratiquent uniquement le rite tridentin) etc
    Ce n’est pas le catholique qui est catholique juste parce que c’est une tradition familiale.
    rien à voir.
    Inutile de répondre à tous le reste, cela a très bien été fait par Tonio, Arwen et les autres. (que je remercie)

  46. “Alors oui c’est vrai, un “tradi” ne tombe pas dans la délinquance… ou alors je pense qu’il n’est plus vraiment “tradi”…”
    Ce qui ne veut pas dire qu’il ne vient pas de chez eux… C’est facile de rejeter les “petits moutons noirs” et prétendre qu’ils n’appartiennent plus à tel ou tel groupe chaque fois qu’ils font quelque chose qui vous déplait.
    Petite précision, j’étudie dans un lycée catholique. Mon fiancé a également effectué toute sa scolarité dans des établissements catholiques (bien que devenu non croyant avec le temps)et est bien plus respectueux des autres que certains de ses anciens camarades issus de familles “tradi” justement…
    En bref, ce n’est pas parce qu’on est non croyant et issu d’une famille monoparentale qu’on risque plus de “mal tourner” !

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