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Culture de mort : Avortement

Les effets “indésirables” de la pilule

La Commission européenne oblige donc la France à remettre la pilule jugée dangereuse en vente dans les pharmacies.

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie en même temps un document destiné aux femmes : «  Vous et… vos contraceptifs oestroprogestatifs » pour les aider à mieux connaître les effets indésirables, les signes évocateurs d’une survenue d’accident thrombotique qui sont rares mais graves. Autres effets : maux de tête, dont des migraines, et des saignements irréguliers, troubles vaginaux, modifications de l’humeur (irritabilité…) ou de la libido, troubles digestifs, cutanés, gonflement (oedème), augmentation ou diminution du poids, absence de règles ou douleur pendant les règles, tension ou écoulement des seins.

On y trouve tout de même un gros mensonge, celui consistant à faire croire que les contraceptifs sont des médicaments. Contre quelle maladie ?

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11 commentaires

  1. “douleur pendant les règles” ? Mais ce n’est pas possible !
    Une femme sous pilule n’a pas de règle, uniquement des saignements privatifs car la pilule maintient le corps de la femme dans un 3e mois de grossesse simulé.
    A-t-on jamais vu une femme enceinte de 3 mois avoir des règles ?
    Cette simulation d’un 3e mois de grossesse permanent expliquer probablement tous les effets secondaires, tout aussi indésirables que l’effet primaire.

  2. Et le principe de précaution? Allo, Bruxelles?

  3. Encore une raison de se débarrasser de cette Europe des assassins ! Mais il y en a tellement !

  4. L’unique problème c’est le mensonge à propos de la pilule en général et des dernières générations en particulier. Ces dernières sont des progestatifs abortifs. Il n’ y a pas d’ effet indésirable de ces pilules mais des effets normaux d’ un produit non thérapeutique qui ne devrait pas être utilisés. Tout le reste c’est du baratin pour justifier l’usage ou le non usage. Quant à la spécificité , pilule utilisée dans le traitement de l’ acné, alors là, on atteint le ridicule, l’absurdité du mensonge. Tout médecin, tout pharmacien catholique doit le dire. Je n’ ai pas de jugement à porter sur les utilisatrices mais j’ai un devoir d’ informer.

  5. la définition du médicament est très claire : Le code de la Santé publique (article L.5111-1) définit ainsi le médicament : « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique. »
    cette définiton est importante sur de nombreux plans : elle s’étend au delà d’une “notion de maladie” car on y trouve aussi par ex les produits de contraste qui permettent d’établir un diagnostic (et parfois, pour que le diagnostic annonce que tout va bien!)….et il est normal que ces pdts soient “contrôlés”….
    Les contraceptifs oraux sont heureusement considérés comme médicaments car ils modifient des fonctions physiologiques : le fait qu’ils soient considérés comme mdcts permet aux pharmaciens de faire leur travail d’information sur le sujet de la contraception (car beaucoup de pharmaciens font très bien leur travail!!) sinon ils seraient en vente libre dans les supermarché….et les dégats seraient bien pires encore!!!!!!

  6. Et ce sera marqué en gros comme sur les paquets de cigarettes :
    “ce médicament tue” ???
    “nuit gravement à la santé” ???

  7. “On y trouve tout de même un gros mensonge, celui consistant à faire croire que les contraceptifs sont des médicaments. Contre quelle maladie ?”
    La pilule peut être prescrite comme un médicament : contre l’acné (sic), par exemple, ou pour régler certains problèmes avec le cycle féminin dus à un déséquilibre dans la production des hormones.

  8. L’ANSM va se faire rappeler à l’ordre : sa plaquette, n’est-ce pas une entrave à la contraception ?

  9. Aucun mensonge, les contraceptifs sont bien des médicaments, même si ils ne “soignent pas une maladie”. Les médicaments sont des substances actives ayant des effets connus et prévisibles sur l’organisme, certains pouvant être bénéfiques, d’autres non.
    En chimie et en pharmacie, on ne soigne pas des maladies, on modifie des équilibres, on oblige le corps à changer sa réaction normale.
    Le mensonge est d’assimiler médicament avec guérison. Tous les médicaments sont des substances dangereuses, qui doivent être manipulées avec précautions! Ça porterait sans doute moins à confusion si on continuait de les appeler “drogues”, comme autrefois et comme font les anglais…
    Il n’y a que Dieu qui guérit les maladies! Les médicaments ne font qu’aider l’organisme à retrouver un équilibre plus favorable, mais globalement, c’est l’organisme qui fait le gros du travail.

  10. Mais la grossesse est considérée comme une maladie en France … la preuve, les femmes sont obligées d’aller voir un médecin tous les mois …

  11. Les laboratoires pharmaceutiques, avec la complicité des politiques et des groupes financiers, veulent sacrifier toujours plus de victimes – consentantes et/ou innocentes – sur l’autel du pseudo-progrès.

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