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Immigration

Les demandeurs d’asile déferlent sur Angers

A Angers,en un an, les demandes d'asile ont bondi de 78% (contre 30%, en moyenne, en France). La raison d'un tel « succès » ? L'hospitalité des collectivités locales. La municipalité (gauche) a dépensé, cette année, un demi-million d'euros en repas, cartes de transport, secours d'urgence. Chaque jour, les squatters vont se doucher, petit-déjeuner et déjeuner dans les structures qu'elle a mises en place pour les sans-abri. Le conseil général (de droite) a affecté 1,8 million dans l'Espace accueil et l'aide aux enfants. Le préfet vient d'obtenir 380 000 €, ce qui porte la participation de l'État a un million d'euros pour les demandeurs d'asile de l'Anjou, en 2009.

Personne n'a l'air de se demander si les demandes d'asile sont vraiment justifiées.

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16 commentaires

  1. Et oui, la France est terre d’asile, soi disant, mais nos élus n’ont que faire des avis de leurs électeurs, et encore moins de leur argent !

  2. Effectivement, on ne peut pas tout faire !
    http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-A-Epiniac-les-cloches-de-l’eglise-sonneront-elles-en-2010-_-1155231_actu.Htm
    Mais une France sans clochers, sans âme, sera-t-elle encore capable d’acceuillir les réfugiés du monde entier ?

  3. Benoit XVI a déclaré qu’il faut accueillir le migrant “à bras ouverts”. Dont acte.
    [Attention à ne pas mélanger la pastorale et la politique. Le chrétien doit effectivement accueillir le migrant venus sur notre sol à bras ouvert. Et il doit notamment veiller à son évangélisation.
    Mais cela ne s’adresse pas au politique, qui peut, en toute légitimité, et pour le bien commun du pays, refuser les immigrés.
    MJ]

  4. La laïcisation de la charité, sous forme de “solidarité” conduit à sa prostitution.

  5. Au Mans, à 1 heure d’Angers, c’est différent.
    Les première burqa importées d’Ile de France sont apparues dans les rues avec l’arrivée du tramway, qui pourtant ne va pas si loin !.
    Le Maire ne se plaint pas d’avoir “pris sa part” d’immigrés et obtenu in extremis ses subventions. Enfin moi je ne peux pas vérifier, c’est ce qui se dit en ville !

  6. Ce qui injuste c’est le fait qu’étant Française de souche, je touche 621 € d’AAH et que ces personnes en situation irrégulière reçoivent des dizaines de milliers d’euros comme aides sociales…

  7. La France Terre d’Asile de fous.

  8. Un des quotidiens régionaux titre ce jour :
    ”Angers, un nouveau Calais ? ”
    Sans doute Angers est-elle devenue une ville de ”délestage” de l’immigration parisienne et nordiste, comme à Laval (Layenne)depuis qq années, qui a vu arriver de nombreux africains débarquant de Montparnasse, qui ont été logés et dotés des aides sociales diverses, et même, pour les mères de familles, de poussettes payées par la municipalité.
    Même présence phénomène à Sablé (Sarthe, comme Le Mans), ville très ”Afrique Noire” depuis qq années.
    Le Grand Ouest doit assumer sa part d’immigration : ce sont les quotas, non à la sélection et à l’entrée sur le territoire national, ”choisie” comme le fait croire N. SARKOZY aux imbéciles, mais à l’implantation des immigrés, selon les consignes données aux préfets (témoignage direct de l’un d’entre eux). Schéma : il y a des villes qui n’en n’ont pas ”assez” d’immigrés, et on leur en envoie.
    Conséquences : comme les logement sociaux des villes de l’Ouest saturent, les offices départementaux d’HLM délestent à leur tour vers les logements sociaux des petites villes et villages ruraux. On dit aux maires ruraux qu’une ou deux familles leur permettra de ne pas fermer l’école primaire.Pour l’instant 4 ou 5 enfants immigrés dans l’école du village, puis dans dix ans la moitié, etc……
    Et c’est ainsi que l’immigration devient une colonisation à l’envers, planifiée par l’état, et payée par les colonisés.

  9. L’analyse des conséquences de ce phénomène développée par PG est parfaitement exacte. Si un gouvernement national voit le jour, il n’y aura pas d’autre choix que de pratiquer l’inversion de ces flux migratoires et de dynamiser la démographie française et européenne.

  10. JCM a dit : “Au Mans, à 1 heure d’Angers, c’est différent. Les première burqa importées d’Ile de France sont apparues dans les rues avec l’arrivée du tramway, qui pourtant ne va pas si loin ! Le Maire ne se plaint pas d’avoir “pris sa part” d’immigrés et obtenu in extremis ses subventions.”
    Tiens… Idem à Brest où, selon des informations données par un membre du conseil municipal à des amis, le tramway (dont nous n’avions absolument aucun besoin !) peut être construit grâce à des subventions de l’Etat obtenues en accueillant plus de 200 familles de la région parisienne…
    Ca fait 3 à 4 ans qu’on parle du tram ici… et ça fait 3 à 4 ans que les premières burquas (voile intégral) sont apparues dans nos rues, nos magasins, etc. Inutile de dire que les familles accueillies à Brest sont “bien de chez nous”, s’pas…
    Et le trafic de drogue à grande échelle s’installe aussi depuis cette époque (il n’y a pas 15 jours, le plus gros dealer de Brest a célébré son mariage, avec Cadillac gigantesque et fiesta monstre… au nez et à la barbe de la police, qui sait qui il est mais ne l’arrête pas : ça doit faire partie du contrat “tramway”, je suppose ?).

  11. Et comment on fera “l’inversion” des flux migratoires ??

  12. Je parle peut-être sans en avoir le droit (l’autorité), mais il me semble que dans les écritures, ce qu’y est proposé est l’accueil du voyageur. Je ne veux pas (trop) faire de sémantique, mais entre le voyageur et l’émigré, il y a une différence de taille, l’un reste, l’autre non! Donner un coup de main temporaire, ca passe, mais faire de chez nous le “chez-moi” d’un autre – voir de beaucoup d’autres – ca me reste “un peu” en travers de la gorge.

  13. Pour revenir au Mans, le maire a récement évoqué, lors d’une visite de quartier, de récupérer la caserne Mangin qui va fermer, pour y loger des sans-abris car “c’est pratique, il y des chambres et des douches et on peut accueillir les chiens” (sic).
    Seulement cette caserne est l’ancien collège du Bienheureux Père Basile Moreau et maison mère de la Congrégation de Sainte Croix, qui ne possède plus que la chapelle.
    Prions pour que ce lieu revienne plutot à sa vocation originelle.

  14. @ JCM
    Pour résumer, ce que la République a spolié à l’Eglise en 1905, utilisé entre temps pour abriter une caserne, sera donné pour le logement de mahométans immigrés.
    On mesure là les effets de ce régime imposé à la France en 1870, à la faveur d’une défaite : après l’éradication par la force de la religion des Français, après la défaite et l’occupation de 40-45, y rajouter finalement une énième occupation, celle-là définitive, car démographique.

  15. “Et comment on fera l’inversion des flux migratoires ?”
    Réponse : par tous les moyens, y compris légaux.

  16. @ Jean Theis et Solange :
    A vrai dire, la question ne se pose même pas : cela va se faire tout seul.
    Dans tous les pays du monde, quand une population s’est trouvée brutalement confrontée à une invasion de population étrangère sur son territoire, elle a d’abord accueilli avec curiosité les nouveaux arrivants, puis fait contre mauvaise fortune bon coeur en voyant leur nombre s’accroître (sans pour autant juger cela alarmant au point d’en venir aux mains), et a fini par prendre les armes pour les bouter dehors par la force lorsqu’elle s’est sentie expatriée dans le pays de ses ancêtres.
    Ce scenario a toujours été le même, partout, avec un temps de réaction variable cependant (la Reconquista espagnole, par exemple, a mis plus de temps à venir que la révolte des colonies françaises) et un succès relatif à la disproportion des forces (les Amérindiens ont perdu et les Palestiniens ont trop attendu… je précise à toutes fins utiles que je n’ai rien contre Israël : de toutes façons, les deux camps sont aussi légitimes ou illégitimes l’un que l’autre).
    Ce n’est pas que je le souhaite ou le redoute : simplement, c’est un fait. Un phénomène humain, profondément humain même, mécanique et prévisible, parce que c’est toujours ainsi que cela se passe. Les groupes humains ne se mélangent pas d’eux-mêmes : ils se poussent du coude jusqu’à ce que le meilleur gagne.
    Nous ne sommes pas des sur-hommes ; les Français ne sont ni plus soumis ni plus tolérants que les autres peuples. Le réveil de l’utopie universaliste sera douloureux… et ça ne va plus tarder.
    La génération 68 a vu le changement s’opérer en douceur, mais la mienne n’est arrivée à l’âge adulte que pour se voir dépossédée de son héritage, jeté en pâture à des étrangers qui le brûlent et le piétinent, crachent sur nos drapeaux pour mieux hisser les leurs. Nos propres parents ferment les yeux quand leurs protégés, ceux qui ont le même âge que nous et dont la diversité nous enrichit, nous font bouffer le macadam à coups de pompes dans les gencives et nous traitent de fascistes si nous ne disons pas “merci” assez vite. Ils ne voient pas que leurs “petits jeunes qu’il ne faut pas stigmatiser” ont le même âge que les soldats, les pompiers, les gendarmes et les policiers qu’ils caillassent… et qui sont nos camarades, nos frères, nos cousins, nos amis. Nous, les “sous-chiens”, on nous rappelle que nous sommes des hommes et des femmes responsables de nos actes quand nous mettons un pied hors de la ligne.
    Il est probable que ma génération sera celle qui mettra le feu aux poudres. Je n’aurai pas d’autre avenir qu’une guerre civile que je n’ai pas voulue… Quelle trahison… !

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