Partager cet article

France : Politique en France

L’écotaxe restera suspendue, au moins jusqu’en 2015

D'ici là, le gouvernement souhaite remettre à plat la fiscalité.

Il reste à savoir de combien la société Ecomouv', qui exploite les portiques, sera dédommagée.

Partager cet article

21 commentaires

  1. La colère des routiers a fait peur: si les routes sont bloquées rien ne va plus…mais pour la fiscalité on ne perd rien pour attendre, sans doute?

  2. …Le temps de passer les rendez-vous électoraux.

  3. Suspendue jusqu’après les élections …. et ensuite ??? Et pendant ce temps ,pour faire diversion , “remise à plat de la fiscalité” ; de toute façon , à plat ou en relief, les mêmes vont payer … On continue à noue prendre pour des billes.

  4. Ecomouv,c’est triste a dire mais quand on met la charrue avant les bœufs alors la on est sur ,les belles promesses ………

  5. LES FRANÇAIS TENTÉS DE FRAUDER LE FISC !
    LES FRANÇAIS SERAIENT TENTÉS DE CACHER UNE PARTIE DE LEURS REVENUS ; pas étonnant, quand on voit la spoliation de certains d’entre eux !
    PAS ÉTONNANT, lorsque l’on voit l’exemple de FABIUS !
    Deux mois de ma pension de cadre moyen partent au FISC, en ISF, parce que j’ai le malheur ou plutôt le bonheur de posséder un bout de terrain bien placé en Morbihan.
    Ça s’appelle de la spoliation.
    FABIUS s’est bien gardé d’être spolié, comme il ne possède que des OEUVRES D’ART !!!

  6. Il y a trente ans, lorsque je faisais mes etudes, on parlait dejà de “remettre à plat la fiscalité”, donc il n’ y a rien à craindre: ce n’est jamais le moment…

  7. Le temps d’adopter des lois contre la liberté d’expression??

  8. L’écotaxe… c’est bien sous Sarkozi et Fillon qu’elle a été imaginée et mise en branle…non?
    Allez tous dans le même sac. Tous d’accord pour ruiner les français.
    Essayons sans plus tarder le Rassemblement Bleu Marine!

  9. Suivez les chouans du Morbihan! En avant!

  10. Suspension jusqu’en juin 2014 ou janvier 2015, qu’importe ?
    Tout ceci n’est que calculs politiciens.
    AYRAULT et MARTIN = professionnels de la cacophonie.
    Il faut absolument que HOLLANDE intervienne sur la question en urgence depuis Tel Aviv, lui qui aime tant parler de questions intérieures depuis l’étranger au mépris de ses hôtes et de sa fonction.
    Au fait pourquoi ne ferait-il pas au retour une escale à Pristina pour aller voir Leonarda et sa famille ?

  11. Reporter la taxe sans l’annuler , c’est imposer la taxe comme fait accompli ,que le PS fourguera ensuite en catamini ;en comptant qu’ainsi les gogos payeurs d’impots laisseront le PS se goberger tranquillo pour tout le reste …..

  12. Mais qui a signé le contrat avec ecomouv ??? C’est pas “Hollande dégage”!

  13. une remise a plat approfondie :
    “C’est pas un revirement, c’est un approfondissement de tout ce qui a déjà été engagé” JM Ayrault, 19 novembre 2013.
    À rapprocher de :
    “Ce n’est pas une reculade, c’est de la souplesse […] un art de gouverner”
    François Rebsamen, 29 octobre 2013, à propos des atermoiements fiscaux

  14. J’en ai un peu ma claque de tous ceux qui parlent de “remettre à plat” la fiscalité — ou toute autre partie de la politique du gouvernement, d’ailleurs.
    Remettre à plat, c’est la bonne vieille obsession française, révolutionnaire et constructiviste.
    On va commencer par tout mettre par terre, puis on va faire des Etats-Généraux, une grosse Commission, une grande concertation, bref du dialogue participatif, et puis ensuite on va tout reconstruire — autrement dit, on va continuer à faire du socialisme, de l’étatisme, du dirigisme.
    Bâtir l’Etat fort et stratège, comme disent, exactement dans les mêmes termes, Martine Aubry et Marine le Pen. Comme s’il n’existait pas déjà !
    Comme si un Etat qui nous coûte 57 % du PIB n’était pas suffisamment “fort” comme cela, comme s’il manquait de “stratèges” chez les hommes politiques et dans la haute fonction publique ! C’est l’une des plus grosses productions de l’économie française, les “plans stratégiques” ! On est les champions du monde pour pondre des rapports, nommer des Commissariats au Plan et des Hauts Conseils d’Orientation de mes fesses !
    On s’en fout, de “mettre à plat” la fiscalité. La bonne question, c’est : pour monter quel genre d’usine à gaz après ?
    Si c’est pour augmenter les impôts, ou même pour ne pas les augmenter mais “mieux les répartir”, assurer “une meilleure justice sociale”, continuer à laisser le champ libre aux plombiers de l’usine à gaz fiscale, autant oublier : c’est ce qu’on fait depuis trente ans, et on a vu le résultat.
    La question est : veut-on, oui ou non, baisser massivement les impôts et donc la dépense publique ?
    Si la réponse est non, il vaut mieux ne rien “mettre à plat”. Ca nous évitera au moins de payer les petits fours et le chauffage de la salle de réunion.

  15. @ Robert Marchenoir,
    Contrairement à ce que vous dites, en dépit des 57 % de prélèvements, l’État n’est pas fort : il est obèse (et les obèses ne sont pas forts : pas de muscles, que du gras).
    Un État doit s’occuper des fonctions régaliennes : armée, police, justice, diplomatie, ruiner l’orgueil des puissants (Richelieu l’a fait en son temps), soulager et protéger les humbles et les faibles.

  16. J’apprends, à l’écoute des “Décodeurs de l’info” sur BFM, que la prétendue “mise à plat” de la fiscalité par le gouvernement se fera “à niveau constant”.
    La question est donc réglée d’avance. La “grande concertation” annoncée (pour la millième fois) consistera comme d’habitude, pour chacun, à dire qu’il faut baisser ses impôts à lui en augmentant ceux des autres — le tout au nom de l’efficacité économique et de la justice sociale, bien sûr.
    Peut-être même fera-t-on appel à Saint-François d’Assise, que je me suis vu opposer ici même par un objecteur à l’augmentation de la TVA pour les centres équestres.
    Non seulement rien ne sera fait, donc, mais en plus vous devrez payez les petits fours et le chauffage.

  17. Oui oui, c’est gentil, Florian, mais pour l’instant, j’aimerais bien que vous me trouviez des hommes politiques ou des fonctionnaires qui soutiennent un Etat fort, mais amputé de, disons, 30 % des fonctionnaires actuels.
    Tout le monde peut raconter ce qu’il veut quand il s’agit de qualités, de sentiments ou d’intentions.
    Mais les chiffres, eux, sont comme la terre : ils ne mentent pas.
    Quant à un Etat qui ruine l’orgueil des puissants, sûrement pas. L’Etat n’est pas un censeur de la morale. L’Etat, je le veux humble, discret et à ma botte.
    Pour l’instant, c’est l’immense orgueil de l’Etat qu’il convient de détruire, et cela ne se fera qu’en lui coupant les coucougnettes, c’est à dire les vivres.

  18. Les déclarations de zéro barré aujourd’hui sont pitoyables. Nous éliminerons l’écotaxe et tout ce qui gravite autour.

  19. @ Robert Marchenoir
    Je suis bien d’accord qu’il faille moins de personnel à l’État, et cela se fera s’il se concentre sur ses fonctions régaliennes, et elles seules.
    En revanche, j’aimerais qu’on claque une bonne fois la gueule à quelques patrons du CAC 40, plus apatrides que Français, qui “délocalisent” à outrance et créent des chômeurs. Ces gens-là ont aussi des comptes à rendre !

  20. Un gouvernement masochiste qui fait durer le plaisir un peu comme s’il ne voulait pas une explosion sociale mais un Hiroshima social

  21. Florian : un patron ne peut pas créer de chômeurs. S’il emploie une seule personne, il crée déjà de l’emploi. S’il délocalise, c’est à lui seul de le décider. L’Etat n’a pas son mot à dire, et les salariés non plus.
    Si un patron passe de mille salariés à un seul, il crée déjà de l’emploi : un. Un emploi, ce n’est pas un truc qui se “crée” comme on chie une pendule, et la pendule est toujours là dix ans plus tard. Ca se “crée” tous les jours. Il faut des profits tous les jours pour continuer à “créer” un seul emploi.
    Si les salariés sont mécontents, ils n’ont qu’à créer leur entreprise, et alors ils verront à quel point c’est facile de “créer de l’emploi”. Surtout avec un “Etat fort et stratège” et des impôts délirants.
    L’emploi n’est pas un droit de l’homme.
    Le jour où l’Etat se prosternera devant les patrons et où les salariés adoreront le profit, au lieu de cracher sur les uns et de vomir le second, alors les patrons “créeront des emplois”.
    Ou alors, allez au bout de votre logique et réclamez le communisme.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services