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Communisme

Le président bolivien, héritier de Mao

L’Internationale passe désormais par l’Amérique latine. Le président de Bolivie, Evo Morales, a salué en Fidel Castro "le maître, le sage", à Caracas, il s’est joint "à la lutte anti-impérialiste et antilibérale" du président Chavez, à Brasilia, il a rappelé son admiration à l’égard de son "frère aîné", le président Lula da Silva, à Pékin, il a exprimé son "respect" pour Mao et proclamé son "alliance politique et idéologique" avec le régime communiste.

Le président bolivien va clairement appliquer une politique d’inspiration marxiste : "la question n’est pas la nationalisation des hydrocarbures, mais comment se passera cette nationalisation", précise l’ambassadeur du Brésil à La Paz. L’autre scandale, c’est que, outre Cuba, l’Union européenne, les Pays-Bas et l’Espagne ont promis de l’aider.

Michel Janva

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1 commentaire

  1. Comme quoi, ça servait bien que la CIA se décarcasse dans les années 1970. Bah, dans une quarantaine d’années, ils se rendront compte.

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