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Homosexualité : revendication du lobby gay

Le transgendérisme n’est pas le résultat d’un déséquilibre hormonal

Une fois de plus, c'est la nature qui a raison :

"Les sujets transgenres présentent des taux d’hormones sexuelles correspondant au genre attribué à la naissance, selon une petite étude californienne, menée sur 101 patients, publiée dans « Journal of Adolescent Health ». Pour le Dr Johanna Olson, du Children’s Hospital Los Angeles et auteur principal : « Nous avons désormais mis un terme à la croyance persistante que l’expérience transgenre est le résultat d’un déséquilibre hormonal. Ça n’est pas le cas. »"

Donc un homme est un homme et une femme est une femme.

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14 commentaires

  1. Le “genre attribué à la naissance”, mais quelle immonde novlangue… Le sexe d’un individu est défini une fois pour toute à la conception, XX ou XY. Il n’y a pas d’alternative.

  2. Et bien voilà la meilleure façon de combattre
    Les idéologues perverses…..
    À quand ses études dans nos écoles ?
    À quand un avortement expliqué, visionné dans nos écoles?
    L’égalité, la liberté, la démocratie c’est le droit de savoir……

  3. Il existe quand même des nouveaux-nés dont le sexe n’est pas si évident. Si chez certains transgenres le problème est uniquement psychologique, chez d’autres il y a tout de même une ambiguïté physiologique.

  4. Ce ne sont pas les hormones sanguines (circulantes) qui déraillent, mais les fantasmes dans le cerveau.
    Cette nouvelle idéation du soi est très souvent consécutive à l’impact des médias, comme l’a démontré le Dr Colette Chiland – Pr émérite de psychologie Clinique à l’Univ. Paris V Descartes – dès le milieu des années 90.
    Avec tout le battage médiatique autour des “transgenres”, on peut donc être certain que leur nombre va nettement augmenter…

  5. On ne saurait sous-estimer la nécessité d’études comme celle là, il y aurait une oeuvre à faire en ce sens.
    certaines personnes – mais extrêmement peu nombreuses – naissent avec un réel problème, problème qui n’est pas nécessairement visible d’ailleurs dans un simple constat d’ambiguïté des organes génitaux externes
    La propagande fait autant de mal, car le sexualité est présentée comme un divertissement, et les techniques chirurgicales comme une panacée. l’homme ne serait qu’une mécanique un peu plus élaborée que celle d’une voiture ou d’un ordinateur.
    il ne faut pas laisser les études scientifiques de ce domaine aux “études de genre”. Mais là comme ailleurs chercher non pas le concordisme grossier pour l’exprimer, mais la seule vérité, car seule la vérité sauve.

  6. Au professeur Tournesol | 22 juil 2015 15:39:45
    Cher professeur, je défini effectivement un homme par le caryotype XY et un femme par le caryotype XX. Ces génomes entraînent in utero le développement de l’appareil reproducteur dans un sens ou l’autre, mais on est femme ou homme dans chacune de ses cellules.
    Au delà du caryotype, la structure osseuse, par exemple, permet de distinguer, même dans la préhistoire un homme d’une femme.
    Enfin je défini aussi la femme comme possédant une matrice; un homme en est privé. C’est souvent assez clair.
    Bien sûr il peut exister à la naissance des malformations sexuelles, elles sont très rares et à l’évidence les transsexuels n’en sont le plus souvent pas porteurs (avant mutilation).
    Les déviances sexuelles sont pratiquement toujours « acquises » et liées à l’histoire personnelle de la petite enfance, renforcées, réactivées, actualisées à l’adolescence.
    Mais si l’on a besoin de se déculpabiliser on peut accuser les gènes, la nature, la société ou n’importe quoi.

  7. Jusques à quand abuseras-tu de notre patience ?
    Combien de temps faudra-t-il subir les ukases absurdes et abusifs de groupuscules ultra-minoritaires ? Combien de temps encore se moquera-t-on et des parlementaires et des citoyens normaux et honnêtes ?
    N’y aura-t-il aucun parlementaire qui place l’honneur de la nation au dessus de sa réélection ? N’y aura-t-il aucune firme commerciale qui respectera d’avantage la majorité de ses clients ?
    Quelle est donc cette lâcheté qui s’empare d’un peuple qui jadis fût si fier et se battit âprement pour défendre sa liberté et la civilisation qui fit sa grandeur ?
    O tempora, o mores, qui nous rendra notre grandeur.
    Cicéro.

  8. Si vous voulez voir à quelle absurdité extrême abouti la capitulation déraisonnable devant l’irrationnel subjectif, parcourez rapidement l’article de ce 22 juillet de « causeur.fr » « En Irlande, distinguer “il” et “elle” est transphobe »
    http://www.causeur.fr/irlande-lgbt-transphobie-33900.html
    je suis sidéré, choqué, peiné et irrité de voir la lâche capitulation d’une firme commerciale qui bat en retraite espérant garder la clientèle de marginaux.
    Qui trop embrasse mal étreint.
    Je crains qu’elle ne perde l’importante clientèle de gens normaux.

  9. Relier l’équilibre hormonal d’une personne à son sexe, c’est un affreux… amalgame. Donc, c’est faux. CQFD !

  10. Oh, les gars, il faut arrêter votre délire ! Vous avez trop fumé la moquette !
    Votre subjectivisme délirant vous détruit !
    Revenez à la réalité ! C’est la voie du bonheur.

  11. Si quelqu’un se prend pour Napoléon, je ne lui fourni pas un cheval et un bicorne !
    Celui qui le fait l’enferme dans sa folie.

  12. Le bon sens du peuple a toujours défini ces cas comme des “accidents” psychiatriques.
    (pour éviter un terme plus juste et populaire mais moins politiquement correct)
    A une certaine époque, c’était direction Sainte Anne.

  13. Harvey,
    précisons, vous ne pouvez définir un homme ou une femme de cette façon, car en réalité, vous ne définissez pas, vous décrivez.
    Cette description n’est d’ailleurs pas exhaustive, il y a des femmes phénotypiquement parlant (visiblement et psychologiquement) femmes qui sont infécondes, et de génotype XY, et ce n’est qu’un exemple.
    Vous ne pouvez pas définir l’homme ou la femme par le simple recours à une généralité, parce que nous ne parlons pas simplement d’une chose abstraite, la masculinité ou la féminité, mais de personnes réelles.
    N’oubliez pas que les quelques cas rarissimes servant de caution à un discours “hors-sol”, sont des cas très spécifiques, très individuels.
    en réalité nous ne sommes pas d’abord des femmes ou des hommes, mais bien Stéphane ou Jacqueline.
    Comme le dit la philosophie lorsqu’elle n’est pas dévoyée en un exercice d’érudition creuse, il n’y a de science que du général.
    autrement dit on peut très bien comprendre et dire que Jacqueline n’est ni un pot de fleur, ni une machine à café, sans pour autant embrasser dans l’énoncé de sa quiddité, tant en extension qu’en compréhension, tout ce qu’est Jacqueline: on ne définie pas les cas particuliers, on les constate.
    Et notez bien, que ce qui vaut pour jacqueline ou François, vaut aussi pour la féminité ou la masculinité qui leurs sont relatives.
    ce n’est pas parce qu’il n’existe pas de description et a fortiori de définition ( ce dont la science moderne ne se soucie jamais) de la féminité, que cette dernière n’est pas une réalité, objective, du même ordre que notre Soleil, les étoiles des pléiades ou l’eau du robinet.
    Ces considérations n’auraient pas d’importance, si les partisans du “hors sol” n’en profitaient pas à chaque fois pour dire , en utilisant des précisions différentielles que la science actuelle fournie, que le constat de la masculinité ou de la féminité pourtant évidement facile tous les jours et à toutes heures est une chose purement construite pour ne pas dire mythologique.
    les chromosomes sexuels du caryotypes sont en fait déjà une abstraction (on ne croise pas de caryotype dans la nature, mais dans des laboratoires), nous ne sommes pas simplement l’expression de nos gênes, nous sommes davantage, nous sommes des êtres substantiels (autonomes, consistants en eux-mêmes).
    Cela la science descriptive n’a pas la modalité nécessaire pour l’appréhender, car c’est une totalité métaphysique, un tout qui n’est pas la somme de parties. (on le comprend “intuitivement” dès que quelqu’un d’autre se propose de vous vendre très concrètement, au détail et à la coupe)
    comprenez que votre intuition est juste, un homme est un homme, une femme est une femme, mais vous n’avez pas l’outillage scientifique pour le démontrer.
    ce qui se passe c’est que l’on mystifie les gens à coup d’arguments d’autorité (la caution scientifique) aussi dénués de fondements qu’un flan sur son assiette à dessert.
    Mais on ne combat pas un sophisme en utilisant la même rhétorique (car c’est bien un discours creux. )
    lorsqu’un discours n’est ni raisonné, ni raisonnable, on le méprise et celui qui l’avance tout autant puisque ce faisant, violent les évidences que seuls les sots cherchent à démontrer, il se discrédite.
    la couleur bleu, est indémontrable, la masculinité tout autant, pourtant ni l’une ni l’autre ne sont inaccessibles, sinon pour les aveugles ou les pédants.

  14. @ Harvey
    Quand on croise une personne dans la rue, ou quand un enfant naît, on ne vérifie pas ses chromosomes pour savoir s’il s’agit d’un homme ou d’une femme.
    Si pour l’immense majorité des personnes le sexe est clairement établi, il existe de fait une infime minorité d'”erreurs de la nature” dont le sexe est ambigu, et à qui à la naissance on attribue un sexe sans certitude.
    Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, pour la plupart des transsexuels et autres transgenres, le problème est en effet d’origine psychique et non biologique.
    Il me semble qu’il faille distinguer ces deux catégories : sexe naturellement ambigu, et sexe clairement établi mais problèmes psychiques.
    Je ne pense pas qu’il faille ici parler de “déviance sexuelle”, il ne s’agit pas de comportement sexuel mais d’identité sexuelle. Un homme qui se”sent femme” ne va pas forcément être homosexuel.

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