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Culture de mort : Avortement

Le premier ministre demande de cesser l’avortement massif

Ce n'est pas chez nous… 

Le premier ministre indien Narendra Modi a « supplié » ses concitoyens d'épargner les foetus de sexe féminin, mettant en garde contre un déséquilibre filles-garçons qui aurait des conséquences désastreuses pour le pays. Il lançait une campagne intitulée « Sauvez vos filles, éduquez vos filles ». 

Le Premier ministre a également demandé aux médecins d'arrêter de pratiquer des avortements décidés à cause du sexe de l'enfant et d'utiliser leurs compétences pour sauver des vies.

L'an dernier, les Nations unies ont mis en garde contre un déséquilibre des sexes qui prenait des proportions alarmantes dans le pays. Le gouvernement a identifié 100 districts où il n'y a qu'entre 837 et 875 naissances de filles pour 1.000 garçons. 

La détermination du sexe avant la naissance est un délit en Inde, sanctionné par une peine pouvant aller jusqu'à cinq ans de prison. En revanche, avorter n'est pas un délit.

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7 commentaires

  1. Tous ces garçons, c’est triste à dire… finiront LGBT dans des salles de rédacs pour journaleux !
    AhAhAhAh !
    Suis plié ce soir… désolé… En peux plus de voir les journaleux dire n’importe quoi en faisant la danse de ventre pour Hollande l’Illégitime et ses copines socialos !

  2. Le notre veut nous forcer au métissage et nous insulte en parlant d’”apartheid”.

  3. Que les indiens ont de la chance ! Pas de theorie du genre ou GPA et leurs dirigeants semblent prendre conscience que la demographie d’un pays depend de l’equilibre entre hommes et femmes et de leurs unions !
    Mais ici, les “bien-penseurs” du politiquement correct les traiteraient de sous-developpes retrogrades !

  4. Ah§ chez nous on est égalitaire .On peut tuer aussi bien les garçons que les filles, aussi bien les mamies que les papies.C’est vraiment le HoLY land….

  5. Chez nous, le sinistre gazeur chimique promeut le contraire : assassinat des enfants de France.

  6. En fait l’article décrit un problème fondamental de l’avortement qui mériterait d’être développé. Le point de vue catholique part de l’idée que la vie à naître, qu’elle soit masculine, féminine, européenne, originaire du tiers-monde, handicapée est sacrée, un don de Dieu, la détruire est donc un crime. Abandonner ce principe est faire de l’homme, qui est par nature imparfait le juge de la valeur de la vie à naître. L’exemple indien démontre où mène cette erreur. Les enfants féminins, qui sont considérés comme socialement de moindre valeur dans la culture hindoue sont prioritairement avortés, ce qui fait que les enfants masculins arrivant à l’âge adulte ne trouveront plus d’épouse. Mais on pourrait multiplier ce genre d’exemple, également dans le monde occidental. Dans les années 30 l’infirmière féministe américaine Margaret Sanger avait fondé l’équivalent américain du planning familial, qui à l’époque prônait les méthodes contraceptives, plus tard l’avortement. Or Margaret Sanger était également adepte des théories eugénistes, prônant l’élimination des enfants handicapés et racistes, voyant dans la contraception un moyen de réduire la croissance de la population noire aux Etats-Unis. Pour faire passer la pilule, si l’on peut dire, elle chercha à gagner à sa cause des pasteurs noirs américains, devant prôner la contraception dans leurs paroisses. La marque de Margaret Sanger est encore perceptible aujourd’hui. La plupart des avortoirs américains se trouvent dans les agglomérations à population afro-américaine, alors que les noirs américains correspondent à 13% de la population US, la proportion de bébés noirs avortés est elle de 38%,trois fois plus. Certains leaders noirs américains parlent d’un génocide planifié.
    Il est difficile de poser ce genre de statistiques en France, les statistiques ethniques étant interdites. Toutefois je me rappelle d’affiches prônant l’avortement à la fin des années 70, de Lutte Ouvrière, si ma mémoire est exacte prônant “Avortement libre et gratuit, y compris pour les mineures et les immigrées!” A l’époque l’extrème-gauche française n’avait pas opérée de virage néo-libéral et anti-raciste comme dans les années 80. Il n’était pas dans l’intêrêt de la clientèle ouvrière de la gauche de laisser se multiplier une main-d’oeuvre immigrée faisant pression sur les salaires!
    Il est bien évident que si l’homme et non Dieu est le seul juge de la valeur de la vie humaine, le droit de l’enfant à naître dépend de la valeur sociale qui lui est prètée, qui fait l’objet de négociation de marchand de tapis entre groupes de pression ayant des intérêts opposés. Ce sera en fin de compte le groupe de pression le plus riche et le plus influent qui s’imposera.

  7. Tous les chemins de l’Enfer mènent à la destruction, à la désolation et aux regrets…
    Ce sont tous des impasses !

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