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Culture de mort : Avortement

Le Planning Familial incite à violer la loi

Le Planning Familial, financé par nos impôts, incite les femmes ayant dépassé le délai légal d'avortement à partir se faire avorter dans un autre pays, voire dans des cliniques douteuses. Riposte-catholique rapporte le témoignage de 2 jeunes filles. Extraits :

"Ce qui permet à nos aventurières d’entendre une permanente au téléphone (qui n’arrête pas de sonner) avec des femmes leur conseiller Barcelone ou Amsterdam. Comme lieux pour avorter, c’est-à-dire enfreindre la législation française qui interdit d’avorter au-delà des 12 semaines (depuis la loi Aubry de 2001). Mais aussi pour enfreindre les législations de ces pays. En Espagne, le délai légal est 12 semaines s’il y a viol, 22 semaines en cas de malformation et libre si la santé physique ou mentale de la mère est menacée. Aux Pays-Bas, l’article 82 du code pénal assimile à un infanticide le fait de tuer un fœtus viable. […] Or, la femme qui appelle est une femme en bonne santé qui a dépassé les 24 semaines d’aménorrhée. Pas la moindre tentative de dissuasion ou même de raisonnement. «Vous devrez payer en liquide là-bas» prévient la conseillère du Planning. […]

Le scénario préparé par les jeunes femmes est le suivant : Charlotte est certaine d’être enceinte car elle ne s’est pas «protégée». Elle ne sait pas quoi faire. On n’est donc pas dans le cas de la jeune femme qui vient pour avorter mais dans celui de la jeune femme en détresse qui «ne [sait] pas quoi faire». Et à qui devraient être proposées des solutions alternatives à l’avortement. La consultation dure trois quarts d’heure. Trois quarts d’heure très pénibles. «J’avais peur de rire, je n’en ai pas eu envie une seule fois» raconte Charlotte, «choquée» selon ses propres termes. La « conseillère » du Planning est familière et extrêmement crue. Elle cherche à savoir comment et quand on eu lieu les rapports «avec son copain». Si d’habitude elle se « protège ». Pas simple d’y répondre : «je n’avais pas prévu qu’on me pose toutes ces questions» nous confie-t-elle.

Elle demande à la conseillère qui lui propose d’avorter : «Qu’est-ce qui se passe concrètement ?»«Ce qui se passe, c’est qu’on aspire la grossesse». Pas l’enfant, « la grossesse ». Charlotte la questionne ensuite sur les risques qu’elle court. «Non, vous ne pouvez pas être stérile ». Rien sur le Post Abortive Syndrom […] «Le bébé va-t-il souffrir ?» ose Charlotte. «Mais il n’y a pas de bébé» lui assure la conseillère. L’enfant qu’elle est censée porter a dix semaines. «A partir de quand c’est un enfant ?» insiste Charlotte. «Il ne faut pas se projeter comme ça, c’est vous qui le décidez, vous avez votre propre conscience à vous» répond la conseillère. […] Pas un instant, on ne proposera à la jeune femme la moindre alternative, elle qui était venue sans forcément souhaiter avorter.  Charlotte a pourtant tendu des perches à son interlocutrice : « si j’en parle à mon copain, peut-être qu’on pourrait essayer… ». Et la « conseillère » de ne rien répondre et d’esquiver."

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3 commentaires

  1. Personne ne peut porter plainte contre eux, à la fin ? Je n’ai pas encore assez d’assise pour le faire, mais on ne manque pas d’association de juriste chrétiens ! . Idem pour la campagne d’affichage du Planning à Paris, puis à Toulouse maintenant. l’avortement n’étant pas “un droit”, on peut les attaquer en justice. je suis prêt à participer à une action, mais ce n’est pas notre rôle à nous !
    Où sont nos juristes et avocats chrétiens ? Personne n’a la courage d’un procès ??
    Donnez-nous des élus aux conseils régionaux (et donc les quelques dizaines de candidat qui nous manqyent) pour casser cette logique.

  2. comme Axel, je suis prêt à participer à une action, bien que n’ayant pas de formation en droit.
    Faut-il multiplier des témoignages comme celui de Charlotte pour démontrer la logique illégale du “planning” ?

  3. MOBILISATION POUR LA VIE CONTRE UNE PUBLICITÉ MENSONGÈRE par la présidente de CHOISIR LA VIE
    vous vous invitant à adresser un mail ou un courrier à Monsieur Huchon, président du Conseil Général d’Ile de France.
    [email protected] , adresse postale : 33 rue Barbet de Jouy 75007 Paris
    Monsieur le Président du Conseil Régional,
    Pour la troisième fois consécutive, une région affiche son soutien aux promoteurs du droit à l’avortement que sont le Planning familial d’Ile de France, l’Association des centres de grossesse et de méthodes contraceptives (ANCIC) et la Coordination pour la défense de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) et de la contraception (CADAC)
    « Sexualité, contraception, avortement, un droit, mon choix, notre liberté… » C’est le titre de la campagne d’information lancée le 18 janvier par le Conseil Régional d’Ile de France. Depuis 1975, jamais une telle publicité pour l’avortement n’avait été faite, d’autant plus que les 300 000 euros dépensés pour les 700 affiches dans le métro et le RER du réseau francilien relèvent d’un financement public et donc de nos impôts !
    Les arguments avancés par les instigateurs de cette campagne pour tenter d’en justifier l’ampleur, sont récurrents : faire reculer le nombre des avortements en favorisant la contraception et l’information qui accompagne son utilisation.
    Force est de constater l’obstination aveugle des promoteurs de cette campagne qui, en dépit des commentaires et analyses unanimes sur l’absence de tout lien de cause à effet entre la promotion de la contraception et le recul des avortements, poursuivent inlassablement la même rengaine !
    Comment ne pas souligner le mépris total du Planning familial envers les femmes et sa méconnaissance (plus exactement, son mensonge !), envers la réalité de l’avortement qui constitue un véritable traumatisme pour les femmes qui y ont recours et n’est en rien « banal », au regard des nombreuses études menées sur le syndrome post-avortement !
    En effet, est-ce vraiment de toujours plus de contraception et d’avortements dont les Franciliens ont besoin ?
    Complice depuis 3 ans d’une telle désinformation portant gravement préjudice aux femmes et à leur santé, le Conseil Régional d’Ile de France ne pourra que tirer les conséquences de son fourvoiement lors des élections régionales de mars prochain !

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